Sélectionner une page
Laparotomie : indications, risques et convalescence

Laparotomie : indications, risques et convalescence

Plus invasive que la cœlioscopie, la laparotomie est une opération chirurgicale qui permet un accès direct aux organes du ventre.


La laparotomie est une opération qui consiste à ouvrir l’abdomen du pubis au sternum pour permettre au chirurgien d’accéder aux organes. L’incision peut être faite de différentes manières. Elle est effectuée quand une cœlioscopie, qui utilise une caméra, ne permet pas de bien voir l’abdomen.  Quel est son intérêt ? Ses risques ? Comment prendre soin de sa cicatrice ? Les réponses avec notre chirurgien viscéral.

Quelle différence avec une laparoscopie ?

« La laparotomie est une intervention chirurgicale qui consiste à ouvrir le ventre avec une incision unique plus ou moins grande alors que la laparoscopie, également appelée cœlioscopie, repose sur plusieurs petites incisions qui permettent d’introduire une caméra dans le ventre après l’avoir gonflé avec du dioxyde de carbone », explique le Dr Aurélien Venara.

Indications : quand la faire ?

La laparotomie est indiquée dans différentes situations :

  • quand les patients ont été opérés de nombreuses fois,
  • quand la cœlioscopie ne permet pas d’accéder à la partie souhaitée de l’abdomen,
  • lorsqu’on ne peut pas faire l’intervention correctement par laparoscopie
  • lorsque les tumeurs sont trop grosses pour pouvoir sortir par un petit orifice.

« Néanmoins, la laparotomie est en baisse de régime et les chirurgiens favorisent la laparoscopie quand cela est possible parce que les suites sont meilleures sur le plan de la récupération. Autrement dit, si on décide de faire une laparotomie ce n’est pas une erreur, c’est parce qu’on n’a pas le choix, nuance le chirurgien viscéral. En effet, la laparotomie est seulement la façon dont l’intérieur de l’abdomen est abordé. Cela ne doit pas changer le geste qui est réalisé sur les organes abdominaux« , observe notre interlocuteur.

Comment se déroule une laparotomie ?

L’incision peut être faite de différentes manières.

  • La laparotomie médiane consiste à ouvrir l’abdomen entre le pubis et le sternum.
  • La laparotomie de Pfannenstiel consiste à ouvrir l’abdomen au niveau du bas du ventre de manière horizontale, là où se trouvent les premiers poils pubiens.
  • La laparotomie horizontale

Quelles sont les complications ?

« Le principal risque de complications propre à la laparotomie est celui d’éventration parce que les muscles ou la peau ne cicatrisent pas très bien. Résultat, il y a comme une hernie qui se forme sur la cicatrice. De même, plus l’ouverture est grande, plus il y a un risque d’abcès. Les autres risques sont inhérents à la technique chirurgicale, c’est variable en fonction de l’organe qui est opéré », poursuit le spécialiste.

Quelles sont les suites opératoires ?

Les suites opératoires sont variables en fonction de l’organe qui est opéré. Après une laparotomie, le fonctionnement de l’intestin risque d’être altéré : il se gonfle un peu et les gaz ne sortent plus, c’est l’équivalent d’une occlusion mais fonctionnelle. « En général, cela récupère au bout de quelques jours. Aujourd’hui, la laparotomie est beaucoup mieux tolérée qu’il y a quelques années puisque nous avons fait de nombreux progrès dans la prise en charge de la douleur », se félicite le Dr Aurélien Venara.

Convalescence après une laparotomie

La durée de convalescence varie en fonction de l’organe qui est opéré. « Si on enlève la vésicule biliaire, le patient peut retrouver son domicile au bout de 3 ou 4 jours« , tient à préciser le chirurgien viscéral.

Cicatrice

Au bout de 48 à 72 heures, la cicatrice est laissée à l’air libre et on peut prendre sa douche sans aucun problème

La cicatrice de la laparotomie ne nécessite pas nécessairement de soin particulier lorsqu’elle est effectuée dans un contexte qui présente peu de risque d’infection. En général, des points sont faits sous la peau donc il n’y a pas de fils à enlever. Au bout de 48 à 72 heures, la cicatrice est laissée à l’air libre et on peut prendre sa douche sans aucun problème. « En revanche, si une infection a été détectée, quel que soit le contexte, il peut y avoir des pansements nécessitant les soins d’une infirmière à la maison. De manière générale, les crèmes hydratantes peuvent être recommandées mais il faut savoir que c’est surtout le massage de la cicatrice deux fois par jour qui est important pour assouplir les tissus et casser les adhérences« , prévient le spécialiste.

Peut-on faire du sport après ?

Après une laparotomie, il ne faut pas faire de sport ni porter de charges lourdes pendant un à deux mois. Certains praticiens préconisent le port d’une ceinture de contention. On peut reprendre ses activités de la vie courante mais sans faire d’efforts. 

Merci au Dr Aurélien Venara, chirurgien viscéral au CHU d’Angers.


Source : JDF Santé

Cuisses qui frottent : 5 solutions qui soulagent dès la première journée

Cuisses qui frottent : 5 solutions qui soulagent dès la première journée

Concrètement, l’entre-cuisse brûle, fait mal et des petits boutons rouges peuvent apparaître.


Avoir les cuisses qui frottent ou qui « se touchent » est le désagrément de nombreuses femmes. Cela ne traduit pas nécessairement un surpoids car même des femmes très minces peuvent être concernées. C’est surtout une question de morphologie. En hiver, avoir les cuisses qui se touchent en marchant est peu gênant car le port de collant ou de pantalon réduit les frottements. En été en revanche, la chaleur favorise l’humidité et la transpiration. Quand les cuisses sont nues, « le risque d’un frottement de cuisses est principalement le risque d’irritation et d’échauffement conduisant à une marche douloureuse« , explique le Dr Isabelle Rousseaux, dermatologue à Lille. Concrètement, l’entre-cuisse brûle, fait mal et des petits boutons rouges peuvent apparaître. 

1. Porter un cycliste sous la robe 

« Le mieux est d’éviter la marche sans protection vestimentaire, comme porter un cycliste sous sa robe ou jupe, ou un bermuda au lieu d’un short court car cela limitera les frottements, conseille notre interlocutrice.

2. Mettre une crème qui absorbe la transpiration

« Une crème isolante et anti frottement favorise un glissement de la peau mais son inconvénient est qu’elle est absorbée par la peau au fil de la journée », donc il faut en remettre tout au long de la journée. Le talc aussi absorbe la transpiration, mais qui, en plus de laisser des traces blanches sur les vêtements, est une solution temporaire plutôt que pérenne. Et pour soulager et calmer immédiatement une irritation entre les cuisses, notre dermatologue conseille d’appliquer une crème émolliente et cicatrisante de type BARIÉDERM Cica-Crème d’Uriage© ou CicaPlast Baume B5 de La Roche-Posay©.

3. Essayer les bandes anti-frottements

Autre solution préventive : il existe des bandes anti-frottements, plus discrètes qu’un cycliste, à placer au niveau des cuisses (elles sont antidérapantes et ne glissent pas) afin de protéger sa peau des irritations. Elles sont disponibles sur Internet et dans les grandes enseignes de prêt-à-porter. 

4. Du gel d’aloe vera pour calmer l’irritation

« En cas d’échauffement entre les cuisses, il faut nettoyer délicatement son entre-jambe avec de l’eau et du savon et y appliquer une crème émolliente et cicatrisante, préconise le Dr Rousseaux. Le gel d’aloe vera, connu pour ses vertus cicatrisantes et réparatrices, peut également être utilisé. Il permet de laisser un film protecteur et d’hydrater la peau en profondeur, ce qui soulage immédiatement les irritations. La vaseline permet également d’apaiser les rougeurs et de réparer la peau irritée. 

5. Bien se sécher l’intérieur des cuisses après une baignade

Une irritation entre les cuisses peut aussi survenir après une baignade à la mer, si la peau n’est pas bien séchée. Avec le sel et le sable, les irritations sont favorisées. Ainsi, après chaque bain, il convient de bien sécher l’intérieur de ses cuisses pour éviter les frottements douloureux. 

Les solutions à retenir
Prévenir le frottement Soulager le frottement

Cycliste / Bermuda

Talc

Crème anti-irritation/isolante

Bande anti-frottement

Crème émolliente et cicatrisante

Gel d’aloé vera

Vaseline


Source : JDF Santé

Les plus de 60 ans doivent manger cette quantité d'huile d'olive par jour : elle réduit le déclin cognitif

Les plus de 60 ans doivent manger cette quantité d'huile d'olive par jour : elle réduit le déclin cognitif

Elle permet au cerveau de vieillir moins vite.


A tout âge et encore plus lorsqu’on vieillit, l’huile d’olive est un véritable trésor pour la santé. Riche en acides gras monoinsaturés et en antioxydants puissants comme les polyphénols, elle joue un rôle crucial dans la protection cardiovasculaire et la réduction de l’inflammation. Mais ce n’est pas tout : une vaste étude récente, menée par des chercheurs du département de nutrition d’Harvard suggèrent même qu’elle peut contribuer à ralentir le déclin cognitif et à diminuer le risque de décès lié à la démence, en faisant un allié précieux pour un vieillissement en bonne santé. Oui, mais à condition d’en consommer la bonne quantité chaque jour. 

Pour déterminer la quantité optimale d’huile d’olive à manger par jour, les chercheurs ont suivi plus de 92 000 participant (65% étaient des femmes âgées en moyenne de 57 ans) pendant 28 ans. Tous les 4 ans, leur consommation d’huile d’olive a été évaluée à l’aide d’un questionnaire. Les chercheurs se sont aperçus qu’à partir d’une certaine quantité, le risque de décéder à cause d’une démence était réduite de 28% par rapport au fait de ne jamais ou rarement consommer de l’huile d’olive. Et ce, quelle que soit la qualité de l’alimentation. 

D’après l’étude publiée dans JAMA Network Open, c’est à partir de 7 grammes par jour d’huile d’olive, soit environ une demi cuillère à soupe, que des bienfaits sur la mortalité par démence sont observés. A consommer préférentiellement crue, en assaisonnement sur des salades, légumes, soupes froides ou chaudes (ajoutée juste avant de servir), ou en filet sur du pain, des pâtes ou du poisson après cuisson. La cuisson à haute température peut dégrader une partie de ses précieux polyphénols.

Pour choisir la meilleure huile d’olive pour la santé, privilégier toujours l’huile d’olive extra vierge, idéalement de première pression à froid et issue d’une récolte récente, afin de garantir une teneur maximale en polyphénols et antioxydants bénéfiques.


Source : JDF Santé

Rappel d'un antidépresseur : une impureté potentiellement cancérigène confirmée

Rappel d'un antidépresseur : une impureté potentiellement cancérigène confirmée

Il est surtout pris par des personnes de plus de 60 ans.


Un antidépresseur fait l’objet d’un rappel dans les pharmacies françaises, annonce l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). Ce retrait mènera à une indisponibilité totale du traitement et fait suite à la présence d’une impureté à des taux supérieurs aux normes européennes. Actuellement, ce sont 5 000 patients, en majorité des personnes de plus de 60 ans, qui sont traités par ce médicament en France.

A l’origine de ce rappel, la confirmation par le laboratoire Amdipharm, qui commercialise le médicament, que les taux de nitrosamines présents dans la composition « sont supérieurs aux normes fixées par les autorités européennes », rapporte l’ANSM. Les N-nitrosamines sont des impuretés classés comme carcinogènes probables pour l’homme selon l’Edom (Direction européenne de la qualité du médicament et soins de santé). Cela signifie qu’une exposition sur le long terme peut potentiellement augmenter le risque de développer un cancer. Selon l’Edom, ces impuretés peuvent apparaître de manière accidentelle à différentes étapes de la fabrication ou lors de la conservation du médicament. Toutefois, l’ANSM souligne que la production et la distribution du médicament avaient déjà été suspendues depuis fin mars 2025, dans l’attente d’une confirmation de contamination.

Le traitement concerné est Ludiomil© (maprotiline), un médicament utilisé pour les patients atteints de dépression. Sont visés par ce rappel les lots suivants, distribués jusqu’au 31 mars 2025 : Ludiomil© 25 mg : lot F0016 (expiration le 05/2026) et lot F0017 (expiration le 10/2027) ; Ludiomil© 75 mg : lot F0018 (expiration le 03/2026). Face à ce rappel, l’ANSM communique une consigne claire : ne surtout pas interrompre le traitement seul. Le sevrage brutal expose à des effets indésirables importants (nausées, anxiété, troubles du sommeil, maux de tête…). Le risque lié à cet arrêt brutal est bien plus immédiat et concret que celui lié à l’impureté.

Pour les patients en cours de traitement, « une nouvelle ordonnance de votre médecin sera nécessaire », assure l’ANSM. Des alternatives existent, comme Laroxyl© ou Norset©. Il est donc recommandé aux patients de consulter leur médecin « sans attendre la date du prochain renouvellement d’ordonnance afin d’assurer une continuité de traitement ». La remise à disposition de Ludiomil© n’est pas attendue avant la « fin d’année 2026 », conclut l’agence.


Source : JDF Santé

Voici le taux de cholestérol à ne jamais dépasser après 70 ans, selon un chirurgien cardiaque

Voici le taux de cholestérol à ne jamais dépasser après 70 ans, selon un chirurgien cardiaque

« On est beaucoup plus laxiste en fonction de l’âge ».


C’est une des lignes les plus scrutées sur une analyse de sang : le taux de cholestérol. Et pour cause, cet indicateur clé peut, en cas de déséquilibre, mener à l’athérosclérose : un durcissement des artères qui augmente considérablement le risque d’infarctus ou d’AVC. Mais si les recommandations générales sont bien connues, les objectifs, eux, évoluent nettement après 70 ans. Notre expert nous éclaire.

Pour bien comprendre, il faut savoir que le bilan sanguin distingue deux acteurs. D’un côté, le « mauvais » cholestérol (LDL) qui, comme nous l’explique le Pr Jean-Noël Fabiani-Salmon, chirurgien cardio-vasculaire, « fait rentrer le cholestérol dans les cellules » et risque de boucher les artères. C’est le cholestérol « à surveiller de très près ». De l’autre, le « bon » cholestérol (HDL) qui « fait sortir le cholestérol des cellules » et les nettoie. Partant de ce principe, pour un adulte en bonne santé, on vise un taux de cholestérol total inférieur à 2 g/L, bien que ce chiffre ne soit qu’un repère moyen et varie quand on vieillit.

Pour les plus de 70 ans en pleine forme, les médecins sont plus souples car le lien entre un cholestérol modérément élevé et le risque cardiovasculaire est moins évident. L’enjeu est surtout d’équilibrer les bénéfices d’un traitement avec ses potentiels inconvénients. L’approche change donc radicalement, comme le confirme le Pr Fabiani-Salmon : « On est beaucoup plus laxiste en fonction de l’âge ». Il développe : « On ne peut pas demander un taux de cholestérol qui soit le même chez quelqu’un qui a 70 ans, par rapport à quelqu’un qui a 40 ans. Ce ne serait pas très logique. » Dans ce contexte, un taux de cholestérol total avoisinant les 2,40 g/L peut être considéré comme tout à fait acceptable après 70 ans. Attention, cette tolérance disparaît si la personne est considérée à haut risque, « surtout si vous avez un risque cardiovasculaire », poursuit le spécialiste. C’est notamment le cas après un accident cardiaque (infarctus, AVC) ou en présence d’un diabète important. Pour éviter une récidive, les recommandations officielles sont alors très strictes : l’objectif est d’abaisser le « mauvais » cholestérol (LDL) le plus possible, souvent sous la barre de 0,7 g/L.

La discussion avec votre médecin reste donc primordiale pour définir le taux idéal en fonction de votre profil personnel et de vos antécédents de santé.

Merci au Pr Jean-Noël Fabiani-Salmon, chirurgien cardio-vasculaire, professeur Émérite à l’Université de Paris et membre du Conseil de l’Ordre des Médecins.


Source : JDF Santé

La science le prouve : c'est la seule plante qui "nettoie" le cerveau et protège contre Alzheimer

La science le prouve : c'est la seule plante qui "nettoie" le cerveau et protège contre Alzheimer

On l’adore en été.


On l’adore en été.

Perdre ses souvenirs, ne plus reconnaître ses proches, oublier les gestes du quotidien… C’est la dure réalité de la maladie d’Alzheimer. Cette maladie crée une sorte de « rouille » dans le cerveau sous forme de plaques qui abîment et détruisent les neurones, nos cellules cérébrales. Les traitements actuels aident à ralentir les symptômes, mais ne guérissent pas la maladie. C’est pourquoi la recherche s’emploie activement à trouver des moyens de prévention. Parmi eux, certains aliments auraient des bienfaits très efficaces sur la progression de la maladie. Des chercheurs japonais ont exploré la piste d’une herbe aromatique.

Pour cela, les scientifiques ont utilisé des souris de laboratoire, génétiquement modifiées ayant développer les signes de la maladie d’Alzheimer. L’équipe a ensuite divisé les souris en deux groupes : le premier a reçu une alimentation normale, tandis que le second a consommé la même nourriture, mais enrichie avec la poudre d’une certaine plante aromatique. L’idée était que la substance active de cette plante irait directement dans le cerveau pour combattre la fameuse « rouille ». Malheureusement, comme ils l’expliquent dans la revue Scientific Reports, le composant principal passait très difficilement la barrière de protection du cerveau : « Il a donc été déduit que son effet […] résultait d’autres mécanismes ».

Alors, comment agit cette plante ? D’après les résultats, son principal composé agit en réalité comme un messager qui envoie un signal au cerveau pour lui dire de freiner la production d’une enzyme qui « nettoie » la dopamine, une substance essentielle à la communication entre les neurones. Résultat : avec moins de « nettoyage », le niveau de dopamine dans le cerveau augmente. C’est cette augmentation de dopamine qui, à son tour, empêche les protéines toxiques de s’agréger pour former les plaques de la maladie d’Alzheimer. Le composé ayant permis cet exploit s’appelle l’acide rosmarinique qui, comme son nom le suggère, est présent dans le romarin. Cette plante méditerranéenne est utilisée en cuisine comme aromate. Elle est aussi réputée depuis des siècles pour ses vertus, notamment sa richesse en antioxydants qui protègent nos cellules du vieillissement.

Selon les chercheurs japonais, le romarin pourrait donc être un excellent allié de prévention contre la maladie d’Alzheimer, en aidant le cerveau à mieux se défendre. Il ne s’agit bien sûr pas d’un remède miracle et cela ne se substitue pas à un traitement médical. Mais l’avantage de cette piste, comme le soulignent les scientifiques, est son excellente tolérance : « [L’]acide rosmarinique étant une substance familière dans l’alimentation humaine, son risque en tant que traitement devrait être faible ». En branches dans nos plats mijotés, ciselé sur nos grillades ou en infusion, le romarin peut être un coup de pouce précieux pour la santé de notre cerveau.


Source : JDF Santé