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Je suis spécialiste du sommeil et voici la chose que je ne fais jamais avant de dormir

Je suis spécialiste du sommeil et voici la chose que je ne fais jamais avant de dormir

Cette erreur ne pardonne pas : vous dites littéralement à votre cerveau : « Il fait encore jour, pas besoin de se préparer à dormir ».


S’endormir est une chose naturelle. Pourtant, beaucoup ont du mal à trouver le sommeil. Ils se tournent, se retournent, regardent l’heure, ruminent et se lèvent le matin souvent plus fatigués qu’ils ne l’étaient la veille. Pour réussir à dormir vite et bien, il faut mettre toutes les chances de son côté…

« En tant que spécialiste du sommeil, je sais combien les bases sont essentielles« , amorce le Dr Craig Canapari, pneumologue et directeur du Yale Pediatric Sleep Center. Déjà, ça commence par une heure de coucher régulière, avec un temps « tampon » suffisant pour s’endormir. « Consacrer un temps d’endormissement suffisant signifie que vous devez commencer votre routine de coucher plus tôt que vous ne le pensez pour ne pas risquer de manquer de sommeil de manière chronique » explique-t-il au média Today. Il évite aussi de consommer du thé ou du café après 16h et de dîner lourd ou gras le soir.

Mais la chose qu’il ne fait jamais, c’est d’emporter son téléphone avec lui dans la chambre. Pour plusieurs raisons : l’écran du portable émet une lumière bleue qui est perçue par le cerveau comme de la lumière du jour, ce qui perturbe la production de mélatonine, l’hormone du sommeil. « En regardant des vidéos ou en parcourant des articles juste avant de vous coucher, vous dites littéralement à votre cerveau : « Il fait encore jour, pas besoin de se préparer à dormir » C’est une erreur que notre corps ne pardonne pas« . Ensuite, il y a le contenu : naviguer sur les réseaux sociaux, regarder une série captivante, ou pire, consulter des e-mails professionnels anxiogènes au lit, est contre-productif. Ces activités stimulent l’esprit au lieu de l’apaiser.

Des applications comme TikTok ou Instagram sont conçues pour être incroyablement addictives, diffusant une séquence sans fin de vidéos courtes et entraînantes. Elles vous gardent en éveil, et il est presque impossible de s’en déconnecter. Or, le lit doit être un sanctuaire de repos, pas un bureau, une salle de cinéma ou un fil d’actualité. Utilisez plutôt un bon vieux réveil. C’est un petit changement, mais l’impact sur la qualité de votre sommeil et l’énergie que vous ressentez au réveil sera monumental.


Source : JDF Santé

Je suis spécialiste du sommeil et voici la chose que je ne fais jamais avant de dormir

Je suis spécialiste du sommeil et voici la chose que je ne fais jamais avant de dormir

Cette erreur ne pardonne pas : vous dites littéralement à votre cerveau : « Il fait encore jour, pas besoin de se préparer à dormir ».


S’endormir est une chose naturelle. Pourtant, beaucoup ont du mal à trouver le sommeil. Ils se tournent, se retournent, regardent l’heure, ruminent et se lèvent le matin souvent plus fatigués qu’ils ne l’étaient la veille. Pour réussir à dormir vite et bien, il faut mettre toutes les chances de son côté…

« En tant que spécialiste du sommeil, je sais combien les bases sont essentielles« , amorce le Dr Craig Canapari, pneumologue et directeur du Yale Pediatric Sleep Center. Déjà, ça commence par une heure de coucher régulière, avec un temps « tampon » suffisant pour s’endormir. « Consacrer un temps d’endormissement suffisant signifie que vous devez commencer votre routine de coucher plus tôt que vous ne le pensez pour ne pas risquer de manquer de sommeil de manière chronique » explique-t-il au média Today. Il évite aussi de consommer du thé ou du café après 16h et de dîner lourd ou gras le soir.

Mais la chose qu’il ne fait jamais, c’est d’emporter son téléphone avec lui dans la chambre. Pour plusieurs raisons : l’écran du portable émet une lumière bleue qui est perçue par le cerveau comme de la lumière du jour, ce qui perturbe la production de mélatonine, l’hormone du sommeil. « En regardant des vidéos ou en parcourant des articles juste avant de vous coucher, vous dites littéralement à votre cerveau : « Il fait encore jour, pas besoin de se préparer à dormir » C’est une erreur que notre corps ne pardonne pas« . Ensuite, il y a le contenu : naviguer sur les réseaux sociaux, regarder une série captivante, ou pire, consulter des e-mails professionnels anxiogènes au lit, est contre-productif. Ces activités stimulent l’esprit au lieu de l’apaiser.

Des applications comme TikTok ou Instagram sont conçues pour être incroyablement addictives, diffusant une séquence sans fin de vidéos courtes et entraînantes. Elles vous gardent en éveil, et il est presque impossible de s’en déconnecter. Or, le lit doit être un sanctuaire de repos, pas un bureau, une salle de cinéma ou un fil d’actualité. Utilisez plutôt un bon vieux réveil. C’est un petit changement, mais l’impact sur la qualité de votre sommeil et l’énergie que vous ressentez au réveil sera monumental.


Source : JDF Santé

Un médecin de Harvard alerte sur ce fruit adoré des Français qu'il refuse catégoriquement de manger

Un médecin de Harvard alerte sur ce fruit adoré des Français qu'il refuse catégoriquement de manger

Une véritable bombe sucrée.


Une véritable bombe sucrée.

Manger des fruits chaque jour reste un conseil universel, répété par tous les nutritionnistes. Mais faut-il croire que tous se valent pour notre santé ? Selon un gastro-entérologue formé à Harvard, la réponse est non. L’expert a établi un classement des plus bénéfiques aux plus néfastes pour l’intestin et a révélé qu’il y a un fruit qu’il refuse catégoriquement de consommer. Son message est clair : « Tous les fruits ne sont pas égaux », certains peuvent même « faire des ravages sur notre système digestif ».

Pour lui, la clé se trouve dans la teneur en fibres. Plus un fruit en contient, mieux c’est car il nourrit les bonnes bactéries intestinales et réduit la glycémie. Dans son classement, on retrouve en tête les myrtilles et les grenades, très riches en antioxydants. Ces deux fruits ont l’avantage de réduire l’inflammation, de soutenir le système immunitaire et de limiter les risques de maladies cardiovasculaires. À l’opposé, d’autres sont beaucoup moins flatteurs pour notre organisme.

Le raisin, par exemple. S’il apporte de la vitamine C et du potassium, son apport nutritionnel global reste limité selon le Dr Saurabh Sethi et son effet sur la glycémie n’est pas négligeable. Mais le « pire » selon lui ce sont les bananes trop mûres. Le médecin les bannit de son alimentation. Comme il l’explique sur Instagram, lorsqu’elle est trop mûre, la banane perd son amidon résistant, un glucide qui, en fermentant dans le gros intestin, agit comme un prébiotique et renforce la diversité et la santé du microbiote. Elle devient aussi une véritable bombe sucrée et fait grimper la glycémie en flèche. Des chercheurs l’ont même comparée à une « barre Mars à la peau jaune ». Les conséquences ne sont pas anodines : moins de fibres, un transit ralenti et un intestin privé de ses alliés naturels.

Le spécialiste des maladies digestives et chercheur reconnu n’en mange jamais dans cet état et recommande de les préférer légèrement vertes. Elles sont alors plus riches en fibres et moins problématiques pour la glycémie. Il conseille aussi d’autres fruits comme les pommes, les poires ou les melons à qui il attribue des notes moyennes. Le kiwi tire, lui aussi, son épingle du jeu grâce à sa richesse en fibres solubles, efficaces contre la constipation et bénéfiques pour la régularité du transit.


Source : JDF Santé

1,6 millions de Français ont une MASH : c'est quoi cette maladie silencieuse qui provoque un cancer du foie ?

1,6 millions de Français ont une MASH : c'est quoi cette maladie silencieuse qui provoque un cancer du foie ?

Elle touche surtout les personnes de plus de 50 ans.


Comme le foie est un organe qui ne se plaint pas, il est difficile de savoir quand il souffre. Pourtant, une maladie, encore peu connue, l’abîme à petit feu, jusqu’à évoluer dans certains cas en cirrhose et en cancer. Les médecins estiment le nombre de malades à 1.6 million en France. Elle touche particulièrement les hommes, les personnes de plus de 50 ans et celles souffrant de plusieurs facteurs de risque cardiométaboliques comme l’obésité et le diabète de type 2. 

Cette maladie n’est pas nouvelle en soi mais a un nouveau nom depuis 2023. L’ancien terme « NASH » (pour « Non-Alcoholic Steatohepatitis ») était jugé trop négatif, car il décrivait la maladie par ce qu’elle n’était pas (« non alcoolique »). Le nouveau terme « MASH » (pour « Metabolic Dysfunction-Associated Steatohepatitis ») met en lumière les causes réelles de la maladie : un dysfonctionnement métabolique. « Ce changement de nom vise à supprimer le caractère stigmatisant de l’expression « maladie du foie gras », souvent utilisée pour désigner la NASH. La nouvelle dénomination est considérée comme plus précise et moins culpabilisante pour les patients« , nous explique le Dr Jérôme Boursier, hépato-gastro-entérologue.  

La MASH n’est pas une simple accumulation de graisse autour du foie mais une inflammation et une fibrose (cicatrices) du foie. C’est l’équivalent d’un filtre qui, après s’être encrassé de graisse, se met à brûler de l’intérieur, causant des dommages progressifs et irréversibles. La maladie est silencieuse et ne donne pas de symptômes au début. « Lorsque les premiers symptômes (fatigue intense, perte de poids, jaunisse) apparaissent, la maladie est souvent déjà à un stade avancé, voire a évolué en cancer du foie, ce qui rend les traitements beaucoup plus complexes et limite les options curatives« , poursuit l’hépatologue. La seule façon de savoir si on a une MASH, c’est de faire des examens : d’abord un bilan sanguin qui peut (mais pas toujours) montrer une élévation des enzymes hépatiques ALAT et ASAT, puis une échographie abdominale ou un FibroScan, un examen qui mesure la rigidité du foie. Plus le foie est rigide, plus la MASH est avancée.

Un seul médicament – le resmeritom – est approuvé pour traiter cette maladie, mais il n’est pas disponible en France. « Il le sera probablement avant la fin de l’année« . En attendant, les médecins continuent de recommander la meilleure approche pour les patients atteints de MASH : une modification de l’hygiène de vie, avec une alimentation saine et la pratique régulière d’une activité physique. La perte de poids reste la mesure la plus efficace pour réduire la graisse dans le foie, diminuer l’inflammation et freiner la progression de la maladie.


Source : JDF Santé

Un homme de 77 ans perd un rein lors d'une opération dans cet hôpital français : ils se sont trompés de côté…

Un homme de 77 ans perd un rein lors d'une opération dans cet hôpital français : ils se sont trompés de côté…

Au lieu de lui retirer le rein malade, les chirurgiens ont retiré le rein en bonne santé.


Selon la Haute Autorité de Santé (HAS), 4630 « événements indésirables graves associés aux soins » ont été recensés en France en 2024, un chiffre que les autorités reconnaissent comme « très sous-déclaré », car de nombreux cas ne sont pas signalés. Ces accidents peuvent entraîner une invalidité sévère et mettre la vie des patients en danger. Ils interrogent sur l’application des protocoles censés sécuriser la prise en charge des malades. C’est précisément ce qu’illustre une affaire révélée par la cellule investigation de Radio France.

En juillet dernier, un homme de 77 ans a été opéré pour une tumeur au rein. Il devait subir l’ablation complète du rein malade, mais au lieu de retirer l’organe malade, l’équipe chirurgicale a retiré le rein sain. Une « erreur de côté » rarissime, comme le soulignent nos confrères de franceinfo, mais qui questionne sur l’efficacité des check-lists réalisées par le personnel soignant en cas d’intervention. Selon Radio France, ces check-lists de sécurité au bloc opératoire « sont trop souvent incomplètes et mal renseignées ». Elles doivent normalement être appliquées avant l’induction de l’anesthésie, avant l’incision et avant la sortie du bloc opératoire. Parmi les points à vérifier figurent l’identité du patient, l’intervention prévue et le site opératoire. Le patient avait bien confirmé son identité et désigné le rein malade. 

L’intervention s’est déroulée dans le service d’urologie de l’hôpital Henri-Mondor, à Créteil (Val-de-Marne), établissement de l’Assistance Publique–Hôpitaux de Paris (AP-HP). Selon Radio France, une mauvaise interprétation du compte-rendu du scanner pourrait être à l’origine de l’erreur. Après l’intervention ratée, le patient a été transféré dans un autre hôpital où il a subi en urgence une nouvelle opération pour retirer la tumeur. Son pronostic vital n’est pas engagé mais il devra vivre avec les conséquences irréversibles de la perte de son rein sain. Sa famille a engagé une procédure judiciaire contre l’AP-HP.

Ce cas n’est pas isolé. En 2012, une patiente soignée pour un cancer avait, elle aussi, subi l’ablation du mauvais rein à la clinique Sainte-Anne de Strasbourg. L’affaire avait été portée devant la justice et le chirurgien qui l’avait opérée a été radié de l’Ordre des médecins. Pour réduire le risque d’erreur, la HAS et France Assos Santé recommandent aux patients de participer activement aux vérifications avant une opération : rappeler leur identité et l’organe concerné, vérifier que le site opératoire est marqué, et apporter tous leurs examens récents. Ils peuvent aussi demander à l’équipe médicale d’appliquer la check-list de sécurité en leur présence. Ces gestes simples renforcent la vigilance collective et contribuent à sécuriser l’intervention.


Source : JDF Santé

Un village englouti depuis 8500 ans retrouvé intact sous la mer : les archéologues n'en croient pas leurs yeux

Un village englouti depuis 8500 ans retrouvé intact sous la mer : les archéologues n'en croient pas leurs yeux

Une découverte scientifique qui a eu lieu non loin de la France…


Une découverte scientifique qui a eu lieu non loin de la France…

La vie sous-marine ne cesse de fasciner les archéologues et le grand public. Des épaves naufragées, des temples en ruine, des statues colossales ou encore des bijoux anciens sont régulièrement retrouvés sous l’eau, à des profondeurs impressionnantes. Mais parmi les découvertes sous-marines les plus incroyables : un village entier, figé dans le temps et englouti sous les eaux, a été découvert cet été grâce à un espèce d’aspirateur sous-marin.

Cette découverte est celle d’un village côtier vieux de 8 500 ans, retrouvé dans un état de conservation exceptionnel. Les archéologues l’ont même qualifié de « capsule temporelle » car il permet de mieux comprendre la vie des sociétés de chasseurs-cueilleurs à cette époque et comment elles s’adaptaient aux bouleversements environnementaux, notamment la montée du niveau de la mer qui a submergé leur habitat. Ce qui est particulièrement fascinant, c’est que la montée des eaux a en quelque sorte figé le temps. Le manque d’oxygène dans l’environnement sous-marin a agi comme un parfait conservateur, permettant de préserver des éléments organiques, comme des outils en pierre, des os d’animaux, des pointes de flèches, des morceaux de bois travaillés et même des traces de repas des habitants de l’époque comme une dent de phoque. Les scientifiques ont bon espoir de retrouver des objets encore plus fragiles et instructifs, comme des paniers tressés, des poteries, des hameçons ou des structures de pêche. 

Les objets sont actuellement analysés par les scientifiques du Musée de Moesgaard et ne sont pas encore exposés au public. Ce village englouti se trouve non loin de la France puisqu’il a été découvert au nord du Danemark, à environ 8 mètres de profondeur dans la baie d’Aarhus, située à 150 kilomètres à l’ouest de Copenhague. 

Les archéologues et les paléoclimatologues ne cherchent pas seulement à documenter l’histoire : ils étudient les mécanismes d’adaptation de nos ancêtres pour les appliquer à nos comportements d’aujourd’hui et mieux nous préparer aux défis climatiques de notre propre époque.  


Source : JDF Santé