La croûte de ce fromage est dangereuse pour la santé, il ne faut pas la manger

La croûte de ce fromage est dangereuse pour la santé, il ne faut pas la manger

« Surtout si on est fragile. »


La croûte du fromage est clivante : certains l’adorent, d’autres la détestent. Ceci dit, peut-on la manger sur tous les fromages ? Dans quels cas faut-il la retirer ? « On est dans un pays où on aime la croûte du fromage, ça amène un goût supplémentaire, une texture particulière, des arômes… Dans l’ensemble, l’immense majorité des croûtes de fromage français sont comestibles », nous rassure d’emblée Caroline Boquet, formatrice en produits laitiers à l’Ecole Française du Fromage. 

La croûte est riche en sels minéraux, en probiotiques (elle est bonne pour les intestins) et apporte un réel intérêt gustatif dans de nombreux fromages. C’est notamment le cas des fromages à pâte molle et croûte fleurie (camembert, brie), des fromages à croûte lavée (munster, époisses, maroilles…), des fromages à pâte persillée (fourme d’Ambert, roquefort, bleu…) ou encore des fromages à pâte pressée non cuite comme la raclette, le reblochon ou le Saint-Nectaire. Les croûtes des petits fromages comme les chèvres où des petites tâches bleues apparaissent sont aussi tout à fait comestibles. « Ce sont de bonnes moisissures qui se mangent. » Enfin, « la cendre des chèvres cendrés est parfaitement comestible, c’est la même cendre qui forme la marbrure au milieu du morbier« , tient à préciser notre interlocutrice. 

Les très gros fromages, qu’on appelle des meules, comme le comté, le beaufort ou l’abondance restent longtemps à l’air libre dans les caves d’affinage qui ne sont pas toujours très propres. Et au moment de leur commercialisation, ces meules sont plus ou moins emballées et peuvent être transportées, roulées ou stockées par terre, sur des palettes ou dans les camions des transporteurs. « Certaines meules n’ont pas une croûte propre et d’un point de vue microbiologique, il vaut mieux éviter de la manger, surtout si on est fragile« , recommande notre experte. 

« Ce que je conseille aux gens qui aiment la croûte mais qui ont peur du côté hygiénique, c’est de venir gratter avec la pointe d’un couteau la surface (environ un millimètre) pour ne garder que la partie de la croûte non exposée aux saletés. » Certains fromages sont recouverts d’une fine couche de cire comme le gouda, la mimolette jeune, l’edam ou certains cheddars. « Cette cire fait office d’emballage alimentaire et elle n’est pas comestible, il faut la retirer« , poursuit Caroline Boquet. De manière générale, on déconseille aux femmes enceintes de manger les croûtes des fromage en raison du risque de listéria.


Source : JDF Santé

Ce jeu de société peut retarder la maladie d'Alzheimer – un grand favori des Français depuis 1955

Ce jeu de société peut retarder la maladie d'Alzheimer – un grand favori des Français depuis 1955

Il est indémodable.


Les jeux de société retrouvent des couleurs ces dernières années. Jeux de stratégie, de carte, d’ambiance, d’enquête… Les Français sont de plus en plus nombreux à retrouver le plaisir d’ouvrir un plateau de jeu et de s’asseoir autour d’une table pour un moment de partage, de convivialité mais surtout de « jeu ». Car c’est aussi pour cela que les adultes aiment les jeux de société. Pour le plaisir de « jouer » comme quand ils étaient enfants.

En 2023, le marché du jeu de société en France réalisait un chiffre d’affaires de 680 millions d’euros, rapporte le site Solitaire.net à l’occasion d’une étude menée pour lister les jeux de société préférés des Français. Pour réaliser cette étude, ils ont collecté et analysé les volumes de recherche de divers jeux de sociétés sur Google. Comme base d’enquête, ils ont utilisé des listes de jeux de sociétés disponibles sur des sites spécialisés dans la vente de jeux de sociétés. Les données ont été collectées en novembre 2024.

A l’arrivée, ils révèlent les 25 jeux de société les plus populaires auprès des internautes français. Parmi eux, La Bonne Paye, Docteur Maboul, Dobble, Gagne ton papa !, Kluster, Cluedo, Qui est-ce ?, Puissance 4 ou encore Uno. Sur la troisième place du podium, le jeu d’ambiance Skyjo ; en deuxième position l’incontournable Monopoly et sur la première place, le célèbre et indémodable Scrabble. Presque 70 ans après avoir été commercialisé pour la première fois en France (le 19 janvier 1955), ce grand classique des jeux de lettres continue de séduire les Français. Pour rappel son objectif est simple : placer des mots sur un plateau et atteindre le plus de points possible.

C’est un excellent jeu pour aider les enfants à développer leur vocabulaire et entraîner leur orthographe de même que pour les adultes. Il est aussi recommandé en vieillissant, particulièrement contre la maladie d’Alzheimer puisqu’il allie stratégie et mémoire, selon la Fondation Alzheimer. « Au-delà de ces vertus ludiques et sociales, les jeux sont excellents pour le cerveau : ils stimulent l’attention, la concentration, la mémoire et l’apprentissage mais également le plaisir et la motivation d’apprendre. Il s’agit d’un excellent moyen pour entretenir et préserver son capital-cerveau tout en prévenant la maladie d’Alzheimer. »

D’autres jeux sont recommandés par la Fondation comme le jeu de carte Dixit©, le jeu Profiler©, le jeu Imagine©, le jeu de réflexion Cortex©, ou encore le Memory©. A vous de choisir celui que préfèrent vos ainés, il vous reste encore un peu de temps pour être prêt pour les fêtes.


Source : JDF Santé

À quoi ressemble une crise cardiaque ?

À quoi ressemble une crise cardiaque ?

Le cardiologue nous explique ce que l’on ressent précisément en cas de crise cardiaque. Il faut appeler le 15.


On parle de « crise cardiaque » mais en médecine « le terme exact est infarctus du myocarde » rétablit d’emblée le Dr Clément Dezou, clément, cardiologue à la Polyclinique de Bordeaux Nord. « L’infarctus du myocarde prive le muscle cardiaque d’oxygène, ce qui peut entraîner des dommages ou la mort du tissu cardiaque si le blocage n’est pas rapidement traité. » La cause principale c’est la plaque d’athérome. « Elle se forme petit à petit dans la paroi artérielle, notamment à cause du cholestérol. Et lorsque cette plaque d’athérome se rompt, elle provoque une cascade d’inflammation de plaquettes, entraînant l’occlusion de l’artère coronaire et empêchant les cellules cardiaques d’être fournies un oxygène », poursuit le médecin. « Les cellules meurent, on parle de nécrose myocardique, il y aura toujours des séquelles au niveau cardiaque. » 

En cas d’infarctus du myocarde, « le signe principal est la douleur thoracique qui est en barre, persiste pendant 15-20 minutes, ne cède pas, notamment avec l’utilisation de vasodilatateurs en spray et peut irradier dans la mâchoire et dans les bras, détaille le cardiologue. C’est précisément ce que ressentent les patients. » Dans certains cas, il peut y avoir une symptomatologie atypique. « Elle touche le plus souvent les personnes âgées et les femmes. Ça peut être des douleurs au niveau de l’estomac, ça peut être que des douleurs dans la mâchoire, que des douleurs au niveau du bras droit ou bras gauche, ça peut être aussi une fatigue ou des nausées. »

Les personnes âgées, qui ont souvent des troubles cognitifs, peuvent avoir, en cas d’infarctus, des signes de confusion, c’est-à-dire qu’ils sont perdus dans le temps et dans l’espace. « Enfin, il existe certains cas où l’infarctus du myocarde peut passer inaperçu, c’est-à-dire que les patients n’ont pas de symptômes et on découvre après en faisant un électrocardiogramme où le diagnostic est déjà constitué. » « Si on voit une personne avec une douleur thoracique en barre qui persiste plus de 20 minutes, qui est intense avec potentiellement des irradiations, on appelle le 15 ! », insiste le médecin. « Après, avec les nouvelles technologies d’intelligence artificielle, les portables connectés, il est possible de réaliser soi-même un électrocardiogramme qui va être analysé et permettre un diagnostic immédiat sans attendre le SAMU. »

Les conséquences de l’infarctus varient selon les personnes, « elles peuvent comprendre de l’anxiété, de la dépression, de la vulnérabilité, voire du déni quelquefois » expose le cardiologue. Le fait d’avoir des performances physiques diminuées peut entraîner un retentissement psychologique. « Chez les hommes, par exemple, la mise en place des traitements peut avoir des conséquences sur la vie sexuelle, avec des troubles de l’érection, entraînant des symptômes psychologiques là encore variable suivant les patients. » On peut retrouver aussi des atteintes somatiques, c’est-à-dire qu’à la moindre petite douleur thoracique, le patient peut avoir une grosse inquiétude alors que cette douleur n’est pas alarmante. 


Source : JDF Santé

Décongestionnant nasal : liste, danger des vasoconstricteurs

Décongestionnant nasal : liste, danger des vasoconstricteurs

Un vasoconstricteur ou « décongestionnant nasal » est un médicament pris pour déboucher le nez en cas de rhume. Ces traitements sont associés à un risque d’effets secondaires rares mais graves.


Actifed Rhume®, Humex Rhume®, Rhinadvil Rhume®… Les vasoconstricteurs sont des médicaments souvent utilisés pour soulager les symptômes du rhume. Ils servent à décongestionner le nez. Mais ils « sont associés à un risque d’effets indésirables rares mais graves, tels que des infarctus du myocarde ou des accidents vasculaires cérébraux« , alertait l’Agence du médicament en 2021. En 2023, elle a décidé de déconseiller leurs utilisations et demander une réévaluation de ces médicaments au niveau européen. Et à compter du 11 décembre 2024, elle a placé ces médicaments sur la liste des substances uniquement disponibles sur ordonnance.

Définition : qu’est-ce qu’un vasoconstricteur ?

Un vasoconstricteur est un médicament qui vise à décongestionner le nez. Il est souvent associé à un antalgique (paracétamol, ibuprofène) ou à un antihistaminique (cétirizine). Il est capable de rétrécir les vaisseaux sanguins. Les molécules qu’il contient (par exemple la pseudoéphédrine, associée souvent à du paracétamol ou de l’ibuprofène) ont donc un effet décongestionnant qui diminue la sensation de nez bouché en cas de rhume par exemple.

Quels sont les dangers et effets secondaires ?

Depuis le mois de janvier 2020, l’Agence nationale du médicament rappelle que les vasoconstricteurs exposent aux risques :

  • d’accident vasculaire cérébral (AVC),
  • des troubles cardiaques comme l’infarctus du myocarde,
  • l’élévation de la tension artérielle,
  • des convulsions,
  • des hémorragies gastro-intestinales,
  • des réactions cutanées graves (rougeurs sur le tout le corps, pustules accompagnées de fièvre).

Des effets qui peuvent survenir « quelles que soient la dose et la durée du traitement » insiste l’ANSM. Aussi il est conseillé d’arrêter le traitement et de contacter le médecin sans attendre quand on observe ces symptômes.

Liste : quels sont les médicaments vasoconstricteurs ?

  • Actifed Rhume®, comprimé
  • Actifed Rhume Jour et Nuit®, comprimé
  • Actifed LP Rhinite allergique®, comprimé pelliculé à libération prolongée
  • Dolirhume® Paracétamol et Pseudoephédrine, 500 mg/30 mg comprimé
  • Dolirhumepro® Paracétamol, Pseudoephédrine et Doxylamine, comprimé
  • Humex Rhume®, comprimé et gélule
  • Nurofen Rhume®, comprimé pelliculé
  • Rhinadvil Rhume® Ibuprofène et Pseudoéphédrine, comprimé enrobé
  • Rhinadvilcaps Rhume® Ibuprofène et Pseudoéphédrine, 200 mg/30 mg, capsule molle
  • Rhinureflex®, comprimé pelliculé
  • Rhumagrip®, comprimé

Quelles sont les recommandations ?

L’Agence nationale du médicament déconseille les vasoconstricteurs depuis octobre 2023. Si vous souhaitez prendre un vasoconstricteur, il est recommandé :

  • d’informer votre pharmacien de vos antécédents médicaux : il saura vous dire si vous pouvez prendre ce traitement.
  • de respecter la posologie (dose et fréquence de prise) conseillée par votre pharmacien.
  • de ne pas dépasser 5 jours de traitement : consultez votre médecin si vos symptômes persistent ou s’aggravent.
  • de ne pas associer ces médicaments avec un autre vasoconstricteur pris par voie orale ou nasale ou un autre médicament contenant du paracétamol, de l’ibuprofène ou un antihistaminique. La composition du médicament est indiquée sur la face principale de la boîte.
  • de ne pas utiliser cess médicaments chez l’enfant de moins de 15 ans.

Les vasoconstricteurs sont fortement déconseillés pendant toute la grossesse et ne doivent jamais être utilisés à partir de la fin du 5e mois de grossesse lorsqu’ils comportent de l’ibuprofène. En cas d’allaitement, les vasoconstricteurs sont strictement interdits.

Que faire si vous avez pris un vasoconstricteur ?

Le mieux est d’être attentif aux symptômes pouvant traduire la survenue d’un accident vasculaire cérébral ou d’un infarctus du myocarde (pour les connaître, consultez le document d’information destiné aux patients). Si un de ces symptômes apparait, il faut immédiatement arrêter de prendre ce médicament et consulter immédiatement son médecin. Attention, ces effets indésirables peuvent survenir quelques soient la dose et la durée d’exposition à ces médicaments.


Source : JDF Santé

Pseudoéphédrine : danger, médicament du rhume, c'est quoi ?

Pseudoéphédrine : danger, médicament du rhume, c'est quoi ?

Parce qu’ils contiennent de la pseudoéphédrine, les médicaments vasoconstricteurs peuvent entraîner des infarctus et AVC.


Présente dans plusieurs médicaments notamment pour soulager les symptômes du rhume, la pseudoéphédrine n’est pas dénuée de risques. A tel point qu’en décembre 2024, l’ANSM a décidé de passer leur vente sous ordonnance. « Des infarctus du myocarde et des accidents vasculaires cérébraux peuvent se produire après utilisation de médicaments vasoconstricteurs (pseudoéphédrine) destinés à soulager les symptômes du rhume. Le risque est très faible mais ces événements peuvent se produire quelles que soient la dose et la durée du traitement » a expliqué l’agence du médicament.

Définition : c’est quoi la pseudoéphédrine ?

La pseudoéphédrine est un vasoconstricteur, c’est-à-dire une substance réduisant le diamètre des vaisseaux sanguins employée pour déboucher le nez. Elle est administrable par voie orale et toujours associée au paracétamol ou à l’ibuprofène pour soulager les symptômes tels que des maux de tête et de la fièvre. Son utilisation est exclusivement réservée à l’adulte et à l’enfant de plus de 15 ans.

Dans quels médicaments ?

En association au paracétamol ou à l’ibuprofène, la pseudoéphédrine est présente dans les médicaments suivants :

  • Actifed rhume®
  • Actifed rhume jour et nuit®
  • Dolirhume®
  • Dolirhumepro Paracétamol Pseudoéphédrine et Doxylamine®
  • Humex Rhume®
  • Nurofen Rhume®
  • Rhinadvil Rhume Ibuprofène/ Pseudoéphédrine®
  • Rhinadvilcaps Rhume Ibuprofène/ Pseudoéphédrine®

Quels sont les effets de la pseudoéphédrine ?

La pseudoéphédrine induit un rétrécissement des vaisseaux sanguins pour freiner la production de mucus au niveau de la muqueuse nasale. Cela permet de soulager la sensation de nez bouché dans un contexte de rhume ou de grippe. Cette molécule est donc qualifiée à la fois de vasoconstrictrice et de décongestionnante. 

Est-elle disponible sans ordonnance ?

Tous les médicaments renfermant de la pseudoéphédrine sont uniquement disponibles sur ordonnance à compter du 11 décembre 2024. Avant cette date, ils pouvaient être achetés librement. Ils ne sont pas remboursés

Quelle est la dose maximale ?

Selon les spécialités commerciales, la pseudoéphédrine est dosée à 30 mg ou 60 mg par comprimé pouvant être administré à raison d’un à deux par prise. Sachant que ces comprimés ne doivent pas être pris plus de 3 fois par jour, la dose maximale journalière de pseudoéphédrine est fixée à 180 mg. La durée maximale du traitement est de 4 à 5 jours. En l’absence d’amélioration des symptômes, une consultation médicale s’impose.

Quels sont les dangers de la pseudoéphédrine ?

Les effets indésirables les plus fréquemment observés avec la pseudoéphédrine sont :

  • une sécheresse de la bouche,
  • des nausées,
  • des vertiges,
  • une nervosité,
  • une agitation
  • une insomnie
  • des maux de tête,
  • des hallucinations,
  • une somnolence
  • des convulsions sont possibles.

Des éruptions cutanées, des démangeaisons, des allergies voire exceptionnellement un choc anaphylactique ont aussi été répertoriés. Cette molécule peut provoquer une inflammation du côlon par diminution de l’apport sanguin, un glaucome à angle fermé et une lésion du nerf optique.

Les médicaments à base de pseudoéphédrine exposent également à des effets indésirables cardiovasculaires tels qu’une hypertension artérielle, des palpitations cardiaques. D’autres manifestations rares, mais beaucoup plus sévères, peuvent survenir : un infarctus du myocarde, un accident ischémique transitoire (obstruction transitoire d’un vaisseau sanguin par un caillot) voire un AVC hémorragique conduisant à une nécrose de la zone touchée. Ces phénomènes ont surtout été rapportés en cas de surdosage. Afin de limiter la survenue d’effets indésirables, le médicament doit être instauré à la dose minimale efficace et pendant la période la plus courte possible. Par ailleurs, une vigilance est requise chez certains sportifs puisque la pseudoéphédrine figure sur la liste des substances interdites en compétition.

Quelles sont les contre-indications de la pseudoéphédrine ?

La pseudoéphédrine présente de nombreuses contre-indications : 

  • allergie à l’un des composants du médicament
  • risque de rétention urinaire 
  • risque de glaucome à angle fermé
  • insuffisance coronarienne sévère
  • hypertension artérielle sévère ou déséquilibrée
  • antécédents de convulsions
  • antécédents d’AVC ou présence de facteurs de risque pouvant être responsables d’un AVC
  • enfant de moins de 15 ans
  • allaitement

En outre, la pseudoéphédrine est formellement contre-indiquée en association avec certains médicaments, comme d’autres vasoconstricteurs (oraux et nasaux), la midodrine (Gutron®), le méthyphénidate (Ritaline®), l’iproniazide (Marsilid®). Il est préconisé de communiquer ses antécédents médicaux et ses traitements en cours à son médecin ou à son pharmacien avant de prendre de la pseudoéphédrine. Les médicaments à base de pseudoéphédrine ne sont pas contre-indiqués durant la grossesse mais très fortement déconseillés.


Source : JDF Santé