Une goutte de cette huile essentielle suffit pour soulager le mal de ventre (elle sent si bon)

Une goutte de cette huile essentielle suffit pour soulager le mal de ventre (elle sent si bon)

A toujours avoir à la maison.


A toujours avoir à la maison.

Repas trop lourds, virus… Il y a plusieurs causes au mal de ventre et douleurs d’estomac. Mais quand leurs symptômes se manifestent, ils sont très désagréables. Les ballonnements, tiraillements, sensations de pesanteurs et même brûlures dans le ventre font souffrir. Si la première chose à faire est de mettre la sphère intestinale au repos en arrêtant de manger et de boire, il y a aussi quelques remèdes naturels qui peuvent aider à surmonter ce mauvais moments.

Parmi eux, des infusions de plantes qui aident à digérer, absorbent les gaz et font dégonfler. Mais aussi des huiles essentielles. Bien sûr, il faut les utiliser avec précaution et toujours en respectant les posologies données par les spécialistes mais quand on sait comment s’en servir et lesquelles choisir, elles peuvent vraiment faire du bien. 

Quand il s’agit de la sphère intestinale, selon Sophie Pihan, naturopathe et membre de la Fédération Française de Naturopathie (La FENA), « la meilleure huile essentielle en cas de douleurs intestinales, les crampes d’estomac et les spasmes digestifs est l’huile essentielle de camomille romaine. D’ailleurs, c’est l’une des meilleures huiles pour soulager les maux du système digestif en général ». C’est une huile essentielle que l’on trouve facilement en pharmacie, parapharmacie et enseignes dédiées au bien-être et qui est agréable à utiliser parce qu’elle sent bon. 

Le mieux, pour soulager le mal de ventre selon la spécialiste, est de pratiquer un automassage au niveau du plexus solaire, qui se situe au niveau de l’estomac, sous le sternum et les côtes. Pour ce massage, mélanger une goutte de l’huile essentielle à une cuillère à soupe d’huile végétale, comme de l’huile d’amande douce, d’avocat ou de jojoba. Chauffer le mélange dans le creux des mains et réaliser un automassage du ventre en suivant le sens de la digestion (sens des aiguilles d’une montre).

En cas de brûlures d’estomac, utiliser un comprimé neutre, qui est un support alimentaire à prendre par voie interne, sur lequel il faut verser une goutte d’huile essentielle de camomille romaine. Vous pouvez également la prendre en la mélangeant avec une cuillère à café d’huile d’olive ou de miel par exemple. En cas de coliques chez l’enfant, utilisez de préférence de l’eau florale de camomille romaine. Il ne faut pas utiliser les huiles essentielles chez les enfants, femmes enceintes, et allaitantes, par précautions, sans avis médical.


Source : JDF Santé

Quels sont les fruits les plus riches en vitamine C ?

Quels sont les fruits les plus riches en vitamine C ?

La fatigue s’intensifie ? C’est le moment de faire le plein de fruits riches en vitamine C pour rebooster l’organisme.


La vitamine C, aussi appelée acide ascorbique, intervient dans de nombreux processus du corps. On sait qu’elle aide à lutter contre la fatigue passagère, le stress oxydatif (qui favorise le vieillissement des cellules) et qu’elle facilite l’absorption du fer non héminique (présent dans les aliments d’origine végétale). Chez l’Homme, il n’existe ni synthèse ni stockage de la vitamine C : l’alimentation constitue la seule source naturelle d’apport. Les adultes doivent consommer l’équivalent de 110 mg de vitamine C par jour via l’alimentation (120 mg pour les femmes enceintes ; 170 mg pour les femmes allaitantes). On sait qu’elle est présente dans les fruits mais dans lesquels trouver le plus de vitamine C ?

1. La goyave

La goyave est le fruit le plus riche en vitamine C puisqu’il contient 228 mg pour 100 g. Ce fruit est aussi riche en antioxydants et en potassium. Sa saison débute en automne, au mois de novembre. Les meilleures goyaves se mangent de décembre à février. Au moment de la choisir, privilégiez une goyave lisse, tendre mais pas trop molle (un peu comme la mangue). Plus elle est jaune, plus elle est sucrée. Elle se mange crue (après avoir été épluchée et épépinée) ou cuite.

2. Le cassis

Le cassis est un fruit également très riche en vitamine C puisqu’il en concentre 181 mg pour 100 g. Ces petites baies noires violacées contiennent des polyphénols lui conférant des bienfaits antioxydants. C’est entre juillet et septembre que le cassis est le meilleur.

3. Le kiwi

Le kiwi est un excellent fruit d’hiver. Il est riche en antioxydants dont la vitamine C qu’il contient à hauteur de 81,90 mg pour 100 g. Il aurait également des effets positifs sur la digestion et des propriétés anti-inflammatoires. Pour bénéficier de ses bienfaits, il faut le manger pendant sa saison c’est-à-dire de janvier à mars.

4. La papaye

Ce fruit tropical disponible d’octobre à décembre est parfait pour le faire le plein de vitamine C entre l’automne et l’hiver. Il en contient 65,3 mg pour 100 g de fruit. La papaye comporte également des caroténoïdes qui contribuent à améliorer la fonction vasculaire et de la vitamine B9 (particulièrement intéressante pour les femmes qui ont un projet de grossesse ou sont enceintes). Enfin la papaye est une source intéressante de potassium (200mg/100g).

5. Le pamplemousse chinois

D’octobre à février, vous pouvez trouver du pamplemousse chinois sur vos étals. Il se mange facilement après avoir retiré doucement son écorce verte/jaune à la main (il n’est pas juteux comme le pamplemousse rose donc plus simple à manger partout). Le pamplemousse chinois a l’avantage d’être riche en vitamine C à hauteur de 61 mg pour 100 g de fruit.

6. La clémentine

De novembre à février, la clémentine se déguste facilement le matin au petit-déjeuner, en en-cas à 10h ou pour le goûter. Elle présente l’avantage de contenir 49 mg de vitamine C dans 100g de fruit (sachant qu’une clémentine pèse environ 70g). La clémentine contient par ailleurs de la vitamine B9.

7. L’orange

La saison de l’orange va de décembre à avril. Comme on la boit en jus, l’orange est simple à consommer mais pas aussi riche en vitamine C qu’on peut le penser. Elle en contient 47,50 mg pour 100 g de fruit. Elle présente l’avantage d’être riche en acide folique et flavonoïdes ce qui lui confère des propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires. Dans la même famille des agrumes, le citron contient 45 mg de vitamine C pour 100 g. 

8. L’ananas

Même si on le trouve presque toute l’année sur les étals français, la pleine saison de l’ananas court de décembre à mars. Et c’est un fruit à ne pas oublier pour sa richesse en vitamine C. Il en contient 46 mg pour 100g soit presqu’autant que l’orange. L’ananas est aussi un fruit riche en vitamine B9 et en potassium.

Sources

  • Agence pour la recherche et l’information en Fruits et Légumes (Aprifel)
  • La table de composition nutritionnelle du Ciqual, Anses


Source : JDF Santé

Ce type de personne est à éviter à Noël, elle n'apporte que du négatif

Ce type de personne est à éviter à Noël, elle n'apporte que du négatif

« Il suffit d’une personne comme ça pour qu’il y ait un impact global sur la famille. »


Les fêtes de Noël sont l’occasion de se réunir et de partager des instants de convivialité avec ses proches. Mais cette période peut aussi accentuer les traits les moins agréables de certaines personnes de notre entourage, surtout quand on reste avec elles pendant un long moment. « Après plusieurs heures passées ensemble, certaines personnes commencent à se révéler, à devenir agaçantes et peuvent même jouer les trouble-fête, souligne d’emblée la psychologue Caroline Cohen, interrogée sur le média Urbania. On peut par exemple citer le mauvais joueur qui ne supporte pas de perdre pendant une partie de jeu de société ; le radin qui, en plus de n’avoir rien apporté au repas, repart avec les restes de la dinde ou encore l’accro au smartphone collé à son téléphone 24h/24 qui passe son temps à se prendre en selfie et à publier les photos du dîner sur les réseaux. 

Mais la pire, c’est la personne qui ne peut pas s’empêcher de tout critiquer et qui s’arrête sur les moindres détails. Par exemple, la qualité du foie gras, la cuisson du chapon, la disposition des guirlandes sur le sapin, l’emballage des cadeaux ou encore la tenue des convives. « Cette personne n’est peut-être pas malintentionnée, mais son esprit tatillon ou dénigrant peut rapidement ternir l’ambiance générale des fêtes. Et souvent, il suffit d’une personne un peu comme ça pour créer un environnement toxique et étouffant, et pour qu’il y ait un impact global sur la famille« , poursuit Caroline Cohen. 

« Face à ce genre de personne, il n’y a pas 36 solutions : je ne peux que vous conseiller de vous mettre le plus loin possible d’elle ou a minima, d’ignorer ses commentaires« , recommande Maïté Tranzer, psychologue clinicienne, à qui nous avons demandé de réagir. 

Toutefois, s’il est impossible de l’éviter et/ou si ses réflexions deviennent trop insupportables, une autre solution consiste à en discuter avec elle, idéalement entre 4 yeux pour ne pas l’afficher devant toute l’assemblée. « Il faut absolument rétablir l’équilibre relationnel et utiliser la communication non violente basée sur la bienveillance en parlant de soi à la première personne (bannir le « tu ») et exprimer son ressenti personnel pour ne pas que la personne se sente agressée. Il faut l’amener en douceur vers la remise en question et lui faire prendre conscience que ces moments sont précieux et qu’il ne faut pas les gâcher avec des critiques ou états d’âme inutiles »,

Plus radical, mais salvateur, on peut aussi choisir de casser les codes si une personne nous est insupportable. « Rien ne nous oblige à passer Noël en famille. A Noël, on se crée la famille qu’on veut : on peut choisir de passer les fêtes avec des amis, seul(e) ou encore faire du bénévolat. Du moment qu’on y trouve son compte« , conclut la psychologue.  


Source : JDF Santé

Pourquoi certaines personnes ont du mal à s'excuser ?

Pourquoi certaines personnes ont du mal à s'excuser ?

Trois petits mots pas toujours si simples à prononcer !


Une parole maladroite, une réaction disproportionnée, un comportement inapproprié… Nous avons tous déjà commis des erreurs pour lesquelles des excuses étaient nécessaires. Loin d’être une simple formalité, savoir admettre ses torts est une compétence essentielle pour entretenir des relations harmonieuses. Comme le souligne Aline Nativel Id Hammou, psychologue clinicienne, le refus de s’excuser peut être perçu comme un manque de validation : « Cela revient à nier les émotions de la personne en face. C’est une forme d’irrespect, voire même de dévalorisation ». Malgré ce risque de fragiliser les liens affectifs, certaines personnes peinent toujours à présenter des excuses sincères.

S’excuser implique de reconnaître ses erreurs. Or, cet exercice de remise en question n’est pas évident pour tout le monde. « Les personnes égocentrées ont plus de difficulté à analyser l’impact de leurs actions. Je pense notamment aux profils narcissiques, qui vont être moins sensibles aux réactions et aux émotions d’autrui » explique Aline Nativel Id Hammou. Outre le manque de recul et d’empathie, la crainte de l’échec impacte également la capacité à s’excuser. Pour les caractères orgueilleux ou perfectionnistes, par exemple, admettre ses torts peut être vécu comme un aveu de faiblesse. Exigeantes avec elles-mêmes, ces personnalités s’interdisent le droit à l’erreur et se sentent menacées lorsqu’elles sont mises en défaut. « Elles peuvent le vivre comme une menace à l’égo » confirme Isabelle Soucy, docteur en psychologie. « Ces personnes ont du mal à accepter la dimension imparfaite de leur humanité. »

Quand s’excuser rend vulnérable…

À l’inverse d’un excès de confiance, une faible estime de soi peut expliquer pourquoi certains individus ont du mal à demander pardon. C’est particulièrement le cas pour ceux vivant avec une blessure de rejet ou d’abandon, qui redoutent de perdre l’affection de leurs proches. « S’excuser, c’est s’exposer au jugement. Cette confrontation est difficile lorsqu’on a peur de décevoir ou de diminuer dans le regard de l’autre » confirme Isabelle Soucy. La psychologue clinicienne fait le lien avec le schéma d’imperfection/honte développé par Jeffrey Young, qui se traduit notamment par une sensibilité accrue aux critiques et le sentiment de ne pas être à la hauteur. Doutant profondément de leur valeur, les personnes souffrant de ce schéma peuvent adopter des comportements de surcompensation. « Elles affichent une façade de contrôle, parfois même un air de supériorité, pour camoufler leur vulnérabilité et le doute qui les habite. » Dès lors, présenter des excuses revient à lever le voile sur leurs supposées insuffisances.

Au-delà du profil psychologique, l’éducation et l’environnement familial jouent un rôle majeur dans la faculté à s’excuser. Comme toute compétence relationnelle, celle-ci n’est pas innée et s’acquiert au fil du temps, sous l’influence des modèles parentaux. Malheureusement, ces derniers ne sont pas toujours de bons repères. Par peur de dévoiler leurs failles et de perdre leur autorité, certains parents ne s’excusent jamais auprès de leurs enfants. Pour Aline Nativel Id Hammou, en plus de donner le mauvais exemple, cette attitude crée un référentiel erroné : « On grandit avec l’idée qu’un adulte doit tout savoir, être irréprochable. » L’erreur, et donc les excuses, deviennent alors des manquements à ces attentes.

Isabelle Soucy, de son côté, met en garde contre une éducation trop stricte : « Les personnes ayant été sévèrement punies dans le passé peuvent développer une phobie de l’échec, les rendant incapables d’admettre leurs fautes. » À l’inverse, survaloriser son enfant et toujours prendre sa défense est tout aussi préjudiciable, car cela le décharge de la responsabilité de son comportement. Pour la psychologue, se tromper doit servir d’opportunité d’apprentissage. Pour les enfants comme pour les adultes, elle recommande de cultiver l’autocompassion : « L’erreur est inévitable, même lorsqu’on est rempli de bonnes intentions. Il faut faire preuve de tolérance avec soi-même, c’est la clé pour réussir à s’excuser. »


Source : JDF Santé

Ce défaut très féminin est typique des personnes qui ont dû grandir trop vite

Ce défaut très féminin est typique des personnes qui ont dû grandir trop vite

Un phénomène souvent féminin.


Grandir trop vite ou avec des parents trop exigeants est le lot de nombreuses personnes et cela peut avoir des conséquences considérables dans notre vie future. C’est ce qu’on appelle en psychologie « le syndrome de l’enfant pressé », un phénomène qui survient quand une personne, pendant son enfance, a dû assumer trop de responsabilités au détriment de son développement et de ses besoins naturels. « Cette notion a été popularisée par le livre « The Hurried Child : Growing Up Too Fast Too Soon » (1981) du psychologue David Elkind qui a décrit la pression mise très tôt sur les enfants concernant les devoirs, les activités sportives ou extra scolaires et les tâches à la maison« , nous explique Louise Kerdoncuff, fondatrice du compte Instagram Petites Phrases à leur dire sur la Psychologie de l’enfant & Parentalité.. 

Ces enfants qui ont dû grandir trop vite ont développé des traits ou des comportements typiques dans leur vie d’adulte. « Cela donne malheureusement des personnes qui ne savent plus ce qu’elles veulent au fond d’elles et qui sont globalement très anxieuses« , décrit d’emblée notre interlocutrice. Elles ont une peur monstre de l’échec et vivent à travers un prisme très focalisé sur le résultat plutôt que sur le chemin parcouru. La pression autour des notes et des bulletins scolaires continue d’exister dans leur vie d’adulte. « Elles ont souvent la problématique du perfectionnisme au travail, d’anxiété, voire d’épuisement professionnel, puisqu’il faut toujours réussir, toujours faire bonne impression et toujours satisfaire son manager vers qui le rôle de la figure parentale est parfois transféré. Et c’est impossible pour elles de lutter contre ce perfectionnisme car elles pensent que ce n’est pas aligné avec leurs valeurs. Elles sont « programmées » comme ça, jusqu’à ce que ça explose parce qu’il y a une insatisfaction personnelle qui devient trop importante« .

Il peut aussi y avoir une mauvaise estime de soi, qui n’est pas innée, mais qui est liée au fait de sans cesse chercher l’approbation des autres. « Elles sont très dures avec elles-mêmes, elles entrent dans des spirales de jugement et elles ne se parlent pas de manière empathique. En anglais, on appelle cela le « negative self-talk« . Cela a tendance à être un phénomène que l’on observe davantage chez les femmes qui ont intégré de par leur éducation ces notions de perfectionnisme, d’aider les autres avant soi et d’auto-évaluation négative dès le plus jeune âge« . 

C’est bien sûr réversible. « Ça nécessite souvent du temps et de l’accompagnement lors duquel on va travailler sur ces pensées limitantes ou négatives, et travailler autour du ressenti, du concept de « fierté de soi, pour soi » et de ses émotions. Les thérapies cognitivo-comportementales (TCC) peuvent être très efficaces en ce sens » selon notre interlocutrice.  

Pour rectifier le tir, il faut laisser plus de place à la spontanéité, à l’imprévu et à la légèreté. « Quand toute notre vie, nos journées ont été programmées avec des activités très structurées que ce soit scolairement ou après l’école, on peut vite se sentir désorienté en vieillissant, avec une tendance à chercher chez les autres, dans sa vie perso ou dans son travail une autre forme de structure. Il faut à tout prix retrouver des espaces de liberté, réapprendre à faire ce qui nous fait réellement plaisir et s’écouter, recommande Louise Kerdoncuff. Et évidemment, on essaye de ne pas reproduire les mêmes schémas avec ses enfants en veillant à leur fixer des objectifs raisonnables en termes de scolarité et d’engagement extrascolaire et un sens des responsabilités pondéré. Le maître mot est de toujours valoriser les efforts plutôt que le résultat« . 


Source : JDF Santé