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Figues : fraîches ou sèches, des bienfaits sur les intestins ?

Figues : fraîches ou sèches, des bienfaits sur les intestins ?

Gorgées de soleil et de sucre, elles offrent de nombreux bienfaits estivaux, mais attention à leur effet laxatif.


De son petit nom latin Ficus Carica, la figue est issue du figuier. C’est un fruit d’été par excellence qui nous vient du Proche-Orient. On la déguste de fin juillet à l’automne.

Bienfaits des figues fraîches pour la santé

  • La figue est connue pour ses propriétés doucement laxatives dues à son apport généreux en fibres (2 à 3%) surtout insolubles localisées en grande partie dans les petits grains. mais aussi en pectines. 
  • Elle affiche une teneur intéressante en vitamines du groupe B, en particulier B2.
  • Elle dispose de vertus reminéralisantes avec une bonne teneur en potassium, en calcium, phosphore et magnésium.
  • Plus elle est colorée, plus elle est riche en pigments anthocyaniques qui ont la particularité de protéger vos vaisseaux sanguins donc optez pour la couleur !
  • Un petit bémol toutefois, l’absence de vitamine C. 

Pour profiter au mieux de ses bienfaits, consommez-la crue (de petites gouttelettes blanches qui perlent à la base du fruit est un signe de fraîcheur). 

Bienfaits des figues séchées

Ce sont des concentrés d’énergie, de minéraux sous un faible volume. Une confiserie intéressante pour le sportif car son index glycémique est moyen (50) !

Calories

Ce fruit pulpeux affiche 67 calories aux 100 g (soit 2 figues environ); ce qui est modéré contrairement aux idées reçues. En moyenne, les fruits apportent une valeur énergétique équivalente à 86 kilocalories. La richesse calorique de la figue provient de sa teneur en glucides (glucose et fructose).

Valeur nutritionnelle

NUTRIMENTS FIGUE CRUE : TENEUR POUR 100 G FRUITS : MOYENNE DES ALIMENTS
Protéines 0,85 g 1,0 g
Glucides 14,3 g 16,9 g
– dont sucres 14,3 g 14,6 g
– dont amidon 0 g 0,3 g
– dont fibres alimentaires 2,63 g 3 g
Lipides 0,3 g 0,5 g
– dont cholestérol 0,0 mg 0,1 mg
– dont acides gras saturés 0,069 g 0,2 g
– dont acides gras monoinsaturés 0,059 g 0,1 g
– dont acides gras polyinsaturés 0,13 g 0,1 g
Eau 79,8 g 77 g

> Plus d’infos sur les vitamines, minéraux de la figue

Quantité maximale par jour

C’est surtout une question de tolérance digestive. La quantité dépend de chaque personne.

Précautions

Au niveau de ses feuilles, une substance blanchâtre témoigne de traces de latex. Cette dernière contient des protéases qui peuvent provoquer une irritation au niveau des lèvres ou de la bouche. Soyez vigilants. Par ailleurs, ces petits grains noirs la font déconseiller aux personnes souffrant de diverticulite colique car ces derniers peuvent se loger dans les recoins de l’intestin.


Source : JDF Santé

Ce mot trahit les personnes anxieuses, elles l'utilisent sans s'en rendre compte

Ce mot trahit les personnes anxieuses, elles l'utilisent sans s'en rendre compte

Certains mots sont de véritables révélateurs d’anxiété.


L’anxiété et le stress se perçoivent beaucoup dans notre façon de parler. Certains mots ou la construction de nos phrases peuvent trahir nos inquiétudes, même sans que l’on s’en rende compte. Dans un vaste projet appelé « WorryWords », des chercheurs anglais en psychologie et en traitement du langage naturel ont voulu savoir si certains mots étaient fortement associés à l’anxiété et comment ces mots pouvaient être un indicateur de l’anxiété. 

Les chercheurs ont analysé plus de 44 000 mots pour comprendre ce phénomène. Ce qu’ils ont trouvé, c’est que certains mots sont de véritables révélateurs d’anxiété. Quand ces mots sont répétés trop souvent ou de façon inappropriée, ils suggèrent une personne qui rumine, anticipe le pire et perçoit des dangers même là où il n’y en a pas. Ce n’est pas un unique mot « magique », mais plutôt la fréquence de ces mots qui donne une teinte particulière et significative au discours.

Les personnes anxieuses sont souvent piégées par des pensées négatives sur l’avenir et un sentiment de ne rien maîtriser. Cela se voit dans leur façon de parler, où elles utilisent beaucoup de mots et d’expressions qui expriment le doute, comme « peut-être » ou « je me demande ». Mais l’une des formulations que les anxieux utilisent, comme une sorte de tic de langage inconscient, est « au cas où ». Cette petite phrase, anodine en apparence, révèle souvent une préoccupation constante d’anticiper le pire et de se préparer à d’éventuels problèmes, même lorsqu’il n’y a pas de menace immédiate.

Prendre conscience de ces habitudes de langage est une première étape cruciale. Si vous réalisez que vous utilisez fréquemment ces mots d’incertitude et d’anticipation négative, c’est peut-être le signe que votre esprit est en mode « alerte » plus que nécessaire. La bonne nouvelle, c’est qu’il est possible d’agir : pratiquer la pleine conscience peut vous aider à revenir au moment présent et à observer vos pensées sans jugement. Des techniques de relaxation, comme la respiration profonde, peuvent calmer votre système nerveux. Et n’hésitez jamais à discuter de vos préoccupations avec un professionnel de la santé mentale. 


Source : JDF Santé

Ce mot trahit les personnes anxieuses, elles l'utilisent sans s'en rendre compte

Ce mot trahit les personnes anxieuses, elles l'utilisent sans s'en rendre compte

Certains mots sont de véritables révélateurs d’anxiété.


Certains mots sont de véritables révélateurs d’anxiété.

L’anxiété et le stress se perçoivent beaucoup dans notre façon de parler. Certains mots ou la construction de nos phrases peuvent trahir nos inquiétudes, même sans que l’on s’en rende compte. Dans un vaste projet appelé « WorryWords », des chercheurs anglais en psychologie et en traitement du langage naturel ont voulu savoir si certains mots étaient fortement associés à l’anxiété et comment ces mots pouvaient être un indicateur de l’anxiété. 

Les chercheurs ont analysé plus de 44 000 mots pour comprendre ce phénomène. Ce qu’ils ont trouvé, c’est que certains mots sont de véritables révélateurs d’anxiété. Quand ces mots sont répétés trop souvent ou de façon inappropriée, ils suggèrent une personne qui rumine, anticipe le pire et perçoit des dangers même là où il n’y en a pas. Ce n’est pas un unique mot « magique », mais plutôt la fréquence de ces mots qui donne une teinte particulière et significative au discours.

Les personnes anxieuses sont souvent piégées par des pensées négatives sur l’avenir et un sentiment de ne rien maîtriser. Cela se voit dans leur façon de parler, où elles utilisent beaucoup de mots et d’expressions qui expriment le doute, comme « peut-être » ou « je me demande ». Mais l’une des formulations que les anxieux utilisent, comme une sorte de tic de langage inconscient, est « au cas où ». Cette petite phrase, anodine en apparence, révèle souvent une préoccupation constante d’anticiper le pire et de se préparer à d’éventuels problèmes, même lorsqu’il n’y a pas de menace immédiate.

Prendre conscience de ces habitudes de langage est une première étape cruciale. Si vous réalisez que vous utilisez fréquemment ces mots d’incertitude et d’anticipation négative, c’est peut-être le signe que votre esprit est en mode « alerte » plus que nécessaire. La bonne nouvelle, c’est qu’il est possible d’agir : pratiquer la pleine conscience peut vous aider à revenir au moment présent et à observer vos pensées sans jugement. Des techniques de relaxation, comme la respiration profonde, peuvent calmer votre système nerveux. Et n’hésitez jamais à discuter de vos préoccupations avec un professionnel de la santé mentale. 


Source : JDF Santé

Je suis cardiologue : cette erreur quotidienne fait vieillir le cœur avant l'heure

Je suis cardiologue : cette erreur quotidienne fait vieillir le cœur avant l'heure

Il faut parfois aller au-delà des évidences.


Prendre soin de notre cœur est capital : ce moteur infatigable assure notre vitalité. Un cœur bien entretenu vieillit harmonieusement, reste fort et endurant. Il aime la régularité et qu’on le sollicite juste ce qu’il faut. Pourtant, dans nos vies modernes, une erreur fréquente et souvent sous-estimée peut accélérer son usure, bien plus vite qu’on ne l’imagine.

Bien sûr, une mauvaise alimentation, grasse, salée, ou le tabac sont des ennemis connus. Mais d’autres facteurs discrets précipitent aussi le vieillissement cardiaque. Le stress chronique, par exemple, est un poison. Les pics d’adrénaline et de cortisol épuisent le système cardiovasculaire. Un sommeil insuffisant prive également le cœur de sa récupération essentielle. Des nuits trop courtes le maintiennent en alerte, le soumettant à un stress continu. Mais l’erreur la plus insidieuse est ailleurs et il faut parfois aller au-delà des évidences. 

« On sait que l’inactivité physique est un facteur de risque cardiovasculaire. On préconise plusieurs fois par jour des périodes d’activités physiques, pas forcément sportives mais le mouvement dans sa globalité« , souligne le Pr Gérard Helft, cardiologue et Président de la Fédération française de Cardiologie. Il ajoute une nuance fondamentale : « L’erreur que la plupart des gens font, ce n’est pas d’être inactif, mais d’être sédentaire, autrement dit le fait de rester immobile un certain nombre d’heures sans bouger du tout. Donc on peut être sportif et sédentaire et c’est aussi un facteur de risque cardiovasculaire important, souvent oublié« . Même en faisant du sport, des heures d’immobilité prolongée perturbent le métabolisme et rigidifient les artères.

Pour contrer cette erreur, les recommandations sont claires. Bouger plus, moins s’asseoir : l’OMS recommande 150 à 300 minutes d’activité modérée par semaine (marcher 30 minutes 5 fois par semaine, yoga doux, tai-chi, aquagym…). Mais le plus important est de rompre les périodes de sédentarité. Si vous faîtes un travail de bureau, faites des micro-pauses, levez-vous et marchez quelques minutes toutes les heures. Intégrez de l’activité le reste du temps (prenez les escaliers, marchez pour de courts trajets) et variez les mouvements (le jardinage ou le ménage sont d’excellents compléments). 


Source : JDF Santé

Tomate : liste des bienfaits pour la santé

Tomate : liste des bienfaits pour la santé

Grappe, cerise, séchée, en sauce… Riche en lycopène et en vitamines, la tomate dispose de nombreux bienfaits pour la santé, la peau, le cœur et n’est jamais à bannir, même en cas de régime !


En botanique, la tomate est un fruit (issue d’une fleur) tout comme l’aubergine ou la courgette. En diététique, sa composition nutritionnelle (teneur en sucre faible) la classe parmi les légumes.

Bienfaits des tomates pour la santé

  • Avec sa richesse en vitamines A, C et en lycopène (pigment de la famille des caroténoïdes) la tomate est une cure de jouvence à elle toute seule.
  • Ces composants à l’effet antioxydants préservent les cellules de l’effet délétère des radicaux libres, et les protègent du vieillissement prématuré ainsi que de la survenue de certains cancers.
  • Son pigment rouge (lycopène) est un allié bonne mine par excellence, et cerise sur le gâteau, il protège notre peau des effets néfastes des ultra-violets. Attention toutefois, il ne protège pas des coups de soleil, une protection solaire reste donc indispensable !
  • Riches en fibres douces, les tomates sont parfaites pour réguler le transit intestinal et favoriser la satiété.

Tomates et perte de poids

Pauvres en calories et en sucre, riches en fibres, en vitamines, en minéraux et en antioxydants, la tomate est incontestablement un légume minceur, dont il serait dommage de se priver quand on est au régime. Attention toutefois à certaines recettes aux allures light, qui ne le sont pas tant que ça, à l’image de la célèbre tomate/mozzarella arrosée d’huile d’olive, ou des tomates farcies à la chair à saucisse.

Tomates et calories

Avec leurs petites 18 calories aux 100 g, la tomate fait partie des légumes très peu caloriques.

Valeurs nutritionnelles

NUTRIMENTS TOMATE CRUE : TENEUR POUR 100 G LEGUMES : MOYENNE DES ALIMENTS
Protéines 0,86 g 1,7g
Glucides 2,26 g 4,4 g
– dont sucres 2,25 g 2,3 g
– dont amidon 0 g 0,9 g
Fibres alimentaires 1,2 g 2 g
Lipides 0,26 g 0,6 g
– dont cholestérol 0 mg 0,2 mg
– dont acides gras saturés 0,056 g 0,1 g
– dont acides gras monoinsaturés 0,035 g 0,2 g
– dont acides gras polyinsaturés 0,12 g 0,1 g
Eau 94,1 g 90 g

> Plus d’infos sur les vitamines et minéraux de la tomate

Bienfaits des tomates séchées

Séchée au soleil, la tomate conserve tous ses éléments nutritifs mais en quantité décuplée ! Logique, il faut pas moins de 10 tomates fraîches, soit près d’un kilo, pour produire 30 g de tomates séchées. Ces dernières deviennent donc l’aliment le plus riche en lycopène que l’on connaisse, et de loin !

Bienfaits des tomates cuites

Si la plupart du temps, on préconise de consommer les aliments crus plutôt que cuits, afin d’en préserver au maximum les qualités nutritives, ce n’est pas tout à fait le cas de la tomate. Explication : le lycopène est un antioxydant dont la biodisponibilité est augmentée à la cuisson. L’ajout de matière grasse améliore également l’activité antioxydante du lycopène. Un coulis de tomates cuites à l’huile d’olive est donc une parfaite recette santé !

Bienfaits des tomates crues

Crues en revanche, les tomates conservent leur vitamine C intacte, cette vitamine antioxydante étant sensible aux fortes températures.


Source : JDF Santé

Quand aller voir un chirurgien orthopédiste ?

Quand aller voir un chirurgien orthopédiste ?

Fracture, entorse, douleur ligamentaires, arthrose, scoliose… Voici de nombreuses situations où il est conseillé de consulter un chirurgien orthopédiste, le médecin spécialiste des pathologies des os et de l’appareil locomoteur (articulations, muscles, tendons, nerfs).


Quelle est la définition de l’orthopédie ?

L’orthopédie est une spécialité chirurgicale qui s’intéresse au diagnostic et à la prise en charge médicale et chirurgicale des maladies du système musculosquelettique, c’est-à-dire des os, des articulations, des ligaments, des muscles, des tendons et des nerfs. Elle couvre ainsi des problématiques de traumatologie (fractures, entorses, sur-sollicitation du sportif) ou chroniques (douleurs mécaniques, arthrose, scoliose) mais aussi les déformations des membres ou des doigts, ou certains problèmes ligamentaires.

Quel est le rôle d’un chirurgien orthopédiste ?

Dans le vaste domaine de l’orthopédie, on distingue le chirurgien orthopédiste, spécialiste de la chirurgie des membres, et l’orthopédiste-orthésiste, qui fabrique des orthèses ou des prothèses. Le chirurgien orthopédiste est unspécialisé en chirurgie préventive et réparatrice de l’appareil locomoteur. A savoir les os, les articulations, le cartilage et les autres tissus mous, dont les ligaments et les muscles. « On va pouvoir soulager des douleurs ou des troubles fonctionnels causés par un accident, une maladie, une malformation congénitale ou par une lésion d’origine sportive ou professionnelle », explique le Docteur Amélie Rogier de Mare, chirurgien orthopédiste pédiatrique à la Clinique Marcel Sembat à Boulogne-Billancourt. Actuellement, son activité se partage entre le traitement orthopédique (plâtre, atèle, rééducation) et chirurgical.

Que soigne un chirurgien orthopédiste ?

Il soigne tous les problèmes des membres inférieurs (hanche, genou et pied), des membres supérieurs (épaule, coude et main) et de la colonne vertébrale (rachis). « En plus du traitement des luxations, des fractures, des entorses qui peuvent arriver par accident, le chirurgien orthopédiste prend en charge des pathologies inflammatoires ou infectieuses, des anomalies de croissances et même des malformations congénitales », ajoute le médecin.

Quand aller voir un chirurgien orthopédiste ?

De nombreuses affections entrent dans le domaine du chirurgien orthopédique, notamment :

  • les entorses ;
  • les fractures ;
  • les luxations ;
  • les hernies discales ;
  • les tumeurs osseuses ;
  • les anomalies de croissance, comme la scoliose ou la cyphose ;
  • ou encore les séquelles de maladies infectieuse ou inflammatoire, comme l’arthrite rhumatoïde.

Comment se déroule une consultation en orthopédie ?

« Le patient enfant peut venir voir directement un chirurgien orthopédiste, sans être adressé par son médecin traitant ou être recommandé par son médecin traitant ou le médecin scolaire qui aura détecté un problème lors d’un examen de dépistage » poursuit le Dr Rogier de Mare. « Le patient adulte doit en revanche être adressé par son médecin traitant ou le service des urgences. » En fonction des symptômes et des examens qui auront pu être faits avant, le chirurgien orthopédique aura deux options :

  • d’un côté un traitement non-chirurgical (prise de médicaments, infiltrations, atèle, confection de semelles, séances de rééducation…) ;
  • de l’autre une intervention chirurgicale. Dans ce second cas, le médecin va exposer de manière claire les dangers, les risques, les difficultés et les modalités de l’intervention chirurgicale qu’il pratiquera.

Préparer sa visite chez le chirurgien orthopédiste

En amont de la visite, il est important de réunir les ordonnances récentes, la liste de tous les médicaments pris et pour quelles raisons, et les éventuelles radiographies, scanners ou encore IRM effectués.

Prix et remboursement d’une consultation en orthopédie

Le prix d’une consultation d’un chirurgien-orthopédiste libéral varie de 50 à 100 euros. La base de remboursement est de 23 €, le complément est à la charge du patient ou de sa mutuelle. « Le prix des interventions chirurgicales peut aller jusqu’à 800 euros de dépassement pour une chirurgie de « pied bot varus équin » et de 300 à 500 euros pour une malformation du pouce. Dans tous les cas, un devis est remis lors de la prise de décision opératoire », assure la spécialiste.

Quelles études pour devenir orthopédiste ou chirurgien orthopédiste ?

Le chirurgien orthopédiste est un médecin spécialisé, qui doit effectuer au minimum 13 années d’étude. A savoir :

  • passer un bac avec majoritairement des spécialités scientifiques (maths, SVT…)
  • réussir le concours de première année de médecine pour entrer en externat ;
  • réussir le concours de médecine de 6ème année et être assez bien placé pour pouvoir choisir la spécialité chirurgie en internat ;
  • durant les 5 années de son internat, l’étudiant doit :
  • réaliser un mémoire ;
  • faire 10 semestres de 6 mois en chirurgie générale et chirurgie spécialisée ;
  • au terme de son internat, l’interne doit soutenir une thèse sur sa spécialité pour que le titre de chirurgien lui soit reconnu.
  • il doit ensuite réaliser 2 années de spécialisation post internat dans la spécialité qu’il a choisie pour devenir chirurgien orthopédiste.

Réalisé en collaboration avec le Docteur Amélie Rogier de Mare, chirurgien orthopédiste pédiatrique à la Clinique Marcel Sembat à Boulogne Billancourt (92).


Source : JDF Santé