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"C'est peut-être vous" : Eléonore, 4 ans, cherche celui qui peut lui sauver la vie

"C'est peut-être vous" : Eléonore, 4 ans, cherche celui qui peut lui sauver la vie

Atteinte d’une aplasie médullaire, cette fillette « n’a plus de globules rouges, plus de gobules blancs et plus de plaquettes ».


Jusqu’à cet été 2025, la vie d’Eléonore était tout ce qu’il y a de plus normale pour une enfant de 4 ans. En vacances chez ses grands-parents, elle passait ses journées à jouer au Club Mickey. Mais un jour, elle revient avec quelques bleus. « À la fin de la semaine, elle en était couverte », nous raconte le Dr Anne-Laure Rousseau, amie de la famille. Le directeur du club alerte ses grands-parents : « Cette petite fille ne va pas bien. » Prise en charge à l’hôpital, elle passe plusieurs examens et le diagnostic tombe rapidement : Eléonore est atteinte d’une aplasie médullaire, une maladie rare et grave qui implique l’arrêt du fonctionnement de sa moelle osseuse. La moelle osseuse est indispensable à la vie.

« Elle n’a pas de globules rouges, pas de globules blancs et pas de plaquettes or les plaquettes permettent au sang de coaguler », explique le Dr Rousseau. Voilà pourquoi la petite fille avait autant de bleus. « Au départ, les médecins ne savent pas pourquoi elle a cette maladie, si c’est constitutionnel ou si c’est acquis » poursuit le médecin. « Elle est très fragile, elle doit être transfusée souvent. Elle doit être protégée pour ne pas attraper d’infections (comme elle n’a pas de globules blancs donc pas de défenses immunitaires, NDLR). Elle n’a pas pu faire sa rentrée en maternelle, c’est très difficile pour elle et sa famille. » 

Eléonore peut guérir si elle trouve un donneur de moelle osseuse compatible. « La carte d’identité de son sang est rare, ses parents et sa famille ne sont pas compatibles. Il y a 1 chance sur 1 million d’être compatible avec elle. On cherche ce donneur, en France, dans le monde. Il est la seule personne à pouvoir donner à Eléonore une chance de vivre » soutient le médecin. Comment savoir si on est compatible avec Eléonore ? La première chose à savoir est qu’il faut avoir entre 18 et 35 ans pour s’inscrire comme donneur de moelle osseuse. « Il faut passer le message dans les Universités » défend le Dr Rousseau, le relayer sur les réseaux sociaux « et en parler autour de soi. Être ambassadeur du don de moelle osseuse, c’est déjà super ».

Si vous avez entre 18 et 35 ans et êtes en parfaite santé, il vous suffit d’aller sur le site de l’Agence de la biomédecine pour vous inscrire au don de moelle osseuse. Vous devrez ensuite réaliser un prélèvement salivaire ou une prise de sang pour établir la « carte d’identité biologique » de votre sang. C’est ce qui permet de savoir si vous êtes compatible avec Eléonore ou avec un autre patient en attente d’une greffe de cellules souches (cellules présentes dans la moelle osseuse). Si c’est le cas, l’Agence de biomédecine vous contactera. Dans 80% des cas, le don se fait par prélèvement sanguin et dure entre 3 et 4 heures. Dans 20%, il se fait directement dans les os du bassin, sous anesthésie. « Et la moelle osseuse se régénère » rassure le Dr Rousseau. Ces quelques heures peuvent sauver la vie d’Eléonore, ou d’un autre malade en attente d’une greffe.


Source : JDF Santé

C'est le légume du foie par excellence : il allège la digestion plus vite qu'aucun autre

C'est le légume du foie par excellence : il allège la digestion plus vite qu'aucun autre

En 3 mois, il décompose les graisses dans le foie.


En 3 mois, il décompose les graisses dans le foie.

Fatigue, digestion lente, teint terne… quand le foie sature, tout l’organisme le ressent. Le foie joue un rôle central dans l’élimination des déchets et la digestion des graisses. Le soutenir à l’automne, quand l’organisme ralentit, aide à préserver énergie et équilibre. En plus d’être savoureux et réconfortants, certains légumes d’automne peuvent aider justement à soutenir la santé du foie. L’un d’entre eux, adoré en soupe ou simplement revenu à la poêle, semble très efficace pour sa détox de cet organe.

Pour montrer cet effet hépato-protecteur, des chercheurs de l’Université des sciences médicales de Téhéran (Iran) ont étudié des hamsters dorés de Syrie car leur métabolisme des graisses est très similaire à celui des humains. Les hamsters ont été répartis au hasard en trois groupes : le groupe 1 a reçu une alimentation saine et standard, le groupe 2 a reçu une alimentation très riche en graisses et en cholestérol pendant 14 semaines pour développer la maladie du « foie gras » (stéatose hépatique ou MASH) et le groupe 3 a eu exactement la même alimentation riche en graisses et en cholestérol que le groupe 2, mais avec une portion du « légume miracle » quotidiennement. Après 3 mois et demi, l’étude a montré que le groupe ayant mangé le légume avait moins de graisses et d’inflammation dans le foie, ce qui n’était pas le cas des autres groupes.

Ce légume est naturellement riche en composés soufrés, en flavonoïdes (notamment le kaempférol), qui sont de puissants antioxydants ainsi qu’en fibres, trois éléments clés pour la santé du foie et l’amélioration de la digestion. Pour profiter pleinement de ses bienfaits, les experts recommandent donc d’intégrer régulièrement du poireau à votre alimentation. Vous avez bien lu : c’est le poireau qui est capable de faire du bien à votre foie. Une portion quotidienne de 100 grammes (l’équivalent d’un demi blanc de poireau frais) est une quantité saine et facile à atteindre. A savoir que pour les intestins sensibles, il est préférable de consommer la partie blanche du poireau, car ses fibres sont plus faciles à digérer que celles de la partie verte.

Composé à près de 90 % d’eau, le poireau contribue à l’hydratation, cruciale pour un bon fonctionnement intestinal. Il a donc aussi un effet


Source : JDF Santé

"C'est typique d'une personne bipolaire" : 6 signes que les psychologues repèrent immédiatement

"C'est typique d'une personne bipolaire" : 6 signes que les psychologues repèrent immédiatement

« Il y a des périodes en inhibition et d’autres en exaltation, on est dans du tout ou rien » explique Pascal Anger, psychologue clinicien et psychothérapeute à Paris.


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Source : JDF Santé

"C'est typique d'une personne bipolaire" : 6 signes que les psychologues repèrent immédiatement

"C'est typique d'une personne bipolaire" : 6 signes que les psychologues repèrent immédiatement

« Il y a des périodes en inhibition et d’autres en exaltation, on est dans du tout ou rien » explique Pascal Anger, psychologue clinicien et psychothérapeute à Paris.


« Il y a des périodes en inhibition et d’autres en exaltation, on est dans du tout ou rien » explique Pascal Anger, psychologue clinicien et psychothérapeute à Paris.

La bipolarité est un trouble psychiatrique chronique qui se caractérise par l’alternance de phases maniaques et de phases dépressives. Dans l’intervalle, il y a des épisodes de rémission qui peuvent être plus ou moins longs. « Une fois que le diagnostic a été posé, si la personne prend son traitement correctement, elle peut vivre tout à fait normalement », rassure le psychologue Pascal Anger. Ce diagnostic ne peut être posé que par un psychiatre mais certains comportements cumulés peuvent évoquer une bipolarité et éveiller le doute dans l’entourage. 

  1. Une personne bipolaire a du mal à s’endormir le soir. Durant les phases dépressives, le bipolaire est obnubilé par une multitude de pensées négatives. Il rumine tellement que son sommeil en est perturbé. Au cours des phases maniaques, il est tellement excité et créatif qu’il ne parvient pas à trouver le sommeil. Il peut passer plusieurs jours d’affilée sans dormir ou très peu, accumulant un retard de sommeil colossal. Ce manque de sommeil ne fait qu’accentuer les troubles de l’humeur.
  2. Elle commence une tâche et n’arrive jamais à la terminer. « Pour cause, lorsqu’elle se trouve en phase maniaque, elle a envie de faire plein de choses, elle a une énergie débordante qui la pousse à se lancer dans tout un tas de projets. Mais en voulant en faire trop à la fois, elle s’éparpille et ne parvient pas à se fixer sur une tâche précise« , détaille Pascal Anger, psychologue clinicien et psychothérapeute à Paris.
  3. Elle passe du coq à l’âne. En phase maniaque, la personne bipolaire parle beaucoup, très vite, et son discours est décousu. Elle passe d’une idée à l’autre, à tel point qu’il est parfois difficile de suivre le fil de la conversation et de savoir où elle veut en venir. La personne se livre à un véritable monologue. « Elle n’a plus de filtres, elle dit tout ce qui lui passe par la tête, ce qui peut avoir des répercussions sur l’environnement et pour elle-même« , commente le spécialiste.
  4. Elle passe de « très timide » à « très sociable ». D’un naturel plutôt réservé, la personne bipolaire devient, en phase maniaque, subitement très à l’aise dans les relations sociales. Elle aborde les gens avec une facilité déconcertante, peut organiser des soirées avec des inconnus… « Il y a des périodes en inhibition et d’autres en exaltation, on est dans du tout ou rien« .
  5. Elle aime flirter avec le danger. En phase maniaque, la personne bipolaire n’a aucune limite. Elle peut se mettre en danger et attenter à sa vie ou celle d’autrui : conduire à une vitesse excessive, avoir des pratiques sexuelles dangereuses, monter sur le rebord de la fenêtre ou encore se lancer des défis dangereux.
  6. Elle se déprécie. En phase dépressive, le malade va dire « je suis trop nul », « je n’y arriverai jamais », « je suis un fardeau »… Le moindre effort lui paraît insurmontable. Il se sent indigne d’avoir des amis et une famille sur qui compter. Il perd toute confiance en lui et a tendance à se replier sur lui-même, ce qui ne fait qu’aggraver sa dépression. La bipolarité est une pathologie psychiatrique extrêmement grave, qui conduit au moins 1 malade sur 2 à faire une tentative de suicide au cours de sa vie. Parmi ceux-ci, 15% d’entre eux décéderont, d’après la Haute Autorité de Santé (HAS).


Source : JDF Santé

Mieux qu'en Laponie : des aurores boréales vont illuminer le ciel en France, une première depuis 22 ans

Mieux qu'en Laponie : des aurores boréales vont illuminer le ciel en France, une première depuis 22 ans

Un événement rare et intense.


Un événement rare et intense.

Oubliez la Laponie et ses aurores boréales, car le plus grand spectacle cosmique pourrait se dérouler au-dessus de la France, grâce au phénomène impressionnant de la tempête « cannibale ». C’est un événement spatial qui se produit lorsque le Soleil éjecte coup sur coup deux « nuages » massifs de plasma. Le second nuage, plus rapide, rattrape et absorbe le premier, plus lent. Cet acte de « cannibalisme » fusionne leur puissance, créant une seule tempête géomagnétique beaucoup plus intense et concentrée. Il faut retenir qu’il s’agit d’un vent solaire extrêmement puissant qui fonce droit vers la Terre. 

Lorsque cette vague de particules frappe notre magnétosphère (notre bouclier protecteur), l’énergie dégagée excite les atomes d’oxygène et d’azote dans la haute atmosphère, produisant le phénomène lumineux spectaculaire des aurores boréales. Ces lumières, d’ordinaire réservées aux régions polaires comme la Laponie, peuvent devenir si intenses qu’elles sont visibles à des latitudes beaucoup plus basses, c’est-à-dire bien au-dessus de la France. Le ciel se pare alors de teintes rouges, roses et vertes, bien loin des zones habituelles d’observation, selon le Centre National d’Etudes Spatiales (CNES). Cela n’a pas eu lieu depuis l’automne 2003, où une série d’éruptions solaires très puissantes s’étaient produites.

Aurores boréales dans le ciel de Metz © Thierry HAUUY

Selon les spécialistes, il y a de grandes chances pour que la prochaine tempête « cannibale » ait lieu au début de l’année 2026. La meilleure région pour l’apercevoir en France sera le quart Nord du pays. Les Hauts-de-France, la Normandie et la Bretagne, avec un ciel dégagé et loin de la pollution lumineuse, seront aux premières loges. La date précise de l’événement, qui dépend de l’activité imprévisible du Soleil, reste sujette aux alertes de la météo spatiale et n’est pas encore connue. Il faudra ensuite attendre 11 ans avant d’avoir une chance de voir des aurores en France, soit en 2036 ou 2037.

Le spectacle est grandiose, mais y a-t-il un danger pour l’Homme ? La réponse est non. Notre atmosphère et notre champ magnétique nous protègent efficacement de ces particules. Le seul risque avéré concerne les infrastructures technologiques : satellites, réseaux électriques et systèmes de communication radio. Des pannes de courant historiques ont déjà eu lieu par le passé, mais les systèmes de surveillance et de protection modernes sont en place pour minimiser l’impact. 


Source : JDF Santé