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Un virus dangereux pour le foie se répand dans cette ville française : les autorités appellent à la vigilance

Un virus dangereux pour le foie se répand dans cette ville française : les autorités appellent à la vigilance

« La circulation du virus pourrait s’amplifier dans les prochaines semaines. »


Les cas ont augmenté de 356% en un an. Dans un communiqué publié le 19 août, la Direction Générale de la Santé (DGS) fait part d’une augmentation d’infections hépatiques dans une grande ville française. « 73 cas ont été déclarés entre le 1er janvier et le 31 juillet 2025. L’augmentation est encore plus évidente depuis le début du mois de juillet avec 57 cas signalés. »

Le virus est présent dans les matières fécales des personnes atteintes, la maladie se transmet par l’intermédiaire des mains ou d’aliments contaminés. Fréquemment, elle passe inaperçue, notamment chez l’enfant. Elle peut se manifester par la présence de fièvre, douleurs abdominales, nausées, perte d’appétit, asthénie et jaunisse. « Nous vous invitons à être vigilant face à des patients présentant des symptômes compatibles » demande la DGS aux professionnels de santé. 

Ce virus est connu des autorités sanitaires puisqu’il s’agit du virus de l’hépatite A. L’hépatite A est une maladie du foie qui est contagieuse. Dans la majorité des cas, elle guérit spontanément sans séquelles mais des formes graves existent, surtout chez les personnes immunodéprimées, âgées, ayant des maladies du foie pré-existantes… Si l’incidence de l’hépatite A augmente globalement en Europe, la DGS s’inquiète de la hausse des cas constatée actuellement dans le Rhône « majoritairement dans la ville de Lyon et plus spécifiquement au niveau du 7ème arrondissement ». Cette augmentation « laisse à penser que la circulation du virus y est actuellement très active et pourrait s’amplifier dans les prochaines semaines ».

Les autorités n’ont pas connaissance de la cause de cette recrudescence mais « les investigations sont en cours ». Une vingtaine de cas d’hépatite A ont aussi été rapportés en juin dans la ville de Nantes. En cas de doute sur les symptômes, il faut consulter un médecin. L’hépatite A est une maladie à déclaration obligatoire. Elle est dépistée par prise de sang. Pour s’en protéger, il existe un vaccin. Celui-ci n’est pas obligatoire mais recommandé à certaines populations (voyageurs qui partent dans des pays où l’hygiène de l’eau et des aliments est précaire, membres de l’entourage d’une personne atteinte d’hépatite A, hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, patients avec une maladie chronique du foie…).


Source : JDF Santé

C'est prouvé : les personnes qui mangent cet aliment le soir s'endorment plus vite que les autres

C'est prouvé : les personnes qui mangent cet aliment le soir s'endorment plus vite que les autres

La nouvelle étude de chercheurs japonais montre que cet aliment bien connu accélère le temps d’endormissement et améliore la qualité du sommeil.


L’alimentation joue un rôle crucial dans le bien-être général, y compris pour la qualité du sommeil. Certains aliments favorisent un sommeil rapide et réparateur tandis que d’autres le perturbent. Il est par exemple su qu’un repas gras et lourd le soir empêche de bien dormir. Des chercheurs de l’Université de médecine de Kanazawa, au Japon, démontrent cette fois les bienfaits d’un aliment bien connu et présent dans quasiment toutes les cuisines pour réduire le temps d’endormissement et améliorer les nuits. 

Pour parvenir à cette conclusion, les scientifiques ont mené une étude approfondie auprès de 1900 hommes et femmes âgés de 20 à 60 ans. Chaque participant a dû remplir un questionnaire détaillé sur ses habitudes alimentaires, évaluant spécifiquement sa consommation de riz blanc, de pain et de pâtes au blé dur (nouilles). La qualité de leur sommeil a ensuite été mesurée pendant un mois à l’aide d’un indice spécifique, permettant d’identifier ceux ayant un sommeil de mauvaise qualité.

Les résultats de cette recherche publiés dans la revue Plos One sont particulièrement intéressants. Il a été constaté que les personnes consommant des produits à base de blé, comme les pâtes, le soir avaient un sommeil de moins bonne qualité. À l’inverse, les adeptes du riz au dîner ont montré les signes d’un sommeil amélioré, avec un temps d’endormissement réduit de 10 minutes en moyenne. Ce phénomène s’explique par le fait qu’un index glycémique élevé (celui du riz blanc étant globalement plus élevé que celui des pâtes de blé dur) influence directement la production de substances chimiques dans le cerveau liées à l’endormissement (tryptophane, mélatonine). 

Si le riz peut être un allié précieux pour un endormissement plus rapide, il est essentiel de connaître les règles d’or d’un bon sommeil : privilégier dans la mesure du possible des heures de coucher et de lever régulières, créer un environnement propice au sommeil (obscurité, calme, fraîcheur) et éviter les excitants (caféine, écrans) avant de dormir. Combiner une alimentation équilibrée avec ces bonnes habitudes aidera à profiter pleinement de vos nuits.


Source : JDF Santé

À 85 ans, elle en paraît 60 : "Mon secret pour ne pas vieillir tient en 1 mot"

À 85 ans, elle en paraît 60 : "Mon secret pour ne pas vieillir tient en 1 mot"

Préserver l’autonomie et la mobilité est essentiel pour vieillir en bonne santé et lutter contre le déclin lié à l’âge.


À 85 ans, Betty étonne par sa santé physique exceptionnelle et son énergie. Personne ne dira le contraire : elle fait au moins 20 ans de moins que son âge. Derrière cette super forme, pas de triche : ni médicament, ni chirurgie, ni régime… Non, son secret de longévité est naturel et tout le monde peut en bénéficier. Suivre la routine santé de Betty c’est l’assurance de vieillir en bonne santé et conserver mobilité et autonomie le plus longtemps possible.

Betty vit au quatrième étage d’un immeuble sans ascenseur. Ce détail n’a rien d’exceptionnel, sauf quand on apprend qu’elle monte 65 marches au moins quatre fois par jour. « Si tu le fais chaque jour, tu sais ce que ça représente par an ? Quasiment 57 Tour Eiffel de grimpées » calcule le coach sportif Nordine Attab dans une vidéo pour Ici.Officiel. Ce jour-là, il propose de l’accompagner sur l’un de ses trajets habituels. « Je me suis dit que ça allait être un moment sympa, de rencontre, de détente… mais pas du tout ! Je suis en train d’accélérer le pas pour pouvoir poser mes questions. » Il peine à suivre la cadence de l’octogénaire. « On est au moins à 4 ou 5 kilomètres/heure » commente-t-il.

Pour Betty, c’est une promenade de santé. Le coach, habitué aux performances sportives, remarque qu’elle ne montre aucun signe de fatigue. Pas de ralentissement, pas de souffle court. Son secret ? Il tient en un seul mot : marcher. « J’ai marché toute ma vie. » Enfant, Betty faisait 5 à 6 kilomètres par jour pour aller à l’école. Aujourd’hui, elle parcourt quotidiennement 10 kilomètres. « Il faut marcher un peu tous les jours. Si je reste assise toute une après-midi chez moi, ça ne va pas alors que si j’ai bougé un peu dans la journée, je dors mieux. Et puis j’en ai besoin, il faut que je bouge. »

Chez les seniors, la marche rapide maintient mobilité, force et équilibre, réduisant le risque de chutes et de dépendance. Marcher améliore la santé cardiovasculaire, stimule la masse musculaire et les fonctions cognitives. L’Organisation mondiale de la santé recommande aux adultes y compris aux plus de 65 ans de pratiquer au moins 2h30 à 5h d’activité physique modérée par semaine pour favoriser un vieillissement en bonne santé.


Source : JDF Santé

Les médecins l'appellent "l'aliment parfait" : il stimule les fonctions cognitives et protège le foie

Les médecins l'appellent "l'aliment parfait" : il stimule les fonctions cognitives et protège le foie

C’est un aliment à avoir toujours dans son réfrigérateur tant il est bon pour la santé.


Avoir une alimentation variée n’est pas difficile tant les aliments sont nombreux au supermarché. Si bien sûr, les fruits et légumes sont incontournables pour la santé, d’autres méritent plus d’attention. C’est en tous cas ce que défend le docteur Jimmy Mohamed. Pour lui, un aliment en particulier coche toutes les cases sur le plan nutritionnel et est pourtant souvent relégué au second plan. Dans un entretien accordé à la chaîne de Hugodécrypte, Jimmy Mohamed est catégorique : c’est « l’aliment parfait ».

Pourquoi ? Car celui-ci est riche en protéines, en bons lipides, en vitamines, en minéraux, en oméga-3… et surtout, en choline. Un composant qu’il place au centre de son argumentaire. Peu connu du grand public, la choline joue un rôle déterminant dans le fonctionnement du cerveau : « La choline permet de créer dans le cerveau de l’acétylcholine » explique Jimmy Mohamed dans une récente vidéo. L’acétylcholine est un neurotransmetteur impliqué dans la mémoire. Elle contribue à améliorer les fonctions cognitives sans avoir besoin de supplémentation. Et ce n’est pas tout. « C’est un aliment qui protège le foie. » Là aussi, l’effet est lié à la choline, qui intervient dans le métabolisme hépatique et la dégradation des graisses. Autrement dit, un rôle de soutien direct aux deux organes les plus sollicités au quotidien.

La star en question ? L’œuf. « Il coûte 30 centimes voire 35 » souligne le spécialiste. Ce prix correspond à un oeuf issu d’un élevage respectueux, nourri au grain, en plein air, avec une teneur en oméga-3 intéressante. Ainsi, on y trouve une vingtaine de protéines, et notamment des lipoprotéines permettant de transporter le cholestérol dans le sang, un élément central dans le fonctionnement cellulaire. L’oeuf contient aussi des vitamines A, D, E, B12, du sélénium, de l’iode et du zinc.

Vous l’aurez compris, contrairement aux glucides rapides souvent consommés au petit-déjeuner, cet aliment apporte une satiété durable, des nutriments essentiels et une charge glycémique faible. Il constitue un point d’appui efficace pour démarrer la journée sans pic de sucre ni fringale en milieu de matinée. À noter qu’il est aussi l’un des rares produits à contenir, dans sa forme naturelle, autant de macro et micronutriments utiles en si peu de volume. Bref, que demander de plus ?


Source : JDF Santé

Je suis médecin et je le répète à mes patients : dîner après cette heure empêche de maigrir et de bien dormir

Je suis médecin et je le répète à mes patients : dîner après cette heure empêche de maigrir et de bien dormir

Plus on mange tard, moins le sommeil est réparateur et plus on stocke.


Chacun a ses habitudes le soir. Certains aiment dîner tôt, d’autres tard et d’autres très tard. Mais pour être sûr de bien dormir, il est recommandé de ne pas dîner à n’importe quelle heure et surtout d’être régulier. Sur Instagram, le Dr Poonam Desai explique que dîner tard perturbe le métabolisme, dérègle les hormones et favorise la prise de poids, surtout après 30 ans. « Vous êtes-vous déjà demandé ce qui se passe vraiment quand vous vous manger trop tard le soir ou la nuit ? » interroge-t-elle. « Les dîners tardifs et les collations pendant que vous regardez Netflix mènent à un mauvais sommeil, au chaos hormonal et à la prise de poids. »

Manger tard le soir déclenche un enchaînement de réactions qui nuisent au sommeil. La mélatonine, hormone du sommeil, entre en conflit avec l’insuline, perturbant la régulation de la glycémie. « Un mauvais sommeil peut entraîner une augmentation stupéfiante de 23% de votre taux de sucre dans le sang le matin. » Cela favorise la fatigue au réveil et les fringales en milieu de matinée. Mal reposé, l’organisme produit aussi plus de ghréline, l’hormone de la faim, et moins de leptine, qui signale la satiété, poussant vers des envies de sucres et de gras le lendemain. « Les repas tardifs maintiennent également le taux de cortisol élevé, ouvrant la voie à l’accumulation de graisse abdominale. »

Pour le médecin, il faut donc éviter de dîner trop tard… c’est-à-dire après 19 heures. « Lorsque vous mangez après 19 heures, vous convertissez les calories en graisse plus rapidement que vous ne l’auriez jamais pensé » explique-t-elle. Pire encore si le repas tardif s’accompagne d’un temps prolongé devant les écrans et d’une faible exposition à la lumière naturelle. « Les patients qui ferment leur cuisine à 19 heures constatent souvent qu’ils perdent du gras plus efficacement et ont un sommeil plus réparateur », affirme le Dr Desai. Elle considère cette règle comme « l’une des astuces de longévité les plus simples à mettre en œuvre ».

En France, l’Institut National du Sommeil et de la Vigilance recommande de dîner léger, au moins deux heures avant le coucher, et de conserver des horaires de repas réguliers. L’Organisation mondiale de la Santé ne fixe pas d’heure précise mais recommande une alimentation équilibrée, riche en fruits, légumes et céréales complètes, et pauvre en sucres et graisses saturées. L’idée est d’avoir un dîner adapté et pris suffisamment tôt pour contribuer à un meilleur sommeil et à la prévention du surpoids.


Source : JDF Santé

Les chats peuvent aussi avoir la maladie d'Alzheimer : ce signe doit alerter, selon les chercheurs

Les chats peuvent aussi avoir la maladie d'Alzheimer : ce signe doit alerter, selon les chercheurs

Nombre de chats âgés en souffrent sans que le diagnostic soit posé.


Un chat qui change de comportement doit être surveillé. Surtout quand il vieillit. Certains signes, souvent attribués au vieillissement, peuvent cacher une réalité plus grave : la démence féline ou « syndrome de dysfonctionnement cognitif félin ». Cette maladie neurodégénérative, comparable à la maladie d’Alzheimer humaine, vient d’être étudiée en détail par une équipe internationale de l’Université d’Édimbourg. Les chercheurs montrent que le cerveau de certains chats âgés subit des altérations très proches de celles observées chez l’homme atteint d’Alzheimer – et que ces félins pourraient même servir de modèle précieux pour la recherche.

Les scientifiques ont examiné le cerveau de 25 chats de différents âges, dont certains présentaient déjà des signes de troubles cognitifs. Les résultats publiés dans l’European Journal of Neuroscience révèlent une accumulation de bêta-amyloïde, une protéine toxique qui s’agglutine entre les neurones et perturbe leur communication. Ce dépôt est caractéristique de la maladie d’Alzheimer chez l’homme. L’étude a également mis en évidence la présence de ces dépôts dans les synapses par lesquelles circulent les messages nerveux. Les chercheurs ont observé que certaines cellules de soutien du cerveau « nettoyaient » les synapses endommagées. Ce mécanisme est normal chez le jeune animal mais, chez le chat âgé, il accentue la perte de connexions et les troubles de la mémoire.

Les chercheurs ont également identifié d’autres marqueurs typiques de l’Alzheimer humain comme l’atrophie cérébrale et la perte neuronale. Ces modifications cérébrales se traduisent par des signes repérables : le chat miaule ou vocalise plus, semble confus, a moins d’interactions sociales, se perd dans son environnement familier, dort à des heures inhabituelles. Selon les auteurs de l’étude, ces symptômes doivent alerter les propriétaires, surtout s’ils apparaissent ou s’intensifient avec l’âge.

Pour les vétérinaires, reconnaître ces signes tôt est essentiel pour améliorer la qualité de vie de l’animal : aménagement du domicile, maintien de repères stables, stimulation douce et régulière. Les auteurs soulignent aussi que les avancées réalisées dans le traitement expérimental de l’Alzheimer humain pourraient bénéficier aux chats dans le futur. En attendant, ils recommandent aux maîtres d’observer attentivement les changements de comportement de leur animal de compagnie et de consulter en cas de doute.


Source : JDF Santé