Les experts en psychologie sont formels : la confiance en soi ne se lit pas seulement dans la posture ou l’attitude : elle s’entend aussi dans le langage. Les mots que nous choisissons jouent un rôle direct sur l’image que nous renvoyons, mais également sur la perception que nous avons de nous-mêmes. Certaines tournures, utilisées sans y penser, peuvent traduire un doute intérieur, tandis que d’autres renforcent immédiatement l’assurance et la crédibilité.

Un exemple fréquent est l’expression « Je pense que ». En apparence anodine, elle traduit pourtant une hésitation et projette aux autres une image d’incertitude. Elle suggère que la personne n’est pas pleinement alignée avec ce qu’elle dit. « Ce choix de mots peut alors refléter une fragilité intérieure et nourrir une moindre estime de soi », souligne le Dr David Lieberman, spécialiste du comportement humain et docteur en psychologie dans son ouvrage « Faites-vous entendre ».

Selon lui, une autre formulation traduit immédiatement plus d’assurance : il s’agit de « Je suis convaincu(e) ». Ces trois mots expriment une position ferme, claire, sans paraître trop hésitante. Elle indique que vous maintenez vos propos, même s’il s’agit d’une opinion subjective. Par exemple, au lieu de « Je pense que la nouvelle stratégie marketing sera efficace », il est préférable de dire « Je suis convaincu(e) que la nouvelle stratégie marketing sera efficace ». Cette dernière phrase ne laisse aucune place au doute et renforce votre position. « Elle donne non seulement plus de poids à vos mots, mais renforce aussi votre confiance en vous en vous incitant à vous approprier pleinement votre opinion« , poursuit l’expert.

Changer son langage et gagner en assurance ne se fait pas du jour au lendemain : commencez par de petits ajustements, faites l’effort de prendre conscience des moments où vous utilisez des phrases d’hésitation et remplacez-les progressivement par des formulations plus directes et plus percutantes. L’objectif n’est pas de changer radicalement votre façon de parler, mais d’adopter de nouvelles habitudes.

Le sommeil est une chose si fragile qu’il suffit d’une petite perturbation, comme un coup de stress, un rai de lumière ou un petit bruit, pour en altérer la qualité et provoquer une fatigue chronique. Mauvaise nouvelle : des chercheurs prévoient une baisse drastique du temps de sommeil profond – le plus réparateur – ces prochains jours. Mais pourquoi ? 

Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs de l’Université de Bâle en Suisse ont analysé le sommeil de 33 volontaires pendant plusieurs mois dans un laboratoire spécialisé. Ils ont mesuré la qualité du sommeil à l’aide d’un électroencéphalographie (EEG), permettant d’enregistrer l’activité électrique du cerveau et de déterminer précisément la quantité de sommeil profond par nuit. Ils se sont aperçus que la quantité de sommeil profond baissait en moyenne de 30% autour de la Pleine Lune (jusqu’à 5 jours avant et 3 jours après). Ils ont également noté un allongement du temps d’endormissement de 5 minutes et une réduction du temps de sommeil total de 20 minutes pendant cette période. 

La prochaine Pleine Lune aura lieu le 7 septembre prochain. Votre sommeil profond devrait être particulièrement réduit entre le mardi 2 septembre et le mercredi 10 septembre. Si vous avez l’habitude d’avoir 1h30 de sommeil profond, vous n’en aurez qu’1 heure, donc vous récupérerez moins. Les chercheurs n’ont pas encore d’explication unique et définitive mais avancent plusieurs hypothèses pour expliquer ce phénomène. « L’idée la plus simple est que la Pleine Lune, plus lumineuse que les autres phases lunaires, affecte nos hormones et réduit la production de mélatonine, l’hormone du sommeil« , expliquent-ils dans la revue scientifique Current Biology. Ils pensent aussi que cela pourrait être dû à une horloge biologique interne, un héritage de nos ancêtres qui restaient plus actifs les nuits de Pleine Lune.

Pour éviter de mal dormir pendant cette période, prenez certaines mesures maintenant qui vont optimiser votre sommeil : obscurcissez votre chambre autant que possible (rideaux occultants, stores ou masque de sommeil pour bloquer la lumière de la lune), maintenez une routine de sommeil stricte (se coucher et se lever à la même heure, même le week-end), assurez-vous que votre chambre soit silencieuse (bouchons d’oreilles), confortable (bonne literie) et fraîche, et évitez les dîners lourds, gras ou épicés. 

Le dernier message du docteur Pierre Dukan sur Instagram a marqué les esprits. Selon lui, il existe une protéine que l’on consomme trop peu, alors qu’elle surpasse toutes les autres par sa qualité biologique. Une source alimentaire considérée comme « la meilleure au monde » pour reprendre les propos du spécialiste. 

Loin de n’être que des nutriments pour les sportifs, les protéines constituent la matière première de notre organisme. Pour les muscles mais aussi pour le système immunitaire, respiratoire, les globules rouges et blancs et les hormones qui reposent sur leur disponibilité. La mémoire et le développement des enfants en dépendent également. C’est un carburant silencieux qui alimente des mécanismes vitaux. Quand les apports sont insuffisants, c’est tout le fonctionnement du corps qui se fragilise. Et pourtant, explique le médecin, beaucoup de personnes ignorent qu’il existe une protéine considérée comme la référence absolue.

« Vous devez savoir quelle est cette protéine qui participe au mieux à la synthèse de nos propres protéines » explique-t-il dans sa vidéo. Même les viandes réputées riches en protéines ne peuvent rivaliser. Le steak de bœuf, par exemple, plafonne à 25% de protéines, quand cette source atteint un taux que nul autre aliment n’approche. Avez-vous deviné de quel aliment il s’agit ? De l’oeuf ou plus précisément du blanc d’oeuf. « C’est le seul aliment au monde qui concentre 100% de protéines, c’est une référence pour les nutritionnistes », insiste l’expert.

Selon le Dr Dukan, il suffit de manger 2 blancs d’oeufs par jour pour augmenter ses apports en protéines. Pour rappel, les recommandations sont de 0,83 g/kg/jour donc un adulte qui pèse 70 kg doit manger 58 g de protéines par jour. Les ados, en pleine croissance, doivent en consommer davantage. Même chose pour les seniors car, en vieillissant, le système digestif est moins performant. À partir de 65 ans, la quantité de protéines recommandées par jour passe à 1 g/kg/jour (70 g pour un senior de 70 kg).