Les personnes qui ont eu un parent autoritaire ont souvent ces comportements à l'âge adulte

Les personnes qui ont eu un parent autoritaire ont souvent ces comportements à l'âge adulte

Manque d’empathie, difficulté à faire confiance…


Les personnes ayant grandi avec des parents stricts conservent certains comportements et réflexes à l’âge adulte. Elles ont un rapport à l’autorité, une manière de gérer les conflits et d’aborder les relations sociales qui sont caractéristiques.  

Ces personnes peuvent être autoritaires à leur tour à l’âge adulte. « Cette tendance à reproduire s’explique par différents mécanismes psychologiques de l’apprentissage qui poussent l’enfant à se modéliser à partir du schéma parental. Ces schémas de répétition peuvent se mettre en place précocement, au travers d’une rigidité mentale. On va avoir tendance à devenir contrôlant, un peu rigide, dans le respect des règles strictes, de l’obéissance, parce qu’on a été élevé dans un modèle de punitions avec des conséquences parfois négatives », développe Sébastien Garnero, psychologue clinicien, sexologue et hypnotherapeute.

Durant leur enfance, les personnes qui ont eu des parents sévères ont été habituées à ce que tout soit réalisé d’une certaine manière, et dans un ordre bien précis. À l’âge adulte, cela se traduit souvent par une certaine rigidité mentale : le quotidien est millimétré, tout est bien préparé, parfois trop puisqu’il leur est impossible de modifier le cours des événements. Les personnes ayant eu des parents autoritaires souhaitent garder le contrôle. Cela va souvent de pair avec le perfectionnisme, elles s’imposent une pression et une exigence dans tout ce qu’elles entreprennent.

Elles peuvent à l’inverse vouloir fuir les conflits. « Le fait d’avoir grandi avec des parents stricts peut aussi amener à ne pas le devenir, par opposition au système totalitaire autoritaire dans lequel on a été élevé, et ne pas rechercher ce type de lien dans ses relations sociales ou avec ses enfants », informe le spécialiste. À tel point que l’on manque parfois d’autorité et que l’on s’inscrit dans des formes d’évitement. Dans ses relations familiales et professionnelles, on préfère fuir les rapports d’autorité et les conflits, quitte à faire preuve d’un certain laxisme.

Quand le cadre familial ne permet pas à l’enfant d’exprimer librement ses émotions, celui-ci développe un attachement évitant. Les parents autoritaires sont souvent froids, distants physiquement et ne laissent pas paraître leurs ressentis. Dès son plus jeune âge, l’enfant apprend alors à garder les choses pour lui. À l’âge adulte, cela se traduit par des difficultés à s’intégrer socialement, une fuite de la proximité, un manque d’empathie, une difficulté à faire confiance ou encore la volonté de ne rien devoir à personne. 

Enfi, les personnes ayant grandi avec des parents stricts ont souvent tendance à recréer une forme de leadership autoritaire dans leurs relations sociales. Elles s’appliquent des règles strictes à elles-mêmes et s’attendent à ce que les autres s’y conforment aussi. Elles sont généralement peu chaleureuses, très exigeantes et rigides. « Ces traits de caractère sont souvent associés à un refus de l’autorité des autres. Lorsque l’autorité est pondérée, régulée et adaptée aux circonstances, c’est une qualité. En revanche, l’autoritarisme dominant traduit une personnalité limite (personnalité à problèmes, agressive, manipulatrice) », complète Sébastien Garnero.


Source : JDF Santé

Les personnes qui ont eu un parent autoritaire ont souvent ces comportements à l'âge adulte

Les personnes qui ont eu un parent autoritaire ont souvent ces comportements à l'âge adulte

Manque d’empathie, difficulté à faire confiance…


Manque d’empathie, difficulté à faire confiance…

Les personnes ayant grandi avec des parents stricts conservent certains comportements et réflexes à l’âge adulte. Elles ont un rapport à l’autorité, une manière de gérer les conflits et d’aborder les relations sociales qui sont caractéristiques.  

Ces personnes peuvent être autoritaires à leur tour à l’âge adulte. « Cette tendance à reproduire s’explique par différents mécanismes psychologiques de l’apprentissage qui poussent l’enfant à se modéliser à partir du schéma parental. Ces schémas de répétition peuvent se mettre en place précocement, au travers d’une rigidité mentale. On va avoir tendance à devenir contrôlant, un peu rigide, dans le respect des règles strictes, de l’obéissance, parce qu’on a été élevé dans un modèle de punitions avec des conséquences parfois négatives », développe Sébastien Garnero, psychologue clinicien, sexologue et hypnotherapeute.

Durant leur enfance, les personnes qui ont eu des parents sévères ont été habituées à ce que tout soit réalisé d’une certaine manière, et dans un ordre bien précis. À l’âge adulte, cela se traduit souvent par une certaine rigidité mentale : le quotidien est millimétré, tout est bien préparé, parfois trop puisqu’il leur est impossible de modifier le cours des événements. Les personnes ayant eu des parents autoritaires souhaitent garder le contrôle. Cela va souvent de pair avec le perfectionnisme, elles s’imposent une pression et une exigence dans tout ce qu’elles entreprennent.

Elles peuvent à l’inverse vouloir fuir les conflits. « Le fait d’avoir grandi avec des parents stricts peut aussi amener à ne pas le devenir, par opposition au système totalitaire autoritaire dans lequel on a été élevé, et ne pas rechercher ce type de lien dans ses relations sociales ou avec ses enfants », informe le spécialiste. À tel point que l’on manque parfois d’autorité et que l’on s’inscrit dans des formes d’évitement. Dans ses relations familiales et professionnelles, on préfère fuir les rapports d’autorité et les conflits, quitte à faire preuve d’un certain laxisme.

Quand le cadre familial ne permet pas à l’enfant d’exprimer librement ses émotions, celui-ci développe un attachement évitant. Les parents autoritaires sont souvent froids, distants physiquement et ne laissent pas paraître leurs ressentis. Dès son plus jeune âge, l’enfant apprend alors à garder les choses pour lui. À l’âge adulte, cela se traduit par des difficultés à s’intégrer socialement, une fuite de la proximité, un manque d’empathie, une difficulté à faire confiance ou encore la volonté de ne rien devoir à personne. 

Enfi, les personnes ayant grandi avec des parents stricts ont souvent tendance à recréer une forme de leadership autoritaire dans leurs relations sociales. Elles s’appliquent des règles strictes à elles-mêmes et s’attendent à ce que les autres s’y conforment aussi. Elles sont généralement peu chaleureuses, très exigeantes et rigides. « Ces traits de caractère sont souvent associés à un refus de l’autorité des autres. Lorsque l’autorité est pondérée, régulée et adaptée aux circonstances, c’est une qualité. En revanche, l’autoritarisme dominant traduit une personnalité limite (personnalité à problèmes, agressive, manipulatrice) », complète Sébastien Garnero.


Source : JDF Santé

Booster de dopamine, ce petit-déjeuner est excellent pour se sentir heureux

Booster de dopamine, ce petit-déjeuner est excellent pour se sentir heureux

Notre moral a tendance à être défaillant en ce début d’année.


Il fait froid et humide, la nuit tombe vite, c’est la reprise du travail… Notre moral a tendance à être défaillant en ce début d’année, période de post-fêtes. Heureusement, certains aliments peuvent nous aider à nous sentir mieux et plus heureux car ils sont particulièrement riches en dopamine, une petite molécule produite dans le cerveau qui joue un rôle essentiel dans notre motivation, notre énergie, notre bien-être et notre humeur. Ces aliments peuvent facilement être consommés dans le cadre d’un petit-déjeuner complet et équilibré.

Tout d’abord, il faut agrémenter son petit-déjeuner d’un aliment riche en protéines : « elles jouent un rôle crucial dans la santé du cerveau, car elles sont impliquées dans la production de neurotransmetteurs, des espèces de « messagers chimiques » qui facilitent la communication entre les cellules cérébrales« , explique la diététicienne et auteure Lauren Manaker, interrogée dans le média américain Eating Well. Les sources de protéines intéressantes au petit-déjeuner sont principalement une portion de fromage frais type Cottage cheese ou Carré Frais©, un œuf ou un poisson gras (une tranche de saumon fumé, une portion de maquereau…) qui a en plus l’avantage d’apporter des vitamines B et D, essentielles à la régulation de l’humeur et à la fonction mentale globale. 

Ensuite, on vient privilégier des aliments riches en tyrosine, un acide aminé qui permet la production de dopamine. Il s’agit par exemple de l’avocat que l’on peut venir étaler sur une tranche de pain complet ou de seigle. Enfin, on va opter pour des aliments riches en antioxydants car ils soutiennent la santé cérébrale et maintiennent un équilibre psychique optimal. C’est le cas des noix, des pistaches, des graines de sésame ou des amandes que l’on peut venir parsemer sur sa tartine (pas plus d’une portion de 30 g par jour). 

On ne néglige pas l’hydratation : les boissons comme le thé vert (peu importe lequel) contiennent également des acides aminés telle que la l-théanine qui augmente la quantité de dopamine et de l’acide glutamique qui restaure et préserve le système nerveux. 


Source : JDF Santé

Top chrono, cette boisson vitaminée fait disparaître un rhume en 3 jours

Top chrono, cette boisson vitaminée fait disparaître un rhume en 3 jours

Chacun de ses ingrédients joue un rôle bien précis.


La saison des rhumes bat son plein. C’est le moment de bien s’hydrater, se reposer, renouveler l’air intérieur régulièrement et laver son nez avec du sérum physiologique, un spray d’eau thermale ou d’eau de mer. Les symptômes du rhume disparaissent spontanément en 6-7 jours, voire moins avec cette boisson « anti rhume », mise au point par Barbara O’Neill, naturopathe de renommée internationale, éducatrice en bien-être et auteure de nombreux livres de remèdes naturels. 

Testée et approuvée par des milliers d’utilisateurs, cette recette est vite devenue virale sur les réseaux sociaux, popularisée par de nombreux comptes TikTok de naturopathes. C’est notamment grâce à sa simplicité et à sa rapidité de préparation. Chacun des ingrédients joue un rôle. L’ail est un puissant antibactérien, le gingembre est un antiviral naturel qui fait baisser la fièvre, le curcuma est un formidable expectorant qui favorise l’expulsion des sécrétions des bronches, le citron est riche en vitamine C et apporte de l’énergie et le miel adoucit une gorge irritée. Quant au poivre noir, c’est un 3-en-1 très apprécié en médecine ayurvédique car il renforce naturellement le système immunitaire grâce à sa teneur en vitamines, il atténue la congestion thoracique et nasale et il maximise les effets du curcuma.

La recette est simple : mixez deux gousses d’ail, un morceau de racine de gingembre (2-3 cm), un morceau de racine de curcuma (ou une cuillère de curcuma en poudre), le jus d’un demi citron, une bonne cuillère de miel, une pincée de poivre et 20 cl d’eau chaude (pas bouillante pour ne pas détruire les propriétés curatives du miel). Ces ingrédients, une fois mixés, se transforment en un breuvage à la couleur dorée que la naturopathe appelle une « flu bomb », littéralement un « shot curatif anti rhume » qui soulage les symptômes gênants du rhume en 3 jours top chrono.

Le rhume peut être pénible à supporter mais il vaut mieux s’armer de patience et privilégier les remèdes naturels voire du paracétamol en cas de maux de tête. Dangereux, les médicaments vasoconstricteurs à base de pseudoéphédrine réputés pour déboucher rapidement le nez ont été placés sur ordonnance médicale par l’Agence du médicament. Si les symptômes du rhume persistent ou s’aggravent, il faut consulter un médecin. 


Source : JDF Santé

Le "test de la chaussette" prédit votre risque de mourir prématurément – à faire d'urgence après 50 ans

Le "test de la chaussette" prédit votre risque de mourir prématurément – à faire d'urgence après 50 ans

Il vous suffit d’une paire de chaussettes et d’une paire de chaussures.


En vieillissant, on a tendance à devenir plus sédentaire, à s’enraidir et à perdre de la mobilité, ce qui affecte la capacité à se déplacer et à réaliser des tâches quotidiennes simples et favorise le risque de chute. Pour mesurer rapidement sa stabilité et son niveau d’équilibre, Chris Hinshaw, entraîneur sportif de renommée internationale, a mis au point un exercice aujourd’hui devenu viral, à réaliser sans attendre dès la cinquantaine.

Validé par des kinés et ostéopathes, cet exercice baptisé « Old man test » ou plus simplement « le test de la chaussette » est très facile à faire et ne nécessite aucun matériel à part une paire de chaussettes et une paire de baskets. « C’est un excellent test qui va venir tester un tas d’éléments particuliers comme son équilibre, sa capacité à rester quelques secondes sur une seule jambe et en plus à faire des mouvements lorsqu’on vient faire la flexion du genou. Cela permet de travailler le quatuor cheville-genou-hanche-bassin, extrêmement important quand on prend de l’âge, mais aussi sa force et sa stabilité« , commente HemtonKiné, kiné et ostéopathe du sport sur son compte Instagram. 

Le principe est le suivant : en équilibre sur la jambe droite, penchez-vous en veillant à garder le dos bien droit, prenez une chaussette et enfilez-la sur votre pied gauche, prenez ensuite la chaussure et enfilez-la, tout en restant en équilibre sur une seule jambe (le pied gauche ne doit pas toucher le sol tant que la basket n’est pas complètement enfilée). Changez ensuite de côté et recommencez ces mêmes étapes avec l’autre jambe. Le test est réussi si le pied ne touche pas terre. En revanche, il est considéré comme « échoué » s’il y a besoin de poser le pied au sol à un moment donné (sauf bien sûr, lorsque vous changez de jambe au milieu de l’exercice). Réalisez ce test dans un espace sécurisé, loin d’objets que vous pourriez heurter si vous vacillez ou basculez en avant et placez-vous sur une surface stable et dégagée, avec un mur à proximité.

 

 
 

 

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Ce test peut aussi aider à prédire son risque de mourir prématurément. Dans une étude publiée dans le British Journal of Sports Medicine, des chercheurs finlandais ont demandé à 1 700 personnes âgées de 51 à 75 ans (68% étaient des hommes) de réaliser une posture d’équilibre sur une jambe (similaire au Old man test) pendant 10 secondes. Les personnes qui n’ont pas réussi à tenir la posture (20% des participants) avaient un risque accru de 84% de décès toutes causes confondues au cours des 10 prochaines années par rapport aux personnes qui ont réussi le test. Elles étaient également plus susceptibles de développer des facteurs de risques de maladies cardiovasculaires comme une hypertension artérielle, un diabète de type 2 ou une obésité. 

« Notre capacité à garder l’équilibre reflète tous les systèmes interconnectés qui sont nécessaires pour traiter efficacement l’expérience de la station debout. Nous pouvons donc utiliser l’équilibre comme un « signal d’alarme » indiquant qu’il se passe peut-être autre chose. Cela nous aide à évaluer les risques et à mettre en place des stratégies pour les réduire« , commentent les chercheurs.

Selon les chercheurs, les personnes qui échouent à ce test devraient davantage faire des exercices d’équilibre dynamiques comme monter des escaliers, marcher uniquement sur les talons ou les orteils et pratiquer au moins une à deux fois par semaine du yoga ou de la danse.


Source : JDF Santé

Riche en potassium, ce délicieux fruit sec est excellent pour les reins

Riche en potassium, ce délicieux fruit sec est excellent pour les reins

De réelles propriétés néphroprotectrices.


Les fruits secs sont de véritables mines nutritionnelles car ils sont déshydratés et donc plus concentrés en minéraux. Ils apportent de l’énergie, régulent le transit, protègent le système cardiovasculaire, renforcent les os et favorisent la satiété. L’un d’entre eux serait spécifiquement bons pour les reins, assurent des chercheurs dans une méta analyse parue dans la revue Food Bioscience.

Sur le plan nutritionnel, ce fruit a tout bon car il a « des propriétés néphroprotectrices« , autrement dit, il protège les reins des inflammations, améliore leur fonction de filtration des toxines et des déchets et retarde l’insuffisance rénale. Il empêcherait la formation de calculs et nettoie les voies urinaires. C’est notamment grâce à sa richesse en magnésium, un minéral essentiel pour les reins, en flavonoïdes, en polyphénols, en anthocyanes et en caroténoïdes qui ont toutes de fortes propriétés antioxydantes.

C’est surtout sa richesse en potassium qui est intéressante (une portion de 3 fruits apporte 350 mg de potassium, soit 1/10 des besoins journaliers pour un adulte). C’est un minéral capable de stimuler l’élimination des déchets toxiques. « Il a été prouvé que le potassium alimentaire était associé à un risque plus faible de développement de maladies rénales chroniques« , confirme une autre étude menée en 2019 sur plus de 5 000 personnes et parue dans la revue Medical Science Monitor. Parmi les fruits secs les plus riches en potassium, on retrouve les dattes. C’est un fruit incontournable quand on veut se protéger des maladies rénales. 

En revanche, attention si on souffre d’insuffisance rénale à ne pas trop en consommer car en excès, le potassium peut faire « trop » travailler les reins. La population générale peut manger trois dattes par jour sans problèmes. Ceux qui souffrent de troubles rénaux doivent avoir une consommation occasionnelle de dattes. Elles peuvent être grignotées natures en en-cas, coupées dans un yaourt, mixées dans une pâtisserie ou encore dans des plats salés (tajines, couscous, viandes en sauce). 


Source : JDF Santé