Pleine lune : quels sont les vrais effets sur le sommeil ?

Pleine lune : quels sont les vrais effets sur le sommeil ?

Sommeil agité, endormissement difficile, insomnies… Elle a un vrai impact sur le sommeil.


Vous avez eu des insomnies ces dernières nuits ? La faute peut-être à lapleine lune. La pleine lune se produit tous les 29 jours. Il y en a une chaque mois. A cette période, on remarque souvent qu’on dort mal, surtout les jours précédents. Récapitulatif des explications émises sur le lien entre pleine lune et sommeil.

Quelle est l’influence de la pleine lune sur le sommeil ? 

Selon une étude publiée dans la revue Science Advances, le sommeil commence plus tard et est plus court les 3 à 5 nuits précédant la pleine lune. « Le clair de lune stimule probablement l’activité nocturne et inhibe le sommeil » ont expliqué les auteurs des universités de Yale à Washington (Etats-Unis) et de Quilmes en Argentine. « C’est principalement le clair de lune disponible pendant les premières heures de la nuit qui est le plus susceptible de modifier l’apparition du sommeil, constatent-ils. En revanche, le clair de lune tard dans la nuit, lorsque la plupart des individus dorment, devrait avoir peu d’influence sur la survenue et la durée du sommeil. »

A cause de la lumière de la lune ?

Les chercheurs ont par ailleurs fait le parallèle avec l’exposition aux lumières artificielles : « En général, la lumière artificielle perturbe nos horloges circadiennes innées de manière spécifique: elle nous fait nous endormir plus tard dans la soirée; cela nous fait moins dormir. Mais en général, nous n’utilisons pas de lumière artificielle pour « avancer » le matin, du moins pas volontairement. Ce sont les mêmes modèles que nous avons observés ici avec les phases de la lune », a déclaré le Pr Horacio de la Iglesia, directeur de l’étude. 

La Pleine lune a un impact sur les éléments de la Terre : marée, plantes…

De manière générale, la Lune a un impact sur la Terre et l’ensemble des éléments qui la composent : elle agit sur le rythme des marées, la croissance des plantes, elle provoque des tremblements de terre… Elle agit aussi sur le corps humain : humeur, cycle menstruel, appétit, niveau d’énergie mais aussi sommeil. En cause, la clarté de la Lune et de ses rayonnements qui retarde la production de mélatonine, hormone du sommeil. Si l’étude menée par des chercheurs des universités de Yale, Washington (États-Unis) et de Quilmes (Argentine) a démontré que la phase d’endormissement était retardée les soirs de pleine lune, ils n’ont, en revanche, pas découvert que le satellite pouvait être responsable d’insomnies. 

Pour mieux dormir les soirs de Pleine Lune, il est conseillé de :

  • se coucher plus tôt,
  • faire davantage de sport pour canaliser son énergie,
  • éviter la consommation de tabac et de stimulants,
  • adopter une alimentation variée et équilibrée,
  • se faire une tisane de valériane,
  • disperser quelques gouttes d’huile essentielle de lavande sur son oreiller

De manière générale, n’oubliez pas que le sommeil se soigne au quotidien. Il faut veiller à avoir un rythme de coucher et de lever régulier, à dormir suffisamment le plus souvent possible. 


Source : JDF Santé

Voici le nombre de calories dans 1 seule part de galette des rois – tant que ça ?

Voici le nombre de calories dans 1 seule part de galette des rois – tant que ça ?

Notre diététicienne donne la quantité que l’on peut se permettre de manger en janvier.


Avis aux gourmand(e)s. Si « dans le cadre d’une alimentation équilibrée, il est important de se faire plaisir régulièrement » comme nous le rappelle d’emblée la diététicienne-nutritionniste Alexandra Murcier, il y a quand même des desserts à tenir à distance plus que d’autres. Un, surtout, que l’on à plaisir à retrouver au début de chaque année…

La fameuse galette des rois. « On peut la consommer mais pas tous les jours, plutôt idéalement 2 à 3 fois par semaine comme la galette est assez sucrée, et si possible sans la cumuler avec d’autres aliments très riches au sein d’un même repas, pour favoriser une meilleure digestion » poursuit notre interlocutrice. Autre conseil : la préférer dans sa version classique et non dans ses déclinaisons au chocolat, à la pomme, à la pistache, aux pralines ou encore au caramel car le compteur calorique sera d’autant plus élevé.

Composée traditionnellement de poudre d’amande, d’œuf, de beurre, de sucre et de pâte feuilletée, la galette est extrêmement calorique. Bien plus encore que ce que l’on pense, nous révèle Alexandra Murcier. « L’apport énergétique de la galette des rois (le fameux dessert, ndlr) dépend de la taille de la part et de sa composition exacte mais les deux ingrédients principaux, à savoir la pâte feuilletée et la frangipane, sont tous les deux très caloriques, car riches en glucides et en lipides. Une part classique de galette des rois apporte entre 400 et 500 calories, ce qui en fait un aliment doté d’une densité énergétique élevée et riche en sucre », informe la diététicienne.

Que penser de la galette des rois briochée plébiscitée dans le sud de la France ? Celle-ci se présente sous la forme d’une couronne, nature ou agrémentée de fruits confits et de perles de sucre ou de pépites de chocolat. Avec environ 200 calories la part, la brioche des rois est quasiment deux fois moins calorique que la galette des rois traditionnelle à la frangipane. Pour limiter la facture calorique, il est préférable de miser sur une galette briochée nature car les éléments ajoutés augmentent le nombre total de calories.

Pour autant, même si la galette des rois à la frangipane est une vraie « bombe calorique », il n’est pas question de s’en priver. Car cela reste un plaisir occasionnel que l’on ne peut déguster qu’à une seule période de l’année et que l’on ne grossit pas en un seul repas. C’est la répétition des mauvaises habitudes alimentaires qui fait prendre du poids, pas une unique part de galette des rois.

Merci à Alexandra Murcier, diététicienne-nutritionniste à Paris.


Source : JDF Santé

Ces 4 signes sont typiques d'un manque de collagène, surtout après 50 ans

Ces 4 signes sont typiques d'un manque de collagène, surtout après 50 ans

Le collagène assure la cohésion et la souplesse de nos tissus, organes, articulations et muscles.


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Source : JDF Santé

Les personnes qui exercent ce métier sont en plus mauvaise santé que les autres

Les personnes qui exercent ce métier sont en plus mauvaise santé que les autres

Au cours des 3 derniers mois, la moitié d’entre elles ont eu un problème de santé.


« Le travail, c’est la santé, rien faire c’est la conserver. Les prisonniers du boulot font pas de vieux os« , pouvait-on entendre dans la chanson d’Henri Salvador largement utilisée à des fins de revendications sociales à sa sortie en 1965. Si ces paroles prêtent aujourd’hui à sourire, elles sont loin d’être démodées et le travail continuerait de peser sur la santé de nombreuses professions, suggère le baromètre pour la Mutuelle Nationale des Hospitaliers (MNH) publié fin 2024. Pour mener cette enquête, les sondeurs ont interrogé plus de 2 500 personnes (actifs en emploi) sur leurs habitudes de travail et leur état de santé et ils ont révélé la profession qui a le pire impact sur la santé. 

« Au cours des 3 derniers mois, 46% d’entre eux ont eu un problème de santé contre 28% dans la population générale, soit un écart de 18%« , rapporte l’étude. Plus inquiétant, l’état de santé mentale de ces professionnels s’est dégradée depuis la publication du dernier baromètre : un tiers ont déclaré avoir une mauvaise santé mentale contre 14% dans la population générale. Cet état de santé plus mauvais que la moyenne s’explique, entre autres, par des conditions de travail plus difficiles : la quantité de travail trop importante (ils sont 76% à s’en plaindre contre 51% pour la population générale), l’incivilité au travail plus fréquente (45% vs 30%), tout comme l’agressivité (31% vs et 27%) et le stress au travail.

Ils sont aussi plus susceptibles de travailler la nuit que le reste des actifs et auraient par ailleurs une moins bonne hygiène de sommeil en moyenne : 61% d’entre eux sont confrontés au moins une fois par semaine à un problème de sommeil contre 48% dans la population générale. Enfin, plus de la moitié d’entre eux consommerait de l’alcool, du tabac, du cannabis ou des anxiolytiques (tranquillisants ou somnifères) au moins une fois par semaine. Alors quel est l’emploi le plus dommageable pour la santé ? « Les cordonniers sont décidément les plus mal chaussés« , ironisent les sondeurs puisque ce sont les soignants et les personnels hospitaliers (infirmiers, aides-soignants, médecins) qui sont ciblés ici.

Beaucoup de professionnels de santé travaillant en décalé (le week-end ou de nuit), ils sont beaucoup moins nombreux que les autres

Français en activité à juger que leur équilibre « vie professionnelle – vie professionnelle » est « satisfaisant ». En termes de prévention, les soignants sont moins sérieux que leurs patients : une soignante sur deux n’a jamais effectué un examen de dépistage du cancer du sein (53% vs 67% chez les Françaises). Seul point positif de l’enquête : les relations conflictuelles avec les collègues sont moins fréquentes chez les professionnels de santé que dans la population générale (14% vs 20%).


Source : JDF Santé

Sommeil : voici la meilleure attitude à avoir avec une personne somnambule

Sommeil : voici la meilleure attitude à avoir avec une personne somnambule

Un médecin tranche enfin le débat de réveiller ou pas un somnambule.


Avez-vous déjà trouvé votre partenaire en pleine nuit assis au bout du lit, le regard dans le vide ? Pas de panique, il s’agit surement d’une crise de somnambulisme. « Le somnambulisme fait partie des évènements physiques indésirables qui vont se produire habituellement au cours du sommeil lent profond ou à un moment où le sommeil lent profond va changer pour un autre stade de sommeil » nous explique le Dr Françoise Vecchierini, spécialiste de sommeil et membre de l’Institut National du Sommeil et de la Vigilance. Le sommeil lent se produit généralement dans les premières heures de la nuit, moment du début de la crise. Le somnambulisme touche surtout les enfants et les jeunes adultes, généralement jusqu’à 28-30 ans. Les personnes atteintes dorment et n’ont pas conscience de ce qu’elles font pendant la nuit mais « elles ont le sentiment qu’il s’est passé quelque chose ».

Les enfants et adultes ne vont pas avoir le même comportement pendant une crise de somnambulisme. « L’enfant va se lever, marcher, se mettre à jouer et on le retrouve endormi sur le tapis du salon. Pour l’adulte, c’est souvent moins riche : parfois il se lève, il s’assoit, il se met demi-assis, il se tourne et se rendort », poursuit notre interlocutrice. Les somnambules peuvent aussi s’adonner à des activités coordonnées comme la marche ou tout ce qui est habituel pour eux. C’est est une parasomnie, qui signifie « à côté du sommeil » et qui est liée à une dissociation des états. « Cela signifie qu’on continue à dormir alors qu’on a la liberté d’agir, ce qui est contraire au sommeil physiologique » argue le Dr Vecchierini. On peut bouger, marcher, descendre un escalier et même ouvrir la fenêtre « même si c’est un peu plus maladroit que si on était éveillé ». Un comportement qui n’est pas sans risque.

Contrairement au somnambulisme chez l’enfant, un adulte en pleine crise peut faire face à une image de quelqu’un ou quelque chose qui lui veut du mal, qui veut l’agresser. Il peut « se lever pour frapper, il a donc un risque de mise en danger ». En effet, en plus du facteur génétique, un facteur déclenchant comme le stress ou un traumatisme, peut être la cause du somnambulisme. Si vous assistez à une crise de somnambulisme, il y a une attitude à avoir : « Il faut essayer tout doucement de ramener la personne au lit, sans la réveiller. » Mais attention, il faut être prudent pour ne pas être victime d’agressivité. « Si la personne se défend, ou résiste simplement, il faut la laisser tranquille » prévient l’experte. Le mieux est alors d’observer en s’assurant que la personne ne se met pas en danger et ne sorte pas dans la rue.

Lorsqu’une personne est somnambule au sein du foyer, il faut faire quelques ajustements et sécuriser le milieu de vie pour empêcher l’ouverture des fenêtres, des portes et même des placards car « certains vont aussi faire la cuisine ». Le mieux est d’aller consulter un professionnel de santé accompagné de l’adulte qui vit avec le somnambule « car c’est important d’avoir la description de la personne qui voit l’évènement » explique le Dr Vecchierini. Durant le diagnostic, il faut vérifier qu’il n’y a pas d’autres pathologies associées comme l’apnée du sommeil par exemple. La prise en charge se fait par niveau de gravité du somnambulisme. Un bilan avec un psychologue consistera à connaitre le taux d’anxiété et de stress et orienter vers de la relaxation ou encore de l’hypnose. Un travail sur l’hygiène de sommeil est également indispensable, « pour éviter les rebonds ».


Source : JDF Santé

C'est le petit-déjeuner le plus sain du monde, il ferait vivre jusqu'à 100 ans

C'est le petit-déjeuner le plus sain du monde, il ferait vivre jusqu'à 100 ans

Chaque ingrédient qui le compose a un rôle bien particulier.


Le petit-déjeuner que beaucoup considèrent comme « le repas le plus important de la journée » contribuerait à vivre longtemps. A condition de choisir les bons produits. « En tant que chercheur sur la longévité, j’ai passé les 20 dernières années à étudier les habitudes des personnes qui vivent jusqu’à 100 ans ou plus, en particulier les aliments qu’elles consomment. Et dans un petit village caché de la péninsule de Nicoya, au Costa Rica (connu pour la longévité exceptionnelle de ses habitants, ce qu’on appelle une « zone bleue », ndlr), j’ai peut-être trouvé le petit-déjeuner le plus sain du monde« , témoigne Dan Buettner, chercheur en longévité au média CNBC.

Ce petit-déjeuner est salé et n’a rien à voir avec notre petit-déjeuner français, généralement composé de tartines de pain-beurre-confiture, d’œufs brouillés, de céréales ou encore de viennoiseries. Celui-ci est nettement plus rassasiant et affiche un profil nutritionnel très intéressant. Chaque ingrédient qui compose ce petit-déjeuner a un rôle bien particulier. Il comprend une tortilla de maïs dans laquelle on trouve une généreuse portion de haricots noirs, une portion de riz blanc à grains longs et une sauce « chili » mijotée au vinaigre, à l’oignon, aux poivrons rouges et aux herbes locales (romarin, thym, sauge). 

La tortilla de maïs est une excellente source de glucides complexes à faible indice glycémique (cela évite d’avoir un pic de glycémie après le repas). Les haricots noirs contiennent 10 fois plus d’antioxydants qu’une portion équivalente d’orange : ils nettoient le côlon, abaissent la tension artérielle et régulent l’insuline, l’hormone qui abaisse la glycémie. Ils sont également riches en potassium et en vitamine B, ce qui renforce le système immunitaire. « Une étude menée auprès de personnes de 70 ans ou plus issues de trois cultures différentes à travers le monde a révélé que pour chaque portion de haricots noirs (deux cuillères à soupe) consommées par jour, les individus réduisaient leur risque de décès de 8 %« , rapporte le démographe. De plus, la combinaison haricot-riz crée une protéine complète, c’est-à-dire qu’elle contient tous les acides aminés nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme.

Les poivrons et les herbes apportent de la vitamine C et le vinaigre offre un coup de pouce probiotique dès le petit-déjeuner. « Vous pouvez faire comme les Nicoyas : préparer une grande quantité de soupe aux haricots et la déguster toute la semaine« , conseille l’expert en longévité. Ce repas est généralement accompagné d’un café noir qui fournit un bon apport d’antioxydants et qui stimule le métabolisme tout au long de la matinée. 


Source : JDF Santé