Si on ne peut pas forcer le sommeil, on peut créer les conditions pour qu’il arrive plus vite et naturellement.
Si on ne peut pas forcer le sommeil, on peut créer les conditions pour qu’il arrive plus vite et naturellement.
Après une journée marquée par une forte activité mentale et de nombreuses cogitations, il est souvent difficile de trouver le sommeil. Ce n’est pas parce que la nuit tombe que l’on peut simplement dire à notre cerveau : « Stop, tu peux dormir ». Au contraire, c’est souvent à ce moment-là que l’esprit se met à traiter et organiser toutes les informations accumulées dans la journée. Cette activité psychique intense retarde l’endormissement. En psychologie, le sommeil est parfois qualifié de « petite mort » : un moment de lâcher-prise total. Or, pour les personnes ayant un fort besoin de contrôle, ce détachement peut être une source d’angoisse et rendre l’endormissement encore plus difficile. Alors que faire ?
Pour favoriser un endormissement rapide, au-delà des recommandations classiques comme le fait d’éteindre les écrans ou de terminer son repas au moins deux heures avant le coucher, le mieux selon Gaëlle Piton c’est d’utiliser la sophrologie. Cette discipline psycho-corporelle, qui relie le corps et l’esprit, repose sur la respiration, le relâchement musculaire et la visualisation. La sophrologue recommande de pratiquer la respiration abdominale juste avant de dormir : « Inspirer en gonflant doucement le ventre puis expirer en le laissant se dégonfler, tout en imaginant que le corps devient progressivement plus lourd sur le matelas. En ressentant les points d’appui et le contact du corps avec le lit, on se laisse peu à peu glisser vers le sommeil. »
Cette technique est la plus simple et la plus efficace pour calmer le corps et l’esprit avant de dormir. Pour un résultat encore meilleur, préparer le sommeil tout au long de la journée. « Pratiquer des exercices de respiration le soir, allongé sur le dos, peut aider à préparer le corps au repos. Mais il est encore plus efficace d’intégrer dans sa journée des petits moments de pause, comme des sas de décompression » continue-t-elle. De la même manière, la régularité est capitale : mieux vaut pratiquer la respiration abdominale 3 minutes par jour tous les jours (voire plusieurs fois dans la journée) que 45 minutes une seule fois par semaine.
Petit bonus de la spécialiste : « Imaginer sa journée comme une page que l’on referme, en posant une intention : « Puissé-je passer une nuit tranquille qui me permette de récupérer ». Associée à la respiration, cette intention devient plus puissante : à l’inspiration, on mobilise ce souhait, et à l’expiration, on imagine diffuser l’énergie d’un sommeil réparateur dans chacune des cellules de son corps. »
Merci à Gaëlle Piton, auteure de « Le grand livre de la sophrologie au quotidien » (Éd. Le Courrier du Livre)
La gale est une maladie contagieuse provoquée par un parasite appelé « sarcopte ».
La gale est très contagieuse et provoque de vives démangeaisons de la peau (surtout entre les plis). Il suffit d’être en contact avec la peau d’une personne contaminée pour l’attraper.
Définition : qu’est-ce que la gale ?
La gale (ou scabiose) est une maladie parasitose cutanée bénigne, c’est-à-dire une infestation de la couche superficielle de la peau par un parasite. « Il s’agit d’un ectoparasite qui vit à la surface de la peau, le sarcoptes scabiei. Ce micro-parasite invisible à l’œil nu mesure 0,2 mm » précise le Dr Pascal Del Giudice, dermatologue. Il existe une forme de gale commune et une forme de gale hyperkératosique, également appelée « gale croûteuse généralisée » ou « gale norvégienne ».
La gale est une maladie contagieuse. « Elle se transmet par contact direct avec une personne infectée, explique le Dr Del Giudice. Il faut un contact intime et familial (peau à peau). » « La gale croûteuse, beaucoup plus exceptionnelle, est, elle, très contagieuse » précise le dermatologue. La gale peut être sexuellement transmissible. La transmission s’effectue directement par contact humain, par le toucher, le contact avec les vêtements ou les objets personnels d’une personne atteinte. « Il n’y a en revanche pas de transmission de la gale de l’animal à l’humain. Ce sont des parasites différents » indique le spécialiste. Il ne s’agit pas d’un manque d’hygiène.
Quels sont les symptômes de la gale ?
« Le symptôme de la gale commune est un prurit (démangeaisons) généralisé, plus souvent entre les doigts, sur les poignets, les fesses et les organes génitaux » informe le Dr Pascal Del Giudice. Les démangeaisons s’aggravent la nuit. Souvent au niveau des plis quand les enfants portent encore des couches. La femelle sarcopte fore des petits tunnels sous la peau, dans lesquels elle pond ses œufs, ce qui cause les démangeaisons. Il n’y a pas forcément de lésions et si elles sont présentes elles sont discrètes. « C’est l’œil du dermatologue qui va les déceler » indique le Dr Del Giudice. La gale norvégienne se manifeste par des croûtes et des plaques rouges prurigineuses sur la peau (visage, tronc) ainsi que sur le cuir chevelu. La peau est épaissie sur l’ensemble du corps. Chez les personnes immunodéprimées ou âgées, l’atteinte peut être disséminée à l’intégralité du corps et les démangeaisons sont moins importantes.
Comment reconnaître la gale chez le bébé ?
Le bébé atteint de gale se démange, s’agite et effectue des mouvements dans tous les sens, car il tente de se calmer en se frottant le dos. Les démangeaisons prédominent aux extrémités. Des lésions de grattage s’étendent peu à peu sur tout son corps. Si le visage du bébé est le plus souvent épargné, ce n’est pas le cas du cuir chevelu. Une surinfection des lésions est fréquemment observée : elle aggrave l’éruption et provoque des ganglions.
Quelle est la durée de la gale ?
Sous traitement, la gale guérit généralement en 2 à 4 semaines (durée de persistance des démangeaisons).
Quelle est la durée d’incubation de la gale ?
La période d’incubation de la gale est relativement longue allant 4 à 6 semaines. Celle-ci correspond au temps mis par le parasite (sarcopte scabiei hominis) qui vient d’être en contact avec son hôte, pour se reproduire, s’enfoncer dans la peau (quelques millimètres par jour) en formant un sillon, y pondre ses œufs et recommencer un cycle de vie. Durant l’incubation, la personne atteinte ne souffre pas de symptômes mais peut être contagieuse. En cas de ré-infestation, cette phase dure moins longtemps.
Quand consulter ?
« Un prurit généralisé doit amener à consulter son médecin traitant. Si celui-ci soupçonne la gale, il renvoie son patient vers un dermatologue pour que celui-ci fasse le diagnostic » informe le dermatologue.
Comment est posé le diagnostic de la gale ?
« Le diagnostic de la gale, qui était difficile auparavant, est aujourd’hui facile car nous disposons d’un dermatoscope, sorte de loupe, qui nous permet de voir le parasite dans l’épiderme » explique le Dr Del Giudice.
Quels sont les traitements de la gale ?
En cas de gale, le patient doit être traité, ainsi que les personnes de son entourage proche, même si elles ne se grattent pas.
► Gale commune : La gale commune peut être traitée par voie locale ou par voie générale avec des anti parasitaires. Voie locale : « Le traitement de la gale commune se fait le plus souvent aujourd’hui par voie topique (de façon locale) » précise le dermatologue. « Nous disposons de deux produits : le Benzoate de benzyl et la Pyréthroïde » indique-t-il. Les protocoles de prise varient selon le produit utilisé. Le Benzoate de benzyl s’utilise en application unique, après avoir pris un bain ou une douche. Se badigeonner le corps, de la tête (cuir chevelu compris) aux pieds, laisser sécher 15 minutes environ puis recommencer. Ne pas se laver pendant 24 heures puis refaire une 3e application. Laisser le produit pendant 24 heures avant de se rincer. Changer ses vêtements à ce moment là. Prendre un bain le 3e jour. Les démangeaisons peuvent persister encore plusieurs jours après le traitement. Traiter tous les membres de la famille. Voie générale ; Le traitement se fait avec des comprimés d’Ivermectine. « Toute la famille de la personne ayant la gale doit être traitée. »
► Gale norvégienne : La gale hyperkératosique conduit à une hospitalisation et à un traitement par voie locale et par voie générale. Des soins kératolytiques peuvent y être associés. En cas de gale hyperkératosique, les personnes du premier cercle, du second cercle (celles vivant ou travaillant dans la même collectivité que la personne atteinte) et, éventuellement, celles du 3e cercle (celles se rendant occasionnellement dans la collectivité où séjourne la personne atteinte ou celles de l’entourage familial des personnes fréquentant régulièrement cette collectivité) doivent être traitées.
Il faut nettoyer le linge à 60°c en cas de gale
« Le traitement médicamenteux doit absolument s’accompagner du traitement de l’environnement avec des insecticides de surface » explique le dermatologue. Et ce, immédiatement. Ce qu’il faut traiter ? Literie (matelas…), mobiliers, vêtements, linge de lit, chaussures, peluches, tapis de jeux, sièges autos pour enfants. « Les échecs ne sont en général pas liés au traitement. Les personnes se recontaminent avec leur environnement » précise le médecin. En cas de contamination :
► linge lavable à 60°C (linge de toilette, draps, taies d’oreillers, torchons, essuie-mains…) : lavage en machine à 60°C avec les produits de lavage habituels
► inge non lavable à 60°C (vêtements, couvertures, couettes, oreillers…) : désinfection avec un produit acaricide de type « APAR® » acheté en pharmacie (porter des gants), à utiliser dans une pièce aérée et loin de toute flamme. Pulvériser sur chaque pièce de linge. Mettre le linge dans un sac plastique, le fermer et laisser agir le temps indiqué. Laver en machine.
Merci au Dr Pascal Del Giudice, dermatologue spécialisé dans les maladies infectieuses et tropicales et membre de la Société Française de Dermatologie.
Ses taux de nitrosamines sont supérieurs aux normes fixées par les autorités européennes.
« Actuellement 5000 patients, en majorité des personnes de plus de 60 ans, sont traités par ce médicament en France » prévient l’Agence du médicament dans un communiqué publié fin juillet. Celle-ci a été informée de « la présence d’impuretés de type nitrosamine à des taux supérieurs aux normes fixées par les autorités européennes » dans les lots du médicament. Ces lots sont rappelés et ce médicament est retiré du marché.
Dans le cadre de ce rappel, l’ANSM, en collaboration avec des professionnels de santé et des associations de patients, a établi des recommandations pour accompagner le remplacement du médicament. « N’interrompez pas votre traitement de vous-même, recommande l’agence de santé. L’arrêt brutal peut représenter un risque plus important que l’exposition aux impuretés nitrosamines susceptibles d’être présentes. Il existe un risque majoré de syndrome de sevrage, exposant à des nausées, vomissements, douleurs abdominales, diarrhée, troubles du sommeil, anxiété, nervosité, céphalées, malaises. »
Le médicament concerné par le rappel est le Ludiomil® (maprotiline), un antidépresseur de la famille des inhibiteurs de la recapture des monoamines, souvent prescrit en deuxième ou troisième intention dans les épisodes dépressifs. Les lots ont été distribués jusqu’au 31 mars 2025 mais certains patients en ont peut-être encore chez eux. Il s’agit des lots F0016 et F0017 de Ludiomil® 25 mg et du lot F0018 de Ludiomil® 75 mg. « Consultez votre médecin, il pourra vous prescrire un autre antidépresseur en alternative ».
L’ANSM demande aux médecins de privilégier l’amitriptyline (Laroxyl® et générique), un antidépresseur de la même famille que le Ludiomil et largement utilisé en France, comme alternative. Ils peuvent aussi prescrire de la mirtazapine. Elle n’appartient pas à la même classe que la maprotiline mais elle a été identifiée comme une alternative possible en raison d’une action sédative comparable et d’un meilleur profil de tolérance. Les médecins prescripteurs doivent contacter les patients « sans attendre la date du prochain renouvellement d’ordonnance ». N’hésitez pas, en tant que patient, à appeler le médecin qui vous a prescrit le Ludiomil®.
« La circulation du virus pourrait s’amplifier dans les prochaines semaines. »
Les cas ont augmenté de 356% en un an. Dans un communiqué publié le 19 août, la Direction Générale de la Santé (DGS) fait part d’une augmentation d’infections hépatiques dans une grande ville française. « 73 cas ont été déclarés entre le 1er janvier et le 31 juillet 2025. L’augmentation est encore plus évidente depuis le début du mois de juillet avec 57 cas signalés. »
Le virus est présent dans les matières fécales des personnes atteintes, la maladie se transmet par l’intermédiaire des mains ou d’aliments contaminés. Fréquemment, elle passe inaperçue, notamment chez l’enfant. Elle peut se manifester par la présence de fièvre, douleurs abdominales, nausées, perte d’appétit, asthénie et jaunisse. « Nous vous invitons à être vigilant face à des patients présentant des symptômes compatibles » demande la DGS aux professionnels de santé.
Ce virus est connu des autorités sanitaires puisqu’il s’agit du virus de l’hépatite A. L’hépatite A est une maladie du foie qui est contagieuse. Dans la majorité des cas, elle guérit spontanément sans séquelles mais des formes graves existent, surtout chez les personnes immunodéprimées, âgées, ayant des maladies du foie pré-existantes… Si l’incidence de l’hépatite A augmente globalement en Europe, la DGS s’inquiète de la hausse des cas constatée actuellement dans le Rhône « majoritairement dans la ville de Lyon et plus spécifiquement au niveau du 7ème arrondissement ». Cette augmentation « laisse à penser que la circulation du virus y est actuellement très active et pourrait s’amplifier dans les prochaines semaines ».
Les autorités n’ont pas connaissance de la cause de cette recrudescence mais « les investigations sont en cours ». Une vingtaine de cas d’hépatite A ont aussi été rapportés en juin dans la ville de Nantes. En cas de doute sur les symptômes, il faut consulter un médecin. L’hépatite A est une maladie à déclaration obligatoire. Elle est dépistée par prise de sang. Pour s’en protéger, il existe un vaccin. Celui-ci n’est pas obligatoire mais recommandé à certaines populations (voyageurs qui partent dans des pays où l’hygiène de l’eau et des aliments est précaire, membres de l’entourage d’une personne atteinte d’hépatite A, hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, patients avec une maladie chronique du foie…).
La nouvelle étude de chercheurs japonais montre que cet aliment bien connu accélère le temps d’endormissement et améliore la qualité du sommeil.
L’alimentation joue un rôle crucial dans le bien-être général, y compris pour la qualité du sommeil. Certains aliments favorisent un sommeil rapide et réparateur tandis que d’autres le perturbent. Il est par exemple su qu’un repas gras et lourd le soir empêche de bien dormir. Des chercheurs de l’Université de médecine de Kanazawa, au Japon, démontrent cette fois les bienfaits d’un aliment bien connu et présent dans quasiment toutes les cuisines pour réduire le temps d’endormissement et améliorer les nuits.
Pour parvenir à cette conclusion, les scientifiques ont mené une étude approfondie auprès de 1900 hommes et femmes âgés de 20 à 60 ans. Chaque participant a dû remplir un questionnaire détaillé sur ses habitudes alimentaires, évaluant spécifiquement sa consommation de riz blanc, de pain et de pâtes au blé dur (nouilles). La qualité de leur sommeil a ensuite été mesurée pendant un mois à l’aide d’un indice spécifique, permettant d’identifier ceux ayant un sommeil de mauvaise qualité.
Les résultats de cette recherche publiés dans la revue Plos One sont particulièrement intéressants. Il a été constaté que les personnes consommant des produits à base de blé, comme les pâtes, le soir avaient un sommeil de moins bonne qualité. À l’inverse, les adeptes du riz au dîner ont montré les signes d’un sommeil amélioré, avec un temps d’endormissement réduit de 10 minutes en moyenne. Ce phénomène s’explique par le fait qu’un index glycémique élevé (celui du riz blanc étant globalement plus élevé que celui des pâtes de blé dur) influence directement la production de substances chimiques dans le cerveau liées à l’endormissement (tryptophane, mélatonine).
Si le riz peut être un allié précieux pour un endormissement plus rapide, il est essentiel de connaître les règles d’or d’un bon sommeil : privilégier dans la mesure du possible des heures de coucher et de lever régulières, créer un environnement propice au sommeil (obscurité, calme, fraîcheur) et éviter les excitants (caféine, écrans) avant de dormir. Combiner une alimentation équilibrée avec ces bonnes habitudes aidera à profiter pleinement de vos nuits.
Préserver l’autonomie et la mobilité est essentiel pour vieillir en bonne santé et lutter contre le déclin lié à l’âge.
À 85 ans, Betty étonne par sa santé physique exceptionnelle et son énergie. Personne ne dira le contraire : elle fait au moins 20 ans de moins que son âge. Derrière cette super forme, pas de triche : ni médicament, ni chirurgie, ni régime… Non, son secret de longévité est naturel et tout le monde peut en bénéficier. Suivre la routine santé de Betty c’est l’assurance de vieillir en bonne santé et conserver mobilité et autonomie le plus longtemps possible.
Betty vit au quatrième étage d’un immeuble sans ascenseur. Ce détail n’a rien d’exceptionnel, sauf quand on apprend qu’elle monte 65 marches au moins quatre fois par jour. « Si tu le fais chaque jour, tu sais ce que ça représente par an ? Quasiment 57 Tour Eiffel de grimpées » calcule le coach sportif Nordine Attab dans une vidéo pour Ici.Officiel. Ce jour-là, il propose de l’accompagner sur l’un de ses trajets habituels. « Je me suis dit que ça allait être un moment sympa, de rencontre, de détente… mais pas du tout ! Je suis en train d’accélérer le pas pour pouvoir poser mes questions. » Il peine à suivre la cadence de l’octogénaire. « On est au moins à 4 ou 5 kilomètres/heure » commente-t-il.
Pour Betty, c’est une promenade de santé. Le coach, habitué aux performances sportives, remarque qu’elle ne montre aucun signe de fatigue. Pas de ralentissement, pas de souffle court. Son secret ? Il tient en un seul mot : marcher. « J’ai marché toute ma vie. » Enfant, Betty faisait 5 à 6 kilomètres par jour pour aller à l’école. Aujourd’hui, elle parcourt quotidiennement 10 kilomètres. « Il faut marcher un peu tous les jours. Si je reste assise toute une après-midi chez moi, ça ne va pas alors que si j’ai bougé un peu dans la journée, je dors mieux. Et puis j’en ai besoin, il faut que je bouge. »
Chez les seniors, la marche rapide maintient mobilité, force et équilibre, réduisant le risque de chutes et de dépendance. Marcher améliore la santé cardiovasculaire, stimule la masse musculaire et les fonctions cognitives. L’Organisation mondiale de la santé recommande aux adultes y compris aux plus de 65 ans de pratiquer au moins 2h30 à 5h d’activité physique modérée par semaine pour favoriser un vieillissement en bonne santé.