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"C'est typique d'une personne bipolaire" : 6 signes que les psychologues repèrent immédiatement

"C'est typique d'une personne bipolaire" : 6 signes que les psychologues repèrent immédiatement

« Il y a des périodes en inhibition et d’autres en exaltation, on est dans du tout ou rien » explique Pascal Anger, psychologue clinicien et psychothérapeute à Paris.


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Source : JDF Santé

"C'est typique d'une personne bipolaire" : 6 signes que les psychologues repèrent immédiatement

"C'est typique d'une personne bipolaire" : 6 signes que les psychologues repèrent immédiatement

« Il y a des périodes en inhibition et d’autres en exaltation, on est dans du tout ou rien » explique Pascal Anger, psychologue clinicien et psychothérapeute à Paris.


« Il y a des périodes en inhibition et d’autres en exaltation, on est dans du tout ou rien » explique Pascal Anger, psychologue clinicien et psychothérapeute à Paris.

La bipolarité est un trouble psychiatrique chronique qui se caractérise par l’alternance de phases maniaques et de phases dépressives. Dans l’intervalle, il y a des épisodes de rémission qui peuvent être plus ou moins longs. « Une fois que le diagnostic a été posé, si la personne prend son traitement correctement, elle peut vivre tout à fait normalement », rassure le psychologue Pascal Anger. Ce diagnostic ne peut être posé que par un psychiatre mais certains comportements cumulés peuvent évoquer une bipolarité et éveiller le doute dans l’entourage. 

  1. Une personne bipolaire a du mal à s’endormir le soir. Durant les phases dépressives, le bipolaire est obnubilé par une multitude de pensées négatives. Il rumine tellement que son sommeil en est perturbé. Au cours des phases maniaques, il est tellement excité et créatif qu’il ne parvient pas à trouver le sommeil. Il peut passer plusieurs jours d’affilée sans dormir ou très peu, accumulant un retard de sommeil colossal. Ce manque de sommeil ne fait qu’accentuer les troubles de l’humeur.
  2. Elle commence une tâche et n’arrive jamais à la terminer. « Pour cause, lorsqu’elle se trouve en phase maniaque, elle a envie de faire plein de choses, elle a une énergie débordante qui la pousse à se lancer dans tout un tas de projets. Mais en voulant en faire trop à la fois, elle s’éparpille et ne parvient pas à se fixer sur une tâche précise« , détaille Pascal Anger, psychologue clinicien et psychothérapeute à Paris.
  3. Elle passe du coq à l’âne. En phase maniaque, la personne bipolaire parle beaucoup, très vite, et son discours est décousu. Elle passe d’une idée à l’autre, à tel point qu’il est parfois difficile de suivre le fil de la conversation et de savoir où elle veut en venir. La personne se livre à un véritable monologue. « Elle n’a plus de filtres, elle dit tout ce qui lui passe par la tête, ce qui peut avoir des répercussions sur l’environnement et pour elle-même« , commente le spécialiste.
  4. Elle passe de « très timide » à « très sociable ». D’un naturel plutôt réservé, la personne bipolaire devient, en phase maniaque, subitement très à l’aise dans les relations sociales. Elle aborde les gens avec une facilité déconcertante, peut organiser des soirées avec des inconnus… « Il y a des périodes en inhibition et d’autres en exaltation, on est dans du tout ou rien« .
  5. Elle aime flirter avec le danger. En phase maniaque, la personne bipolaire n’a aucune limite. Elle peut se mettre en danger et attenter à sa vie ou celle d’autrui : conduire à une vitesse excessive, avoir des pratiques sexuelles dangereuses, monter sur le rebord de la fenêtre ou encore se lancer des défis dangereux.
  6. Elle se déprécie. En phase dépressive, le malade va dire « je suis trop nul », « je n’y arriverai jamais », « je suis un fardeau »… Le moindre effort lui paraît insurmontable. Il se sent indigne d’avoir des amis et une famille sur qui compter. Il perd toute confiance en lui et a tendance à se replier sur lui-même, ce qui ne fait qu’aggraver sa dépression. La bipolarité est une pathologie psychiatrique extrêmement grave, qui conduit au moins 1 malade sur 2 à faire une tentative de suicide au cours de sa vie. Parmi ceux-ci, 15% d’entre eux décéderont, d’après la Haute Autorité de Santé (HAS).


Source : JDF Santé

Mieux qu'en Laponie : des aurores boréales vont illuminer le ciel en France, une première depuis 22 ans

Mieux qu'en Laponie : des aurores boréales vont illuminer le ciel en France, une première depuis 22 ans

Un événement rare et intense.


Un événement rare et intense.

Oubliez la Laponie et ses aurores boréales, car le plus grand spectacle cosmique pourrait se dérouler au-dessus de la France, grâce au phénomène impressionnant de la tempête « cannibale ». C’est un événement spatial qui se produit lorsque le Soleil éjecte coup sur coup deux « nuages » massifs de plasma. Le second nuage, plus rapide, rattrape et absorbe le premier, plus lent. Cet acte de « cannibalisme » fusionne leur puissance, créant une seule tempête géomagnétique beaucoup plus intense et concentrée. Il faut retenir qu’il s’agit d’un vent solaire extrêmement puissant qui fonce droit vers la Terre. 

Lorsque cette vague de particules frappe notre magnétosphère (notre bouclier protecteur), l’énergie dégagée excite les atomes d’oxygène et d’azote dans la haute atmosphère, produisant le phénomène lumineux spectaculaire des aurores boréales. Ces lumières, d’ordinaire réservées aux régions polaires comme la Laponie, peuvent devenir si intenses qu’elles sont visibles à des latitudes beaucoup plus basses, c’est-à-dire bien au-dessus de la France. Le ciel se pare alors de teintes rouges, roses et vertes, bien loin des zones habituelles d’observation, selon le Centre National d’Etudes Spatiales (CNES). Cela n’a pas eu lieu depuis l’automne 2003, où une série d’éruptions solaires très puissantes s’étaient produites.

Aurores boréales dans le ciel de Metz © Thierry HAUUY

Selon les spécialistes, il y a de grandes chances pour que la prochaine tempête « cannibale » ait lieu au début de l’année 2026. La meilleure région pour l’apercevoir en France sera le quart Nord du pays. Les Hauts-de-France, la Normandie et la Bretagne, avec un ciel dégagé et loin de la pollution lumineuse, seront aux premières loges. La date précise de l’événement, qui dépend de l’activité imprévisible du Soleil, reste sujette aux alertes de la météo spatiale et n’est pas encore connue. Il faudra ensuite attendre 11 ans avant d’avoir une chance de voir des aurores en France, soit en 2036 ou 2037.

Le spectacle est grandiose, mais y a-t-il un danger pour l’Homme ? La réponse est non. Notre atmosphère et notre champ magnétique nous protègent efficacement de ces particules. Le seul risque avéré concerne les infrastructures technologiques : satellites, réseaux électriques et systèmes de communication radio. Des pannes de courant historiques ont déjà eu lieu par le passé, mais les systèmes de surveillance et de protection modernes sont en place pour minimiser l’impact. 


Source : JDF Santé

Fini les nuits courtes : une experte en sommeil partage son secret pour dormir 8 heures même quand on est débordé

Fini les nuits courtes : une experte en sommeil partage son secret pour dormir 8 heures même quand on est débordé

Hyper efficace quand le temps manque.


Dans une société qui valorise la productivité, le sommeil est souvent le premier poste sacrifié. Pourtant, s’il y a bien une chose à ne jamais négliger pour rester performant, c’est un bon repos. « Couper dans son temps de sommeil pour être plus productif a l’effet inverse : cela mène à un cercle vicieux de baisse de productivité et peut même évoluer vers de l’insomnie chronique« , nous explique d’emblée Véronique Bellemare Brière, somnothérapeute, Présidente et Fondatrice de l’Institut SOMNA. Alors, comment s’assurer d’avoir ses 8 heures de sommeil réparateur malgré un emploi chargé ?

Optimiser son sommeil ne consiste pas à en faire plus avec moins, mais à mettre en place les bonnes habitudes pour que la qualité de sommeil soit la meilleure possible. « Il est crucial de respecter son propre besoin de sommeil. Certaines personnes ont besoin de 4 heures (c’est très rare !), d’autres de 9 ou 10 heures. Mais si vous vous plaignez de fatigue après 7 ou 8 heures de sommeil, c’est peut-être que vous avez un besoin de sommeil supérieur à la moyenne« , poursuit notre interlocutrice. 

Pour réussir à dormir 8 heures par nuit quand on est débordé, l’astuce principale, c’est de marquer un fort contraste entre votre état de jour et votre état de nuit. Pour cela, il faut mettre en place de bonnes habitudes pendant la journée. « Concrètement, il y a 3 actions clés : augmenter son niveau d’activité physique, s’exposer au moins 45 minutes à la lumière naturelle pendant la journée pour décharger le stress et la tension et soutenir cette bascule le soir en incorporant à vos dîners des aliments « pro-sommeil » confie notre experte. Ce sont tous les aliments sérotoninergiques (lentilles, pois chiche, banane, amandes, céréales complètes, yaourt…) qui vont aider à sécréter de la sérotonine, qui est le précurseur de la mélatonine, l’hormone qui induit le sommeil. En faisant cela, vous aidez votre corps à mieux différencier le jour de la nuit, ce qui facilite l’endormissement et un sommeil plus profond, même quand on se sent débordé.

Le sommeil doit être considéré comme une priorité. Tout comme un rendez-vous important, bloquez-le dans votre agenda. En le traitant comme une tâche non négociable, vous vous donnerez une meilleure chance de vraiment vous reposer. Enfin, essayez d’aller au lit et de vous lever à des heures fixes tous les jours. Un rythme constant aide le corps à mieux réguler son horloge biologique. Un environnement calme, sombre, frais et confortable peut rendre le sommeil plus efficace, même quand on a « que » 7 ou 8 heures à y consacrer.


Source : JDF Santé

Fini les nuits courtes : une experte en sommeil partage son secret pour dormir 8 heures même quand on est débordé

Fini les nuits courtes : une experte en sommeil partage son secret pour dormir 8 heures même quand on est débordé

Hyper efficace quand le temps manque.


Hyper efficace quand le temps manque.

Dans une société qui valorise la productivité, le sommeil est souvent le premier poste sacrifié. Pourtant, s’il y a bien une chose à ne jamais négliger pour rester performant, c’est un bon repos. « Couper dans son temps de sommeil pour être plus productif a l’effet inverse : cela mène à un cercle vicieux de baisse de productivité et peut même évoluer vers de l’insomnie chronique« , nous explique d’emblée Véronique Bellemare Brière, somnothérapeute, Présidente et Fondatrice de l’Institut SOMNA. Alors, comment s’assurer d’avoir ses 8 heures de sommeil réparateur malgré un emploi chargé ?

Optimiser son sommeil ne consiste pas à en faire plus avec moins, mais à mettre en place les bonnes habitudes pour que la qualité de sommeil soit la meilleure possible. « Il est crucial de respecter son propre besoin de sommeil. Certaines personnes ont besoin de 4 heures (c’est très rare !), d’autres de 9 ou 10 heures. Mais si vous vous plaignez de fatigue après 7 ou 8 heures de sommeil, c’est peut-être que vous avez un besoin de sommeil supérieur à la moyenne« , poursuit notre interlocutrice. 

Pour réussir à dormir 8 heures par nuit quand on est débordé, l’astuce principale, c’est de marquer un fort contraste entre votre état de jour et votre état de nuit. Pour cela, il faut mettre en place de bonnes habitudes pendant la journée. « Concrètement, il y a 3 actions clés : augmenter son niveau d’activité physique, s’exposer au moins 45 minutes à la lumière naturelle pendant la journée pour décharger le stress et la tension et soutenir cette bascule le soir en incorporant à vos dîners des aliments « pro-sommeil » confie notre experte. Ce sont tous les aliments sérotoninergiques (lentilles, pois chiche, banane, amandes, céréales complètes, yaourt…) qui vont aider à sécréter de la sérotonine, qui est le précurseur de la mélatonine, l’hormone qui induit le sommeil. En faisant cela, vous aidez votre corps à mieux différencier le jour de la nuit, ce qui facilite l’endormissement et un sommeil plus profond, même quand on se sent débordé.

Le sommeil doit être considéré comme une priorité. Tout comme un rendez-vous important, bloquez-le dans votre agenda. En le traitant comme une tâche non négociable, vous vous donnerez une meilleure chance de vraiment vous reposer. Enfin, essayez d’aller au lit et de vous lever à des heures fixes tous les jours. Un rythme constant aide le corps à mieux réguler son horloge biologique. Un environnement calme, sombre, frais et confortable peut rendre le sommeil plus efficace, même quand on a « que » 7 ou 8 heures à y consacrer.


Source : JDF Santé

La meilleure boisson pour les reins : elle nettoie et prévient la formation des calculs

La meilleure boisson pour les reins : elle nettoie et prévient la formation des calculs

« Elle est super bonne ! » commente notre naturopathe.


Les reins sont des organes trop négligés en santé. Pourtant ce sont de véritables stations d’épuration qui filtrent, chaque jour, près de 180 litres de sang. Lorsque les déchets présents dans l’urine filtrée par les reins sont trop concentrés, des cristaux se forment et s’agglomèrent : ce sont les fameux « calculs rénaux ». lls font très mal. Pour les prévenir, il faut maintenir « une alimentation la plus riche et variée possible, et boire au minimum 1,5 litre d’eau par jour » nous rappelle d’emblée la naturopathe Inna Touré. Elle recommande une boisson particulière, excellente pour nettoyer les reins.

Pour la réaliser, une fleur suffit. « Elle ne fait pas partie des plantes traditionnellement utilisées pour la santé rénale », relève Inna Touré. Pourtant, elle combine « un double effet hypotenseur et diurétique très doux, ce qui la rend intéressante dans la prévention des calculs rénaux ». Ses acides citriques et maliques « soutiennent la diurèse, c’est-à-dire le fait d’uriner plus souvent » ce qui dilue les urines et limite la cristallisation des minéraux. Elle fournit aussi des anthocyanes, antioxydants « capables de réduire la production de radicaux libres, avec un bénéfice direct sur la santé cardiovasculaire ». Un rôle clé, car reins et circulation sont liés : « Si les parois des veines et artères s’abîment, elles deviennent un terrain favorable à la formation de calculs », précise la naturopathe. Enfin, ses flavonoïdes « favorisent la vasodilatation », optimisant la circulation et l’élimination des déchets.

Cette fleur précieuse est l’hibiscus, très populaire en Afrique de l’Ouest où elle donne le fameux « bissap » et facilement disponible en France. « Elle est super bonne ! » commente la naturopathe. Son goût fruité et acidulé en fait une base idéale pour des infusions bien-être, à condition de choisir une fleur de qualité. « Dans le commerce, il existe de nombreuses boissons à l’hibiscus, mais leur concentration en principes actifs est incertaine. » Le bon réflexe : se fournir chez un herboriste et préparer son infusion maison. Deux à trois tasses par jour suffisent pour profiter de ses bienfaits rénaux.

Pour une action renforcée, Inna Touré propose de l’associer à d’autres plantes excellentes pour les reins mais moins agréables au goût. Le délicieux goût de l’hibiscus permet par exemple d’apprécier le pissenlit, une plante diurétique riche en potassium, et le bouleau. Ce dernier est « reminéralisant et drainant : il stimule l’envie d’uriner et nettoie le système rénal » conclut la naturopathe.

Merci à Inna Touré, naturopathe, oligothérapeute et autrice du livre « Mon cahier d’oligothérapie » (éd. Mosaïque Santé).


Source : JDF Santé