"C'est un excellent coupe-faim mais…" : voici le nombre de pistaches maximum par jour pour ne pas grossir

"C'est un excellent coupe-faim mais…" : voici le nombre de pistaches maximum par jour pour ne pas grossir

Le Dr Corinne Chicheportiche-Ayache nous explique quand et comment manger la pistache pour bénéficier de ses bienfaits santé sans prise de poids.


La pistache c’est le fruit à coque tendance en 2025. Elle ne se mange plus seulement à l’apéritif mais aussi en encas dans la matinée ou l’après-midi pour combler un petit creux. Pour autant, si la pistache a de nombreuses vertus santé, elle est aussi très calorique : « C’est un oléagineux et « oléo » veut dire « huile », c’est donc un produit dont la quantité de gras est importante et la teneur calorique assez significative » nous rappelle le médecin nutritionniste Corinne Chicheportiche-Ayache. 100 grammes de pistaches concentrent ainsi 600 calories. De quoi freiner le nombre de poignées…

La pistache ne se mange donc pas à volonté. Il faut utiliser ses qualités nutritionnelles (21% protéines végétales, gras insaturés, vitamines B, C et E, fibres) sans qu’elle fasse grossir. « On peut en manger quand on surveille son poids, rassure notre interlocutrice. De manière globale, les oléagineux ne font pas grossir et la consommation de fruits à coque comme la pistache n’entraîne ni prise de poids, ni augmentation du tour de taille, ni hausse de l’IMC si elle s’inscrit dans une alimentation équilibrée et une activité physique correcte. » Avant de souligner que « les fibres de la pistache contribuent à la satiété, soit le signal pour dire qu’on a suffisamment mangé ». La pistache a donc un effet coupe-faim. « La manger en collation est le moment idéal de la journée car elle va permettre de tenir jusqu’au dîner et de ne pas trop manger le soir. »

Pour le Dr Corinne Chicheportiche-Ayache, le mieux est d’acheter des pistaches non décortiquées : « Quand on doit les décortiquer, on prend plus de temps pour les manger et on est plus conscient de ce qu’on fait. Et en visualisant les coques de pistaches vides, on visualise la quantité de ce qu’on a mangé et on gère mieux les quantités. » En pratique, on peut manger une poignée de pistaches par jour « soit 20 à 30 grammes ce qui correspond à 49 pistaches et à 160 calories » indique la spécialiste.

Il est conseillé de privilégier les références sans sel notamment pour les personnes cardiaques, qui souffrent d’insuffisance rénale, ou d’hypertension mal équilibrée. « Il existe une allergie croisée avec les pistaches et l’arachide et d’autres fruits à coque donc il faut faire attention si on est dans ce cas. Il faut aussi manger des pistaches avec précaution quand on a des calculs d’oxalate » prévient notre interlocutrice. Enfin, attention avec la crème de pistache que l’on voit dans les supermarchés. « Vous perdez toute la qualité initiale de la pistache sous cette forme. » Pour notre interlocutrice, si on veut se laisser tenter il faut privilégier la crème de pistache brute, nature et sans sucres ajoutés, Et toujours avec mo-dé-ra-tion.


Source : JDF Santé

"On m'a diagnostiqué un cancer après un banal rendez-vous médical" (Delphine, 45 ans)

"On m'a diagnostiqué un cancer après un banal rendez-vous médical" (Delphine, 45 ans)

Delphine a commencé par ressentir ce symptôme.


En France, plus de 61 000 cas de cancer du sein sont diagnostiqués chaque année. C’est le cancer le plus fréquent et le plus meurtrier chez la femme. Delphine, responsable administrative de 45 ans, a reçu son diagnostic en janvier 2024. Face à cette épreuve, elle a pu compter sur ses proches, sa résilience et un courage remarquable. Elle partage son histoire au Journal des Femmes.

Delphine Delabarre © Journal des Femmes

Tout a commencé par un banal examen médical. « C’était un rendez-vous gynécologique que je fais tous les ans. J’ai juste dit à la sage-femme que je sentais un tout petit picotement dans le sein que j’aimerais le faire vérifier avec une mammographie. » À la palpation, la praticienne sent effectivement quelque chose de minime, mais suffisant pour approfondir les examens. Quelques jours plus tard, une mammographie, suivie d’une biopsie, révèlent une tumeur maligne de 2,3 cm : un carcinome non-spécifique de grade 2. « Le ciel vous tombe sur la tête. Je ne m’attendais vraiment pas à ce que l’on me dise que c’était malin. Je suis sportive et je ne suis pas du tout en surpoids. J’ai 45 ans, trois enfants, une vie relativement saine et pas d’antécédents dans ma famille. Si j’avais attendu, si je n’avais pas consulté et que je n’avais pas posé cette question, on serait peut-être passés à côté ». Delphine doit se faire opérer. « Avant de prévoir l’opération, la chirurgienne a pris mes clichés et a dit : « Bon alors, pour votre cancer… », alors qu’au cabinet de radiologie, on me parlait de tumeur maligne. Quand elle a dit ce mot, j’ai pris un deuxième coup sur la tête, je n’avais pas encore réellement percuté jusqu’ici. »

Puis vient le moment d’en parler à ses proches. « C’était extrêmement difficile. J’essayais de ne pas m’effondrer, de ne pas pleurer. Je voulais tout de suite leur dire que ça allait aller, que j’allais me battre. » L’annonce à ses parents, à ses fils par téléphone, puis à sa fille de 15 ans, reste un moment très éprouvant. « Il fallait que je sois forte. » Mais Delphine choisit de parler de sa maladie, sans tabou. « J’ai une très grande famille, ce sont eux qui m’ont boostée, qui m’ont soutenue et qui m’ont portée pendant cette année. » Elle subit une mastectomie totale du sein gauche (ablation et reconstruction immédiate par prothèse), suivie d’une chimiothérapie et d’une radiothérapie. « Pendant l’opération, on a prélevé le ganglion sentinelle qu’il fallait analyser pour voir s’il était atteint, ce qui permet de savoir si le cancer s’est propagé. Il était atteint, alors on a mis en place un protocole de prévention, mais c’est très lourd. Moralement, ça a été très difficile. »

« Je vois la vie différemment, les petites broutilles du quotidien ne m’atteignent plus »

La chimiothérapie lui a fait perdre ses cheveux et beaucoup de poids. « C’était très compliqué de manger, je n’avais plus le goût de la nourriture et j’avais des nausées. Ensuite, j’étais très affaiblie. Moi qui suis très sportive et qui aime bien ne serait-ce que marcher, je ne pouvais même plus faire le tour de ma maison. C’était très frustrant, mais je tenais bon. Je décomptais : j’avais mis des petites croix sur mon calendrier, à chaque fois que j’allais en chimio, j’enlevais une petite croix. J’étais soutenue tout le temps, par des visites, des messages… Ça m’a aidé à tenir. »

Delphine tient bon. Aujourd’hui, elle est en hormonothérapie, avec un traitement prévu pour 7 à 8 ans. « Même si on se dit que tout est parti, il y a toujours un petit doute dans le coin de la tête. Pendant mes séances de chimio et de radiothérapie, j’ai croisé beaucoup de patients en récidive. Mais je ne veux pas trop y penser, je veux vivre normalement. « Ce qui ne te tue pas te rend plus fort », et je me sens plus forte aujourd’hui. Je vois la vie différemment, les petites broutilles du quotidien ne m’atteignent plus. Je profite des bonheurs simples, pour moi c’est suffisant. »

Le goût de la vie, tout simplement © Editions du Panthéon

Delphine raconte son expérience dans un livre intitulé « Le goût de la vie, tout simplement ». « Pendant que j’étais en arrêt, j’ai lu le livre d’Anaïs Quemener, une championne de course à pied qui a eu un cancer du sein très jeune. Ça m’a transpercé. À partir de ce moment-là, j’ai commencé à écrire chaque jour ce que je ressentais, comme un journal intime, et cela m’a fait énormément de bien. Quand j’ai eu terminé, je me suis dit « pourquoi ne pas le partager ? » J’aimerais que ce livre puisse aider d’autres femmes et leurs proches face au cancer. »

Merci à Delphine Delebarre, autrice de « Le goût de la vie, tout simplement » (éd. du Panthéon).


Source : JDF Santé

"On m'a diagnostiqué un cancer après un banal rendez-vous médical" (Delphine, 45 ans)

"On m'a diagnostiqué un cancer après un banal rendez-vous médical" (Delphine, 45 ans)

Delphine a commencé par ressentir ce symptôme.


En France, plus de 61 000 cas de cancer du sein sont diagnostiqués chaque année. C’est le cancer le plus fréquent et le plus meurtrier chez la femme. Delphine, responsable administrative de 45 ans, a reçu son diagnostic en janvier 2024. Face à cette épreuve, elle a pu compter sur ses proches, sa résilience et un courage remarquable. Elle partage son histoire au Journal des Femmes.

Delphine Delabarre © Journal des Femmes

Tout a commencé par un banal examen médical. « C’était un rendez-vous gynécologique que je fais tous les ans. J’ai juste dit à la sage-femme que je sentais un tout petit picotement dans le sein que j’aimerais le faire vérifier avec une mammographie. » À la palpation, la praticienne sent effectivement quelque chose de minime, mais suffisant pour approfondir les examens. Quelques jours plus tard, une mammographie, suivie d’une biopsie, révèlent une tumeur maligne de 2,3 cm : un carcinome non-spécifique de grade 2. « Le ciel vous tombe sur la tête. Je ne m’attendais vraiment pas à ce que l’on me dise que c’était malin. Je suis sportive et je ne suis pas du tout en surpoids. J’ai 45 ans, trois enfants, une vie relativement saine et pas d’antécédents dans ma famille. Si j’avais attendu, si je n’avais pas consulté et que je n’avais pas posé cette question, on serait peut-être passés à côté ». Delphine doit se faire opérer. « Avant de prévoir l’opération, la chirurgienne a pris mes clichés et a dit : « Bon alors, pour votre cancer… », alors qu’au cabinet de radiologie, on me parlait de tumeur maligne. Quand elle a dit ce mot, j’ai pris un deuxième coup sur la tête, je n’avais pas encore réellement percuté jusqu’ici. »

Puis vient le moment d’en parler à ses proches. « C’était extrêmement difficile. J’essayais de ne pas m’effondrer, de ne pas pleurer. Je voulais tout de suite leur dire que ça allait aller, que j’allais me battre. » L’annonce à ses parents, à ses fils par téléphone, puis à sa fille de 15 ans, reste un moment très éprouvant. « Il fallait que je sois forte. » Mais Delphine choisit de parler de sa maladie, sans tabou. « J’ai une très grande famille, ce sont eux qui m’ont boostée, qui m’ont soutenue et qui m’ont portée pendant cette année. » Elle subit une mastectomie totale du sein gauche (ablation et reconstruction immédiate par prothèse), suivie d’une chimiothérapie et d’une radiothérapie. « Pendant l’opération, on a prélevé le ganglion sentinelle qu’il fallait analyser pour voir s’il était atteint, ce qui permet de savoir si le cancer s’est propagé. Il était atteint, alors on a mis en place un protocole de prévention, mais c’est très lourd. Moralement, ça a été très difficile. »

« Je vois la vie différemment, les petites broutilles du quotidien ne m’atteignent plus »

La chimiothérapie lui a fait perdre ses cheveux et beaucoup de poids. « C’était très compliqué de manger, je n’avais plus le goût de la nourriture et j’avais des nausées. Ensuite, j’étais très affaiblie. Moi qui suis très sportive et qui aime bien ne serait-ce que marcher, je ne pouvais même plus faire le tour de ma maison. C’était très frustrant, mais je tenais bon. Je décomptais : j’avais mis des petites croix sur mon calendrier, à chaque fois que j’allais en chimio, j’enlevais une petite croix. J’étais soutenue tout le temps, par des visites, des messages… Ça m’a aidé à tenir. »

Delphine tient bon. Aujourd’hui, elle est en hormonothérapie, avec un traitement prévu pour 7 à 8 ans. « Même si on se dit que tout est parti, il y a toujours un petit doute dans le coin de la tête. Pendant mes séances de chimio et de radiothérapie, j’ai croisé beaucoup de patients en récidive. Mais je ne veux pas trop y penser, je veux vivre normalement. « Ce qui ne te tue pas te rend plus fort », et je me sens plus forte aujourd’hui. Je vois la vie différemment, les petites broutilles du quotidien ne m’atteignent plus. Je profite des bonheurs simples, pour moi c’est suffisant. »

Le goût de la vie, tout simplement © Editions du Panthéon

Delphine raconte son expérience dans un livre intitulé « Le goût de la vie, tout simplement ». « Pendant que j’étais en arrêt, j’ai lu le livre d’Anaïs Quemener, une championne de course à pied qui a eu un cancer du sein très jeune. Ça m’a transpercé. À partir de ce moment-là, j’ai commencé à écrire chaque jour ce que je ressentais, comme un journal intime, et cela m’a fait énormément de bien. Quand j’ai eu terminé, je me suis dit « pourquoi ne pas le partager ? » J’aimerais que ce livre puisse aider d’autres femmes et leurs proches face au cancer. »

Merci à Delphine Delebarre, autrice de « Le goût de la vie, tout simplement » (éd. du Panthéon).


Source : JDF Santé

Tout le monde se trompe : cet aliment n'est pas si bon pour la santé, il accélère le vieillissement

Tout le monde se trompe : cet aliment n'est pas si bon pour la santé, il accélère le vieillissement

« Il faut le consommer avec modération » selon ce médecin spécialiste.


Le corps humain possède environ 30 milliards de cellules. « Certaines sont en attente de développement, d’autres sont pluripotentes (cellules souches), ce qui signifie qu’elles sont capables de se renouveler tout au long de la vie. Il existe également des cellules très spécialisées comme les cellules rénales, hépatiques, ou encore cérébrales » nous informe le Dr Christophe de Jaeger, médecin gérontologue, chercheur spécialiste du vieillissement. La durée de vie d’une cellule varie selon son type, sa fonction, le milieu dans lequel elle vit, ainsi que sa capacité de régénération. « Par exemple, les cellules présentes dans l’intestin grêle ont une durée de vie de quatre jours car cet organe est métaboliquement actif toute la journée. La durée de vie moyenne des globules rouges est de quatre mois, les cellules de la peau environ un mois et demi, et les cellules de l’os une dizaine d’années », illustre le spécialiste. Les cellules cancéreuses échappent aux règles normales de cycle de vie des cellules et se divisent sans fin.

Les cellules vieillissent et leur capacité de régénération diminue avec le temps. Chaque cellule est programmée pour se renouveler un certain nombre de fois avant de mourir. « Ainsi, les fibroblastes, des cellules sous la peau, vont avoir une capacité à se renouveler une cinquantaine de fois si prélevées chez le sujet jeune, tandis que chez une personne de 80 ans, leur capacité de renouvellement restant va chuter à deux ou quatre fois », détaille le gérontologue. S’il est impossible de stopper le vieillissement des cellules en l’état, on peut le moduler.

D’après notre expert, la première chose à faire est d’éviter de surcharger les cellules. La nutrition a, alors, toute son importance : il convient de manger moins de calories, moins de graisses, et moins de sucre car le sucre va abîmer les cellules et empêcher leur renouvellement. « Attention, les fruits doivent être consommés avec modération car ils contiennent énormément de sucre, aussi naturel soit-il. De la même manière, les plâtrées de féculents doivent être réservées à la pratique sportive. Car, ce sont certes des sucres lents mais une fois à l’intérieur du corps, ils se transforment en sucre », prévient-il. Les toxiques (alcool, tabac, drogues) accélèrent eux aussi le vieillissement des cellules, il faut donc les bannir.

En parallèle, il convient de dormir au moins 8 heures par nuit pour favoriser la régénération du corps et de l’énergie. Enfin, l’exercice physique revêt une importance primordiale pour ralentir le vieillissement des cellules. « À travers le travail musculaire, l’activité physique va permettre de consommer des sucres, d’avoir des réserves de protéines, de jouer sur l’immunité et d’activer le système veineux et lymphatique, mais aussi de faire travailler les poumons. Mais ce n’est pas tout, le sport joue sur la plasticité neuronale, c’est-à-dire l’amélioration des capacités cognitives, à condition de faire une séance d’une heure en continu », développe le Dr Christophe de Jaeger. In fine, « chaque individu fait comme il peut avec les moyens dont il dispose ». 

Merci au Dr Christophe de Jaeger, médecin gérontologue et chercheur spécialisé dans le vieillissement, auteur de Bien vieillir sans médicaments dès 40 ans (éd. Cherche midi)


Source : JDF Santé

Ni médicament, ni régime : voici "le moyen le plus efficace" pour baisser le cholestérol, selon un chirurgien du cœur

Ni médicament, ni régime : voici "le moyen le plus efficace" pour baisser le cholestérol, selon un chirurgien du cœur

Simple, sans effort et à la portée de tous.


Simple, sans effort et à la portée de tous.

Et si un geste simple valait mieux qu’un médicament ? On parle souvent de régime, de compléments alimentaires ou de traitements médicamenteux pour baisser le cholestérol. Mais il existe une autre solution à la portée de tout le monde pour agir en profondeur sur le cœur et les artères selon le Dr Sophie Bauer, chirurgien thoracique et cardiovasculaire. Elle nous confirme que cette solution « est certainement le moyen le plus efficace pour diminuer le cholestérol ». 

Le cholestérol est une graisse essentielle au bon fonctionnement du corps. Mais lorsqu’il y en a trop, et surtout trop de LDL (le « mauvais » cholestérol), il se dépose sur les parois des artères. Cela favorise les infarctus, les AVC, l’hypertension… S’il est absolument nécessaire de réduire la consommation d’aliments riches en graisses saturées (viandes, fromages, charcuteries…) et ultra-transformés (pizzas industrielles, chips…) quand on a trop de cholestérol, il est aussi possible de rééquilibrer ses taux sans nécessairement passer par les statines, traitements anticholestérol par excellence.

D’après le Dr Bauer, la meilleure chose à faire quand on a du cholestérol est simplement… de marcher. Cette spécialiste du coeur recommande de marcher au minimum 1h30 à 2h, trois fois par semaine. « Le temps de marche doit être adapté à la condition physique et à l’âge de la personne. Par exemple, si une personne âgée marche 1 heure trois fois par semaine, cela contribuera à réduire son taux de LDL cholestérol. L’activité physique régulière diminue non seulement les risques d’AVC, mais aussi le risque de cancers, d’infarctus du myocarde, de diabète et d’hypertension artérielle. Les personnes qui n’ont pas la possibilité de marcher à l’extérieur peuvent s’offrir un tapis de marche pour faire cette activité à leur rythme, à la maison. En cas d’hypercholestérolémie peu élevée, l’activité physique couplée à une alimentation adaptée est souvent suffisante pour réguler les taux de cholestérol » affirme notre interlocutrice

Marcher est un réflexe simple qu’il faut prendre sans pression et ne pas voir comme une « contrainte ». Marcher est excellent pour la santé physique mais aussi mentale. Marcher, c’est s’accorder du temps pour soi, se remettre en mouvement, respirer. Et si cela peut en plus faire baisser le cholestérol, pourquoi s’en priver ? La prochaine fois que vous hésitez entre l’ascenseur et les escaliers, vous saurez quoi faire.


Source : JDF Santé