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C'est la phrase fétiche des manipulateurs, elle désarme même les personnes confiantes

C'est la phrase fétiche des manipulateurs, elle désarme même les personnes confiantes

Il ne reconnait jamais ses torts et rebondit avec ces mots.


Les manipulateurs se nourrissent de l’énergie et des qualités des autres pour asseoir leur pouvoir. Tout le monde peut y être exposé un jour : au travail, dans la vie amoureuse, entre amis ou même en famille. Le manipulateur emploie des phrases d’apparence anodine souvent lancées sous couvert de l’inquiétude ou du simple conseil. En réalité, ces mots sèment le doute et sapent la confiance en soi. 

Au fur et à mesure, un état de confusion s’installe. La personne ciblée ne sait plus si ses sentiments et émotions sont légitimes ou non. L’emprise psychologique est une manipulation subtile qui peut toucher tous types de personnes. Elle s’installe dans la durée, affaiblissant peu à peu la vitalité. « Être sous emprise, c’est comme si quelqu’un vous volait ce qu’il y a de meilleur en vous« , illustre le Dr Ramani Durvasula, psychologue clinicienne.

Le manipulateur ne reconnaît jamais ses torts et ne s’excuse pas. Au lieu de cela, il répond « C’est ta faute si je me comporte comme ça », pendant un conflit, une confrontation ou tout simplement pour justifier un manque d’engagement. « Cette phrase est particulièrement inattendue et déstabilisante car elle constitue un renversement complet et absurde de la responsabilité. Au lieu d’assumer ses propres actions, le manipulateur blâme la victime pour son mauvais comportement« , explique-t-elle dans son podcast intitulé « Navigating Narcissism with Dr. Ramani ».

Face à ce genre de phrases, le plus important est de ne pas se justifier, se défendre, ou argumenter, car cela alimente la dynamique de manipulation. L’approche la plus saine et la plus puissante est d’affirmer calmement que chacun est responsable de ses propres actions, ce qui permet de poser une limite et de ne pas se laisser entraîner dans le jeu de la culpabilité du manipulateur. Vous pouvez par exemple utiliser des phrases comme « ton comportement t’appartient » ou « je ne prendrai pas la responsabilité de ce que tu as fait ». Par ailleurs, parler à un proche ou à un professionnel de confiance permet de retrouver une perspective saine et d’échapper à cette emprise psychologique. 


Source : JDF Santé

Quels sont les symptômes de la spondylarthrite ankylosante ?

Quels sont les symptômes de la spondylarthrite ankylosante ?

Cette maladie, associée à une prédisposition génétique, touche le plus souvent des jeunes adultes, avant 45 ans.


« J’ai mal tout le temps. » Âgée de 28 ans, la chanteuse Louane a révélé souffrir de spondylarthrite ankylosante dans le podcast Alice Underground le 3 septembre 2025. Cette maladie se caractérise par l’inflammation chronique des articulations, des ligaments et parfois des tendons, nous explique le Dr Eléonore Berard, rhumatologue. Elle est associée à une prédisposition génétique, notamment la présence fréquente du marqueur HLA-B27. Elle peut affecter des personnes de tous âges, mais est le plus souvent diagnostiquée chez les jeunes adultes avant 45 ans. Elle a une prévalence plus élevée chez les hommes que chez les femmes.

Les symptômes de la spondylarthrite ankylosante peuvent être subtils au début et ressembler à d’autres affections ce qui complique le diagnostic. Un premier symptôme revient le plus souvent chez les malades : l’atteinte de la colonne vertébrale : « La spondylarthrite ankylosante va provoquer une inflammation du dos (donc des douleurs), et au niveau des articulations sacro-iliaques, situées à la jonction entre le sacrum (partie inférieure de la colonne vertébrale) et l’os iliaque (os du bassin)« , détaille la spécialiste. Les hanches, les genoux et les épaules peuvent être également douloureuses, enflées et raides. « Cette inflammation entraine une raideur matinale importante, qui peut durer des heures et s’améliorer avec l’activité physique, et des réveils en fin de nuit à cause de la douleur« , poursuit-elle. La maladie évolue lentement mais peut « dans certains cas, conduire à une fusion des articulations vertébrales ou sacro-iliaque, entraînant une perte de mobilité« , explique notre interlocutrice.

La maladie peut toucher les articulations des chevilles, genoux, poignets, épaules, ou des mains, de façon associée ou non à l’atteinte de la colonne vertébrale et du bassin. « Les symptômes peuvent être des douleurs ou des gonflements de ces articulations, des doigts ou des orteils (dactylites) souvent asymétriques, ou une inflammation des tendons ». En plus des symptômes articulaires et de la colonne vertébrale, peut s’associer une inflammation des yeux (uvéite), de la peau comme le psoriasis et du tube digestif. Les personnes peuvent ressentir une fatigue importante, qui peut être liée à l’inflammation constante et à la gestion de la douleur.

Le traitement peut inclure des médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens, des médicaments biologiques (inhibiteurs du facteur de nécrose tumorale (TNF) ou d’autres molécules de l’inflammation) ou dans certains cas, des médicaments antirhumatismaux modificateurs de la maladie (DMARD). « Cependant, leur efficacité peut varier d’une personne à l’autre« , reconnait le Dr Berard. En complément, un programme d’exercices réguliers, supervisé par un physiothérapeute, peut aider à maintenir la flexibilité et la mobilité des articulations. Des exercices spécifiques peuvent être recommandés pour renforcer les muscles autour de la colonne vertébrale et de la cage thoracique. Un suivi régulier avec un rhumatologue est essentiel pour ajuster le plan de traitement en fonction de l’évolution de la maladie et de la réponse au traitement.


Source : JDF Santé

Faut-il avoir peur de l'anesthésie ?

Faut-il avoir peur de l'anesthésie ?

L’anesthésie peut susciter de grandes inquiétudes, même si ses risques sont extrêmement rares. Le point avec Bruno Vibert, psychothérapeute.


Selon la Société Française d’Anesthésie et de Réanimation (Sfar), plus de 13 millions d’anesthésies sont pratiquées chaque année en France, On distingue deux types d’anesthésie : l’anesthésie générale qui supprime temporairement la conscience et la sensibilité à la douleur et l’anesthésie locorégionale qui rend indolore une partie du corps seulement. Dans la première, le patient est totalement endormi et est donc inconscient, tandis que dans la deuxième, le patient est réveillé et conscient. A noter que parmi les anesthésies loco-régionales, on trouve la rachianesthésie et la péridurale, utilisées pour endormir la moitié inférieure du corps, ainsi que l’anesthésie par bloc nerveux. Comment se déroule-t-elle ? Est-il légitime d’en avoir peur ? Comment gérer son stress à l’approche de l’intervention ? Conseils du Bruno Vibert, psychothérapeute spécialisé dans la gestion des émotions liées à une phobie ou à une angoisse.

Comment se déroule une anesthésie ?

Une anesthésie est toujours réalisée par des médecins spécialistes en anesthésie-réanimation dans un environnement très réglementé.

  • Avant toute intervention chirurgicale programmée nécessitant une anesthésie (générale ou locorégionale), le patient a rendez-vous avec un médecin anesthésiste entre 48 heures et une semaine avant le jour de l’opération. Lors de cette rencontre, le médecin choisit le type d’anesthésie le plus adapté. Sont ensuite évoqués le déroulé de l’anesthésie, les risques encourus et les effets secondaires (maux de tête, fatigue, nausées, lésions dentaires, troubles de l’attention, faiblesse musculaire…). Enfin, une prise de sang est réalisée. 
  • Le jour de l’opération, le patient est préparé (douche avec du savon antimicrobien, rasage de la zone à opérer…), installé dans un lit et emmené au bloc opératoire où il est pris en charge par une équipe d’anesthésie. Le médecin anesthésiste, épaulé par un infirmier, pose une voie veineuse pour y injecter des médicaments qui suppriment la conscience et des antalgiques pour supprimer les douleurs, ou un masque facial qui diffuse un gaz anesthésiant à respirer. Il installe les différents appareils pour mesurer la tension, la respiration et l’activité cardiaque.

La mortalité liée à l’anesthésie a été divisée par 10

  • Lors de l’opération, un ou plusieurs membres de l’équipe d’anesthésie sont là pour surveiller l’état du patient, administrer en continu des médicaments pour maintenir ce sommeil artificiel, adapter la dose de produit anesthésiant et préparer son réveil en cessant l’administration de produits. 
  • Après l’opération, le patient est ensuite amené en salle de réveil où il est pris en charge par d’autres médecins et infirmiers anesthésistes. Le patient reprend peu à peu connaissance jusqu’à ce qu’il soit reconduit dans sa chambre. Le patient doit alors s’alimenter légèrement pour retrouver de la force après ces quelques heures de jeun. 

Quels sont les risques ? Décès, réveil…

« Il y a extrêmement peu de risques de ne pas se réveiller ou de se réveiller pendant l’intervention. Les anesthésies sont extrêmement bien maîtrisées, préparées et sécurisées« , rassure le psychothérapeute Bruno Vibert. La mortalité liée à l’anesthésie a été divisée par 10 entre 1980 et 1999, D’après les chiffres actualisés par Santé Publique France en 2019, les taux de décès totalement ou partiellement liés à l’anesthésie sont respectivement de 6,9 et 47 par million. Aujourd’hui, les produits utilisés ne présentent quasiment plus d’effets indésirables et les techniques anesthésiques sont très sûres : l’administration de l’anesthésiant est pilotée par ordinateur et la surveillance tout au long de l’intervention est minutieusement réalisée par un électroencéphalogramme (EEG), une méthode d’exploration cérébrale extrêmement fiable permettant de mesurer l’activité du cerveau et d’ajuster les doses en cas de besoin. 

Que traduit la peur de l’anesthésie ?

L’anesthésie générale n’est pas un acte naturel et anodin, il s’agit d’une mise en sommeil programmée, et qui peut donc être anxiogène. « Il faut à tout prix accepter cette peur et ne pas culpabiliser, car avoir peur est un mécanisme tout à fait naturel. Il s’agit d’un phénomène de protection qui se met en place automatiquement lorsqu’on ressent un danger. Et l’anesthésie générale peut tout à fait être perçue comme un danger« , rassure Bruno Vibert. La peur de l’anesthésie générale reflète généralement trois peurs beaucoup plus profondes : la peur de ne jamais plus se réveiller, la peur de perdre son contrôle ou encore, la peur de se réveiller pendant l’intervention. Toutefois, « il faut dissocier la peur de la phobie : la peur est un phénomène naturel où il y a une certaine logique et conscience, alors que la phobie correspond à une peur irrationnelle et incontrôlable« , précise l’expert.

Derrière la peur de ne pas se réveiller, se cache la peur de mourir

Contrairement à la mort, l’anesthésie est une action réversible : le patient n’est pas inerte, mais simplement déconnecter de l’environnement. Ainsi, une fois que l’on arrête de lui administrer des produits hypnotiques, le patient redevient progressivement conscient. « La peur de se réveiller pendant l’intervention, quant à elle, nous ramène à la souffrance. Cette peur traduit en réalité la peur de souffrir, de voir toutes les actions que l’on peut faire sur nous et de ressentir la douleur pendant l’opération« , explique Bruno Vibert. Enfin, « la peur de perdre le contrôle cache une peur de révéler une part de nous ou d’être manipulé par les autres. Cela peut traduire également un manque de confiance envers l’équipe médicale. D’autant plus que pour une opération nécessitant une anesthésie générale, on est déshabillé, ce qui renforce encore plus le malaise, la perte de pudeur et la mise à nu. Toutefois, il faut se rassurer. Pendant une anesthésie, on n’est pas tout à fait en perte de contrôle car, même si nous sommes inconscient, notre corps, lui, continue de fonctionner et de se réguler comme s’il était réveillé« , précise le psychothérapeute.

Comment vaincre sa peur de l’anesthésie ?

Quelques jours avant l’intervention, il est possible de faire une séance de sophrologie lors de laquelle vous allez travailler votre respiration et apprendre à mieux gérer vos émotions. Pour se détendre, il est également possible de pratiquer l’auto-massage des tempes, régions où il y a une accumulation de nerfs. Vous pouvez également travailler la visualisation ou l’imagerie mentale, idéales pour se créer une bulle de protection. « Par exemple, la veille de l’anesthésie : fermez les yeux, respirez lentement et imaginez un lieu dans lequel vous vous sentez bien. Cet exercice peut très bien être réalisé quelques minutes avant le début de l’intervention. Il est également important de relativiser et de se projeter dans « l’après-anesthésie », même si cela exige un gros effort mental. Pour vous aider, posez-vous ces questions : comment vais-je me sentir après l’opération ? Quelles sensations vais-je retrouver dès mon réveil ? « , conseille Bruno Vibert.  

Lors du rendez-vous pré-anesthésie avec le médecin, il faut poser toutes ses questions sans hésitation. « Le soignant est là pour vous rassurer si vous ressentez de l’anxiété : son rôle est de vous mettre en confiance et le plus à l’aise possible. Et plus vous aurez des informations sur l’intervention, moins votre peur de l’inconnu sera grande« , confie l’expert. Par ailleurs, avant votre arrivée au bloc opératoire, un médicament contre l’anxiété peut vous être proposé. Ce comprimé permet de calmer l’angoisse et faciliter l’endormissement du futur opéré. Dans la mesure du possible, faites-vous accompagner à l’hôpital par une personne proche qui saura vous apaiser et vous aider à prendre du recul sur votre peur. Cette personne ne pourra pas accéder à la salle des opérations, mais sera présente dans la salle d’attente puis à votre retour en chambre.


Source : JDF Santé

Pilule du lendemain gratuite : conditions, pour qui, en pharmacie ?

Pilule du lendemain gratuite : conditions, pour qui, en pharmacie ?

La pilule du lendemain (contraception d’urgence) est entièrement prise en charge donc gratuite en France.


La pilule du lendemain, une contraception d’urgence qu’on peut prendre au plus tard dans les 3 à 5 jours (selon le type de pilule) après un rapport sexuel à risque de grossesse, est entièrement prise en charge sans avance de frais donc gratuite pour les femmes. L’objectif de la mesure est de « faciliter l’ accès à la contraception d’urgence en pharmacie, de manière gratuite et sans ordonnance, à tout âge (…) car on sait que son efficacité est maximale dans les 24 heures qui suivent le rapport à risque de grossesse » avait expliqué l’ancien François Braun, ministre de la Santé dans une interview accordée à 20 Minutes. Cette évolution garantit l’accès effectif de toutes les femmes à la contraception d’urgence quels que soient leurs revenus.

La pilule du lendemain est-elle gratuite pour toutes les femmes ?

Depuis le 1er janvier 2023, elle est gratuite pour toutes les femmes, mineures et majeures, sans limite d’âge et sans ordonnance, en pharmacie.  Avant, la pilule du lendemain n’était gratuite que pour les femmes de moins de 26 ans avec ordonnance et pour les moins de 18 ans sans ordonnance. La gratuité de la pilule du lendemain pour toutes est une mesure inscrite dans le projet de loi de financement de la Sécurité Sociale 202

Photo d’une pilule du lendemain : un seul comprimé pour retarder l’ovulation ! © fahroni – 123RF

Jusqu’à quel âge la pilule du lendemain sera-t-elle gratuite ?

La pilule du lendemain est gratuite sans limite d’âge pour toutes les femmes, mineures et majeures. Jusqu’au 1er janvier 2023, elle n’était gratuite que pour les femmes de moins de 26 ans avec ordonnance et pour les moins de 18 ans sans ordonnance. 

Quelles pilules du lendemain sont concernées par la gratuité ?

Toutes les pilules du lendemain sont entièrement prises en charge, autrement dit :

  • La pilule du lendemain au lévonorgestrel (Levonorgestrel Biogaran, NorLevo) : à prendre jusqu’à 72 heures (3 jours) après un rapport sexuel non ou mal protégé.
  • La pilule du lendemain à l’ulipristal acétate (EllaOne) : à prendre jusqu’à 120 heures (5 jours) après un rapport sexuel non ou mal protégé. Elle est communément appelée « la pilule du surlendemain ».

Comment avoir la pilule du lendemain gratuitement ? En pharmacie ?

La pilule du lendemain est disponible sans prescription médicale :

  • dans une pharmacie
  • auprès de l’infirmière scolaire de votre établissement, si vous êtes collégienne ou lycéenne (gratuitement, majeures ou mineures)
  • dans un service universitaire ou interuniversitaire de médecine préventive et de prévention de la santé (SUMPPS) si vous êtes étudiante (gratuitement, majeures ou mineures).
  • dans un centre de santé sexuelle (gratuitement pour les mineures et pour les majeures sans couverture sociale)
  • au Planning familial (gratuitement pour les mineures)
  • dans un CeGIDD (Centre gratuit d’information, de dépistage et de diagnostic des virus de l’immunodéficience humaine), gratuitement, majeures ou mineures.


Source : JDF Santé

Journée du Sommeil : date 2026, programme, thème

Journée du Sommeil : date 2026, programme, thème

En France, près d’un adulte sur deux souffre d’un problème de sommeil (insomnie, troubles du rythme…).


Le sommeil est au cœur de nos vies. A 75 ans, nous aurons dormi… 25 ans, soit un tiers de notre existence, d’où l’importance de préserver et chouchouter son sommeil. En mars 2026 aura lieu la 26e édition de la Journée internationale du Sommeil en France et ailleurs dans le monde (aux Etats-Unis par exemple). En France, cette Journée de sensibilisation est organisée par l’Institut national du Sommeil et de la Vigilance (InSV). Quels sont les événements organisés pendant la Journée du Sommeil en France ? Quel but ? Où se renseigner ?

Date : quand a lieu la Journée du Sommeil ?

À ce jour, aucune source officielle (INSV ou sites spécialisés) ne communique la date officielle de la journée 2026, mais d’après la règle établie, on peut raisonnablement estimer que la Journée nationale du Sommeil en France aura lieu le vendredi 13 mars 2026.

Quand a été créée la Journée du Sommeil ? Par qui ?

La Journée du Sommeil a été créée en 2000 par l’Institut national du Sommeil et de la Vigilance (InSV), une association qui regroupe des personnes physiques et morales œuvrant dans le registre de la prévention, sensibilisation, éducation à la santé, sommeil, vigilance. Il s’agit d’une interface de communication et de prévention sur le sommeil en France. Aux Etats-Unis, la Journée du Sommeil est organisée par la World Sleep Society. La Journée du Sommeil a un triple objectif :

  • Sensibiliser le public à l’importance du sommeil
  • Favoriser le dépistage des troubles du sommeil (insomnies, somnambulisme, narcolepsie…) et rappeler que des structures de soins existent quand le sommeil devient pathologique.
  • Poursuivre la reconnaissance engagée des troubles du sommeil comme élément de santé publique.

Quel était le thème de la Journée du Sommeil 2026 ?

Le thème de la Journée du Sommeil en 2026 n’a pas encore été dévoilé. En 2025, c’était « Quand somnolence et santé mentale se croisent ». Il avait pour but de mettre en lumière l’importance des liens entre la somnolence (assoupissement durant la journée, fatigue chronique) — souvent plus répandue qu’on ne l’imagine — et les troubles de santé mentale comme l’anxiété et la dépression.

Programme : que faire pour la Journée du Sommeil ?

L’Institut National du Sommeil et de la Vigilance met en place, chaque année, un Village sommeil digital qui comporte une carte avec les actions organisées, des informations sur les problèmes de sommeil, ainsi que des conseils pour améliorer son sommeil.

Sources : Institut national du Sommeil et de la Vigilance (InSV) / Journeedusommeil.org


Source : JDF Santé