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Tomate : liste des bienfaits pour la santé

Tomate : liste des bienfaits pour la santé

Grappe, cerise, séchée, en sauce… Riche en lycopène et en vitamines, la tomate dispose de nombreux bienfaits pour la santé, la peau, le cœur et n’est jamais à bannir, même en cas de régime !


En botanique, la tomate est un fruit (issue d’une fleur) tout comme l’aubergine ou la courgette. En diététique, sa composition nutritionnelle (teneur en sucre faible) la classe parmi les légumes.

Bienfaits des tomates pour la santé

  • Avec sa richesse en vitamines A, C et en lycopène (pigment de la famille des caroténoïdes) la tomate est une cure de jouvence à elle toute seule.
  • Ces composants à l’effet antioxydants préservent les cellules de l’effet délétère des radicaux libres, et les protègent du vieillissement prématuré ainsi que de la survenue de certains cancers.
  • Son pigment rouge (lycopène) est un allié bonne mine par excellence, et cerise sur le gâteau, il protège notre peau des effets néfastes des ultra-violets. Attention toutefois, il ne protège pas des coups de soleil, une protection solaire reste donc indispensable !
  • Riches en fibres douces, les tomates sont parfaites pour réguler le transit intestinal et favoriser la satiété.

Tomates et perte de poids

Pauvres en calories et en sucre, riches en fibres, en vitamines, en minéraux et en antioxydants, la tomate est incontestablement un légume minceur, dont il serait dommage de se priver quand on est au régime. Attention toutefois à certaines recettes aux allures light, qui ne le sont pas tant que ça, à l’image de la célèbre tomate/mozzarella arrosée d’huile d’olive, ou des tomates farcies à la chair à saucisse.

Tomates et calories

Avec leurs petites 18 calories aux 100 g, la tomate fait partie des légumes très peu caloriques.

Valeurs nutritionnelles

NUTRIMENTS TOMATE CRUE : TENEUR POUR 100 G LEGUMES : MOYENNE DES ALIMENTS
Protéines 0,86 g 1,7g
Glucides 2,26 g 4,4 g
– dont sucres 2,25 g 2,3 g
– dont amidon 0 g 0,9 g
Fibres alimentaires 1,2 g 2 g
Lipides 0,26 g 0,6 g
– dont cholestérol 0 mg 0,2 mg
– dont acides gras saturés 0,056 g 0,1 g
– dont acides gras monoinsaturés 0,035 g 0,2 g
– dont acides gras polyinsaturés 0,12 g 0,1 g
Eau 94,1 g 90 g

> Plus d’infos sur les vitamines et minéraux de la tomate

Bienfaits des tomates séchées

Séchée au soleil, la tomate conserve tous ses éléments nutritifs mais en quantité décuplée ! Logique, il faut pas moins de 10 tomates fraîches, soit près d’un kilo, pour produire 30 g de tomates séchées. Ces dernières deviennent donc l’aliment le plus riche en lycopène que l’on connaisse, et de loin !

Bienfaits des tomates cuites

Si la plupart du temps, on préconise de consommer les aliments crus plutôt que cuits, afin d’en préserver au maximum les qualités nutritives, ce n’est pas tout à fait le cas de la tomate. Explication : le lycopène est un antioxydant dont la biodisponibilité est augmentée à la cuisson. L’ajout de matière grasse améliore également l’activité antioxydante du lycopène. Un coulis de tomates cuites à l’huile d’olive est donc une parfaite recette santé !

Bienfaits des tomates crues

Crues en revanche, les tomates conservent leur vitamine C intacte, cette vitamine antioxydante étant sensible aux fortes températures.


Source : JDF Santé

Quand aller voir un chirurgien orthopédiste ?

Quand aller voir un chirurgien orthopédiste ?

Fracture, entorse, douleur ligamentaires, arthrose, scoliose… Voici de nombreuses situations où il est conseillé de consulter un chirurgien orthopédiste, le médecin spécialiste des pathologies des os et de l’appareil locomoteur (articulations, muscles, tendons, nerfs).


Quelle est la définition de l’orthopédie ?

L’orthopédie est une spécialité chirurgicale qui s’intéresse au diagnostic et à la prise en charge médicale et chirurgicale des maladies du système musculosquelettique, c’est-à-dire des os, des articulations, des ligaments, des muscles, des tendons et des nerfs. Elle couvre ainsi des problématiques de traumatologie (fractures, entorses, sur-sollicitation du sportif) ou chroniques (douleurs mécaniques, arthrose, scoliose) mais aussi les déformations des membres ou des doigts, ou certains problèmes ligamentaires.

Quel est le rôle d’un chirurgien orthopédiste ?

Dans le vaste domaine de l’orthopédie, on distingue le chirurgien orthopédiste, spécialiste de la chirurgie des membres, et l’orthopédiste-orthésiste, qui fabrique des orthèses ou des prothèses. Le chirurgien orthopédiste est unspécialisé en chirurgie préventive et réparatrice de l’appareil locomoteur. A savoir les os, les articulations, le cartilage et les autres tissus mous, dont les ligaments et les muscles. « On va pouvoir soulager des douleurs ou des troubles fonctionnels causés par un accident, une maladie, une malformation congénitale ou par une lésion d’origine sportive ou professionnelle », explique le Docteur Amélie Rogier de Mare, chirurgien orthopédiste pédiatrique à la Clinique Marcel Sembat à Boulogne-Billancourt. Actuellement, son activité se partage entre le traitement orthopédique (plâtre, atèle, rééducation) et chirurgical.

Que soigne un chirurgien orthopédiste ?

Il soigne tous les problèmes des membres inférieurs (hanche, genou et pied), des membres supérieurs (épaule, coude et main) et de la colonne vertébrale (rachis). « En plus du traitement des luxations, des fractures, des entorses qui peuvent arriver par accident, le chirurgien orthopédiste prend en charge des pathologies inflammatoires ou infectieuses, des anomalies de croissances et même des malformations congénitales », ajoute le médecin.

Quand aller voir un chirurgien orthopédiste ?

De nombreuses affections entrent dans le domaine du chirurgien orthopédique, notamment :

  • les entorses ;
  • les fractures ;
  • les luxations ;
  • les hernies discales ;
  • les tumeurs osseuses ;
  • les anomalies de croissance, comme la scoliose ou la cyphose ;
  • ou encore les séquelles de maladies infectieuse ou inflammatoire, comme l’arthrite rhumatoïde.

Comment se déroule une consultation en orthopédie ?

« Le patient enfant peut venir voir directement un chirurgien orthopédiste, sans être adressé par son médecin traitant ou être recommandé par son médecin traitant ou le médecin scolaire qui aura détecté un problème lors d’un examen de dépistage » poursuit le Dr Rogier de Mare. « Le patient adulte doit en revanche être adressé par son médecin traitant ou le service des urgences. » En fonction des symptômes et des examens qui auront pu être faits avant, le chirurgien orthopédique aura deux options :

  • d’un côté un traitement non-chirurgical (prise de médicaments, infiltrations, atèle, confection de semelles, séances de rééducation…) ;
  • de l’autre une intervention chirurgicale. Dans ce second cas, le médecin va exposer de manière claire les dangers, les risques, les difficultés et les modalités de l’intervention chirurgicale qu’il pratiquera.

Préparer sa visite chez le chirurgien orthopédiste

En amont de la visite, il est important de réunir les ordonnances récentes, la liste de tous les médicaments pris et pour quelles raisons, et les éventuelles radiographies, scanners ou encore IRM effectués.

Prix et remboursement d’une consultation en orthopédie

Le prix d’une consultation d’un chirurgien-orthopédiste libéral varie de 50 à 100 euros. La base de remboursement est de 23 €, le complément est à la charge du patient ou de sa mutuelle. « Le prix des interventions chirurgicales peut aller jusqu’à 800 euros de dépassement pour une chirurgie de « pied bot varus équin » et de 300 à 500 euros pour une malformation du pouce. Dans tous les cas, un devis est remis lors de la prise de décision opératoire », assure la spécialiste.

Quelles études pour devenir orthopédiste ou chirurgien orthopédiste ?

Le chirurgien orthopédiste est un médecin spécialisé, qui doit effectuer au minimum 13 années d’étude. A savoir :

  • passer un bac avec majoritairement des spécialités scientifiques (maths, SVT…)
  • réussir le concours de première année de médecine pour entrer en externat ;
  • réussir le concours de médecine de 6ème année et être assez bien placé pour pouvoir choisir la spécialité chirurgie en internat ;
  • durant les 5 années de son internat, l’étudiant doit :
  • réaliser un mémoire ;
  • faire 10 semestres de 6 mois en chirurgie générale et chirurgie spécialisée ;
  • au terme de son internat, l’interne doit soutenir une thèse sur sa spécialité pour que le titre de chirurgien lui soit reconnu.
  • il doit ensuite réaliser 2 années de spécialisation post internat dans la spécialité qu’il a choisie pour devenir chirurgien orthopédiste.

Réalisé en collaboration avec le Docteur Amélie Rogier de Mare, chirurgien orthopédiste pédiatrique à la Clinique Marcel Sembat à Boulogne Billancourt (92).


Source : JDF Santé

Tofu : les bienfaits santé d'une protéine incontournable

Tofu : les bienfaits santé d'une protéine incontournable

Le tofu ou  » fromage de soja  » est un réservoir de protéines végétales permettant de remplacer les aliments riches en protéines animales. Zoom sur cet aliment santé qui séduit de plus en plus.


C’est quoi le tofu ?

Consommé depuis des siècles en Asie, le tofu est une pâte blanchâtre au goût discret obtenue par coagulation du jus de soja par des sels de calcium ou de magnésium. Le caillé obtenu est moulé et stérilisé, prêt à être découpé et doit être conservé à une température de 3 à 4°C. Sa particularité : il prend la saveur des aliments qui l’accompagnent. Il appartient à la famille des légumineuses.

Le tofu, calorique ou pas ?

Nature, le tofu apporte 100 calories aux 100 g. Un appoint calorique de qualité !

Valeur nutritionnelle : une mine de protéines végétales

Il affiche fièrement 15% de protéines d’excellente qualité aux 100 g soit presqu’autant que la viande ; ce qui est considérable. Il s’impose comme une source de protéines végétales idéale pour tous ceux souffrant d’intolérance alimentaire aux protéines de lait de vache, aux intolérants au lactose. Mais il ne peut remplacer le lait ou les produits laitiers. Il faut envisager une complémentarité avec d’autres aliments pour un apport nutritionnel satisfaisant. Le tofu contient aussi des lipides riches en acides gras essentiels, de la vitamine E, des lécithines qui améliorent la digestibilité des lipides et favorisent le métabolisme du cholestérol.

Autres sources de protéines végétales : D’autres aliments sont très intéressants au niveau richesse protéinique, c’est le cas des graines de chanvre ou de citrouille, du haricot mungo, des pois chiches, des lentilles corail, du quinoa …

Les fruits oléagineux (graines d’arachide, noix, noisettes, amandes…) ne sont pas en reste. Autre source de protéines de plus en plus prisée, la spiruline, algue verte qui regorge de bienfaits nutritionnels.

NUTRIMENTS TOFU NATURE : TENEUR POUR 100 G LEGUMES SECS : MOYENNE DES ALIMENTS
Protéines 9,91 g 7,6 g
Glucides 1,78 g 12,4 g
– dont sucres 1,6 g 1,2 g
– dont amidon 0 g 10,8 g
Fibres alimentaires 0,65 g 6 g
Lipides 5,32 g 1,4 g
– dont cholestérol 0 mg 0,2 mg
– dont acides gras saturés 0,66 g 0,2 g
– dont acides gras monoinsaturés 1,01 g 0,2 g
– dont acides gras polyinsaturés 2,58 g 0,6 g
Eau 81,4 g 72 g

> Plus d’infos sur les vitamines et minéraux du tofu

Quels sont les bienfaits du tofu ?

Les effets bénéfiques du tofu ne sont plus à démontrer.

  • Le tofu brille par son absence de cholestérol, de graisses saturées et de lactose.
  • Il est riche en vitamines (A, B, E), en minéraux (magnésium, phosphore…), en oligo-éléments (fer, zinc).
  • Il contient des isoflavones, sous-classe de polyphénols, qui sont des phyto-oestrogènes à l’activité antioxydante et qui se caractérisent par une structure similaire aux oestrogènes, mimant leurs effets. Ils vont alors se substituer à la carence en oestrogènes à la ménopause permettant d’en diminuer les symptômes comme les bouffées de chaleur. C’est une aide efficace malgré de vives controverses qui avancent que ces derniers augmenteraient l’incidence de certains cancers. 
  • Les protéines du tofu contiennent peu d’acides aminés soufrés, ce qui limiterait la perte de calcium.
  • Leur consommation est corrélée de près à la prévention cardiovasculaire en améliorant le profit du cholestérol sanguin.

Un bémol de taille : il est dépourvu de calcium !


Source : JDF Santé

8 Français sur 10 en mangent tous les jours : cet aliment favorise les cauchemars et gâche le sommeil

8 Français sur 10 en mangent tous les jours : cet aliment favorise les cauchemars et gâche le sommeil

Il serait lié à une dégradation générale du sommeil.


On le sait depuis longtemps : l’alimentation a un impact profond sur la qualité de notre sommeil. Ce que nous mangeons peut soit nous aider à nous endormir paisiblement, soit perturber nos nuits avec des insomnies et, pire, des cauchemars. Pour déterminer quels étaient les pires aliments pour le sommeil, des chercheurs du Centre de recherche avancée en médecine du sommeil de Montréal ont analysé les habitudes alimentaires, la qualité de sommeil et la fréquence des cauchemars de 1 082 adultes (721 femmes, 338 hommes) âgés de 17 à 54 ans.

L’étude a montré que deux types d’aliments avaient un fort impact sur la qualité du sommeil : les desserts/ sucreries augmentaient de 31% l’intensité des cauchemars et les troubles de sommeil associés. Un autre type d’aliment augmentait le risque de faire des cauchemars et donc, d’avoir un sommeil de mauvaise qualité de 22%, peut-on lire dans cette récente étude, publiée dans Frontiers in Psychology. Ce constat est d’autant plus préoccupant que 8 Français sur 10 en consommeraient tous les jours. 

Cet aliment, omniprésent dans nos assiettes, est le produit laitier. Qu’il s’agisse de lait, de fromage ou de yaourts, une consommation quotidienne et importante a été clairement associée à une augmentation des cauchemars et à une dégradation générale du sommeil. Il n’est pas précisé à partir de quelle quantité exacte de produits laitiers les chercheurs ont observé un impact sur le sommeil et les cauchemars. L’étude indique une association avec une « consommation quotidienne et importante », mais sans donner de chiffres précis en termes de grammes ou de portions. Les mécanismes exacts sont encore à l’étude, mais une hypothèse porte sur la digestion des protéines lactiques qui perturberaient le sommeil paradoxal, la phase du sommeil où les rêves, notamment les cauchemars, sont les plus vifs et mémorables. Les résultats de l’étude contredisent directement l’idée populaire et souvent conseillée de boire un verre de lait avant de dormir pour favoriser un bon sommeil.

Pour mieux dormir et éviter les cauchemars, quelques ajustements simples s’imposent : réduire sa consommation de produits laitiers, surtout le soir. Privilégier des dîners légers et faciles à digérer. Éviter les excitants (café, thé) après 16h. Enfin, instaurer une routine relaxante avant de dormir : une douche tiède, la lecture ou des exercices de relaxation peuvent faire des merveilles. 


Source : JDF Santé

Fini le malaise : cette phrase est imparable pour refuser une invitation sans vexer

Fini le malaise : cette phrase est imparable pour refuser une invitation sans vexer

Pas besoin justifications à rallonge ou, pire, de mensonges.


Refuser une invitation n’est jamais une mince affaire, surtout quand on ne veut ni vexer, ni se fâcher. Pourtant, un emploi du temps déjà bien rempli ou un simple manque d’envie nous oblige à décliner. « Dire « non » est essentiel pour la gestion de son temps, de son énergie et pour son bien-être général, et il est tout à fait possible de le faire de manière polie et respectueuse, sans tomber dans le piège de la culpabilité ou de la sur-justification« , explique Susan Newman, psychologue spécialisée dans la communication. Son livre « The Book of No : 250 façons de le dire – et de le penser – et d’arrêter de vouloir plaire aux gens pour toujours » (éd. McGraw-Hill) est une référence sur l’art de dire « non ». 

Pour décliner une invitation sans froisser, quelques principes simples peuvent vous aider. Commencez toujours par remercier chaleureusement la personne pour l’invitation ; c’est une marque de politesse essentielle. Ensuite, privilégiez la concision et l’honnêteté : une raison simple suffit, pas besoin de trop de détails ou, pire, de mensonges. Mettez plutôt l’accent sur ce que vous ne pouvez pas faire (« Je ne suis pas disponible ») plutôt que sur ce que vous ne voulez pas faire (‘ »Je ne suis pas motivée »). Enfin, si vous souhaitez maintenir le lien, n’hésitez pas à proposer une date alternative pour vous voir prochainement.

La phrase suivante semble la plus efficace et la plus respectueuse dans presque toutes les situations : « J’apprécie vraiment que tu aies pensé à moi, malheureusement, mon emploi du temps est déjà très chargé à ce moment-là. J’espère que l’on pourra se voir une autre fois« , indique la psychologue. Elle met l’accent sur un empêchement externe tout en proposant une alternative implicite. Ajouter un cordial « Passez un excellent moment » est également une touche sympathique qui montre notre bienveillance.

Malgré nos craintes, la bonne nouvelle, c’est que la personne qui nous invite sera probablement moins déçue ou vexée qu’on ne l’imagine. Une étude récente, publiée par l’American Psychological Association (APA), a montré que nous avons tendance à surestimer les conséquences négatives de nos refus. En d’autres termes, nous craignons que l’autre soit très vexé, alors qu’en réalité, il ou elle comprend généralement la situation bien mieux que nous ne le pensons. En étant poli, clair et sincère, on respecte l’autre tout en respectant nos propres limites, et c’est ce qui compte vraiment. La plupart des gens apprécient la sincérité et la clarté.


Source : JDF Santé