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Anti-inflammatoire naturel, cette boisson est la meilleure contre l'arthrose

Anti-inflammatoire naturel, cette boisson est la meilleure contre l'arthrose

Une tasse par jour suffit à soulager les articulations gonflées.


Une tasse par jour suffit à soulager les articulations gonflées.

La moitié des Français souffrent de douleurs articulaires. Si vous ressentez des douleurs, des raideurs ou des gonflements dans vos articulations lorsque le temps est humide ou que les températures varient, l’arthrose pourrait en être la cause. Même s’il est essentiel de consulter votre médecin pour un traitement adapté, des solutions naturelles existent pour soulager ces maux. Par exemple, une boisson naturelle, encore peu connue mais aux vertus anti-inflammatoires prouvées, pourrait vous apporter un réel soulagement.

Très populaire au Japon et de plus en plus en France, cette boisson est fabriquée selon un procédé particulier qui lui assure une teneur élevée en antioxydants et en polyphénols, notamment en catéchines. Ces composés sont excellents pour réduire l’inflammation des articulations enflées, prévenir les dommages articulaires et soulager les douleurs liées à l’arthrose ou à l’arthrite inflammatoire. Concrètement, les antioxydants neutralisent les radicaux libres qui attaquent les cellules du cartilage en cas d’arthrose, ce qui aide à prévenir le vieillissement prématuré. Une étude parue en avril 2024 dans la revue Scientific Reports a confirmé les effets positifs sur les douleurs locales : cette boisson « est riche en pyrazine, un composant qui confère un arôme distinctif et qui améliore la circulation sanguine« , directement liée à une meilleure santé des articulations et à une diminution des raideurs articulaires. Aussi, elle contribue à une bonne hydratation, essentielle pour maintenir l’élasticité et la souplesse des articulations.

Cette boisson s’appelle « hojicha », ce qui signifie « thé grillé » en japonais. Conçue en 1920 à Kyoto pour « recycler » les restes de thé vert perdus pendant leur confection, il s’agit d’un thé vert-rosé torréfié puis moulu, aussi savoureux que bon pour la santé. Son goût n’est pas herbacé contrairement à celui du matcha : son infusion libère des notes de noisette, de café, de cacao et de pain grillé. La torréfaction permet de supprimer les tanins et de réduire sa teneur en théine et en caféine, ce qui en fait une boisson de tous les instants qui peut être consommée le soir sans empêcher de dormir. 

Ce thé est disponible dans les magasins de thés traditionnels ainsi que dans les enseignes bio. Pour le préparer, versez 70 ml d’eau chaude (70-75 °C) sur 1g de hojicha (ça équivaut à une cuillère à café rase) et mélangez avec un fouet en bambou, un mousseur électrique ou simplement une cuillère car cette poudre se mélange bien. Buvez chaud ou tiède à raison d’une tasse par jour. 


Source : JDF Santé

Ce nombre d'heures de sommeil, vite atteint, ne doit pas être dépassé : au-delà, le risque de mortalité grimpe

Ce nombre d'heures de sommeil, vite atteint, ne doit pas être dépassé : au-delà, le risque de mortalité grimpe

C’est en réalité un signal que notre corps envoie.


Qui n’a jamais fait de grasse matinée réparatrice ? Alors que les Français dorment en moyenne 6h58 par nuit, soit juste à la limite des 7 heures recommandées, beaucoup comptent sur le week-end pour « rattraper » leur dette de sommeil accumulée pendant la semaine de travail. Car si le manque de sommeil est un enjeu de santé publique, une idée reçue persiste : plus on dort, mieux c’est. Pourtant, une récente étude suggère qu’un sommeil trop important pourrait être une fausse bonne idée, voire un indicateur de risque pour notre santé.

Pour en venir à leur conclusion, les scientifiques ont réalisé une méta-analyse. Le principe consiste à compiler et analyser les résultats d’études déjà publiées sur le sujet. Ici l’équipe a épluché les données de 79 études, qui ont suivi au total plus de 5 millions d’adultes sur une période d’au moins un an. « Nous avons cherché à étudier l’association entre la durée du sommeil court et long et la mortalité toutes causes confondues chez l’adulte », assurent les chercheurs dans la revue GeroScience. D’après leurs conclusions, en matière de sommeil, les deux extrêmes sont à risque.

Les résultats de l’analyse montrent que, par rapport aux personnes dormant entre 7 et 8 heures (considérée comme la durée de référence optimale), celles qui dorment moins de 7 heures voient leur risque de décès augmenter de 14 %. Fait plus surprenant, celles qui dorment 9 heures ou plus voient ce même risque augmenter de manière significative. « Une longue durée de sommeil (plus de 9 heures par nuit) était associée à un risque de mortalité de 34 % plus élevé. » C’est donc cette durée de 9h de sommeil qu’il est conseillé de ne pas dépasser. De temps en temps, la dépasser n’est pas gravissime. Comme le soulignent les chercheurs, le sommeil excessif n’est pas la cause directe, mais plutôt le symptôme : « Un sommeil prolongé pourrait être lié à des problèmes de santé sous-jacents augmentant le risque de mortalité, tels que des maladies chroniques non diagnostiquées ou un dérèglement métabolique. »

Il faut voir la durée de sommeil comme un indicateur. Si vous ressentez constamment le besoin de dormir plus de 9 heures, tout en vous sentant fatigué au réveil, cela doit être considéré comme un signal envoyé par votre corps. « Les résultats soulignent l’importance de prendre en compte la durée optimale du sommeil dans les stratégies de santé publique visant à améliorer la longévité. » Le véritable objectif est donc de viser une régularité et une qualité du sommeil, dans une fenêtre comprise entre 7 et 9 heures par nuit. Et si un besoin de sommeil bien plus important s’installe durablement, il convient d’en parler à votre médecin.


Source : JDF Santé

Île de Pâques : des archéologues découvrent un nouveau secret des célèbres statues de pierre

Île de Pâques : des archéologues découvrent un nouveau secret des célèbres statues de pierre

Une trouvaille très inhabituelle.


L’Île de Pâques est déjà l’un des lieux les plus isolés et mystérieux de la planète. Or, l’énigme des Moaï, les célèbres statues de pierre de l’Île située à 3 200 kilomètres au large des côtes du Chili, s’épaissit encore : des archéologues viennent de faire une découverte stupéfiante. Un nouveau « géant de pierre » a été retrouvé dans le lit asséché du lac du volcan Rano Raraku, la carrière d’où provenaient la plupart de ces colosses. Cette trouvaille, très inhabituelle et pour le moins inattendue, vient bousculer certaines hypothèses concernant l’emplacement et la fonction de ces statues.

Jusqu’à présent, les Moaï étaient connus pour être sculptés directement dans la carrière, érigés sur des plateformes côtières (appelées « ahu ») ou abandonnés le long des chemins de transport, peut-on lire dans une étude parue dans la revue Antiquity. La présence d’une statue au fond d’un lac est donc inédite, soulevant des questions cruciales : a-t-elle été placée là volontairement pour un rituel spécifique, ou est-ce le résultat d’un abandon durant son transport ?

Cette découverte, relayée par des médias comme le Daily Mail en juillet 2025, montre que l’Île de Pâques n’a pas encore livré tous ses secrets. Malgré les avancées scientifiques sur les techniques de sculpture et de transport (notamment la théorie du « Moaï qui marche » qui suggère que les habitants de l’Île de Pâques déplaçaient leurs statues colossales debout, en les faisant basculer et « avancer » grâce à des cordes et à l’ingéniosité de leur forme, simulant une marche), chaque nouvelle trouvaille renforce le mystère autour de cette civilisation isolée. Ces géants de pierre, souvent représentés comme de simples têtes, possèdent en réalité des corps entiers, souvent ornés de gravures complexes, enfouis sous terre. Ils incarnaient probablement des ancêtres divinisés, veillant sur leurs communautés.

Alors que l’Île de Pâques fait face aux menaces du changement climatique, cette nouvelle découverte rappelle l’importance de la recherche continue et de la préservation de ce patrimoine mondial unique. Les Moaï continuent de nous défier, gardiens silencieux d’une histoire pas encore entièrement comprise.


Source : JDF Santé

Je suis psychologue : cette phrase est typique d'une personne qui manque cruellement de confiance en soi

Je suis psychologue : cette phrase est typique d'une personne qui manque cruellement de confiance en soi

C’est le signe d’un refoulement d’émotions.


Le manque de confiance en soi touche de nombreuses personnes, peu importe notre âge ou notre statue socio-professionnel. Ses manifestations sont parfois évidentes, mais il arrive qu’elles soient plus subtiles s’immisçant insidieusement dans nos comportements et notre langage. Cette fragilité peut provenir de plusieurs facteurs comme des expériences passées de rabaissement, des échecs répétés, ou des traumatismes vécus pendant l’enfance. Souvent, le manque de confiance en soi nous empêche d’atteindre notre plein potentiel, nous maintenant dans un cercle vicieux d’hésitation et d’auto-sabotage, ce qui peut être délétère à plusieurs niveaux (vie sentimentale, amicale, familiale, professionnelle…).

Certaines phrases que l’on prononce trahissent un manque de confiance de manière flagrante. On entend fréquemment des expressions comme « Je ne suis pas à la hauteur » ou « Je n’y arriverai pas« . Un peu moins évidentes mais tout aussi révélatrices sur le plan psychologique sont des phrases telles que « Ce n’est pas grave, il y a pire que moi », qui traduisent un refoulement de nos propres émotions et une difficulté à se sentir légitime de ressentir ce que l’on ressent, nous explique Christine Calonne, psychologue à Namur.

Mais il existe une phrase, plus insidieuse, qui est un signe avant-coureur d’un manque de confiance en soi : « Je le ferai demain » ou « J’attends encore une heure ou deux« . C’est la signature de la procrastination. Selon notre experte, procrastiner avant quelque chose d’important, comme un examen, une présentation devant un collaborateur ou une tâche administrative peut révéler une peur sous-jacente de l’échec et une conviction de ne pas être à la hauteur, souvent ancrée dans des expériences passées de dévalorisation.

Pour retrouver rapidement confiance en soi, plusieurs pistes peuvent être explorées. Déjà, il est essentiel d’identifier la cause de ce manque de confiance pour la déconstruire – un psychologue peut vous aider à comprendre l’origine de vos blocages. Développer l’affirmation de soi est crucial, en apprenant par exemple à dire « non » sans culpabilité ou à exprimer vos opinions. « Fixez-vous de petits objectifs atteignables et célébrez chaque victoire, même minime, comme réussir à terminer une tâche que vous reportiez. Enfin, n’hésitez pas à vous faire accompagner par un professionnel si le manque de confiance en vous devient trop envahissant« , conclut notre interlocutrice.


Source : JDF Santé

Glace en vacances : attention à cette arnaque qui se cache derrière le mot "artisanale"

Glace en vacances : attention à cette arnaque qui se cache derrière le mot "artisanale"

Les mentions « artisanale » ou « fait-maison » peuvent être trompeuses…


Vanille, fraise, chocolat pour les classiques. Noisette, rhum-raisin, menthe pour les plus audacieux. Les glaces – ou les « gelato » comme disent nos amis italiens – figurent parmi les gourmandises que l’on apprécie le plus en été. L’offre et la diversité des parfums sont  pléthoriques dans les villages de bord de mer et dans les lieux touristiques. Mais entre les « glaces artisanales », les « fait-maison » ou celles conçues par des « artisans glaciers », difficile d’y voir clair et d’être certain de tomber sur un produit de qualité.

Nouveau logo qui permet de repérer les glaces de qualité © Confédération Nationale des Glaciers de France

Attention déjà à la mention « artisanale » qui n’est pas un label de qualité. Il signifie simplement que l’entreprise possède le titre d’artisan et qu’elle est enregistrée auprès de la Chambre des métiers et de l’artisanat (CMA). Cela n’impose donc pas de normes de qualité des ingrédients ni de processus de fabrication particulier. Concrètement, un glacier peut vendre « des glaces artisanales » qui sont en fait des glaces fabriquées par une autre entreprise (qui elle possède le titre d’artisan) ou proposer des « premix », autrement dit des glaces « préfabriquées » à partir de poudre de lait, de matières grasses végétales et d’émulsifiants. C’est d’ailleurs souvent le cas des glaces dites « à l’italienne » issues de grosses machines à turbine comme on peut voir dans les foires ou devant les camions de « churros » ou « granités ». Le terme « fait-maison » n’est pas non plus gage de qualité. Cela signifie que les glaces sont conçues sur place mais rien n’empêche le fait d’être fabriquées à partir de prémix. Les mots « artisan glacier » ou « maitre glacier » peuvent induire en erreur car ils ne sont pas non plus liés à une réglementation particulière. 

Pour repérer une véritable glace artisanale, réalisée à partir de matières premières brutes et de qualité selon les règles du métier (turbinage, maturation, refroidissement…), la Confédération Nationale des Glaciers de France (CNGF) a créé la Charte Qualité « Glaces & Sorbets de Tradition Française »vous avez  la garantie de déguster une vraie glace artisanale, élaborée par un professionnel au savoir-faire confirmé et reconnu. »

D’autres astuces permettent également de repérer une glace de bonne qualité : 

► La couleur : les glaces artisanales se reconnaissent à leurs couleurs douces, pastel et mates, rappelant la couleur naturelle du produit. « Des glaces aux couleurs trop franches ou flashy signifient que des colorants ont été rajoutés. Lorsque vous les dégustez, vous devez retrouver le goût originel de l’ingrédient comme si vous croquiez dans le produit« , explique la CNGF sur son site. Une glace à la pistache n’est pas verte (mais beige-marron), une glace à la banane n’est pas jaune-poussin (mais beige), une glace à la vanille n’est pas jaune (mais de couleur crème avec des petits points noirs). 

► La texture : les glaces artisanales sont plus denses et fondent plus rapidement. Les glaces industrielles sont en revanche plus aérées et fondent moins rapidement en raison d’ajouts de stabilisants et d’émulsifiants.

► L’aspect du bac : « il faut également se méfier des bacs dont la glace dépasse très largement : elles sont souvent faites à base de produits semi-élaborés » contenant généralement de la gélatine pour assurer la bonne tenue du produit.

► Le prix ? Un prix élevé n’est pas forcément synonyme de qualité, surtout dans les zones touristiques où même les glaces industrielles restent chères. De même, un prix bas n’est pas toujours un indicateur. On pense notamment à certains glaciers de « petit village » qui ne pratiquent pas des tarifs aberrants. 

Vous l’aurez compris, il n’y a pas de règles universelles. Une solution simple consiste à poser des questions à votre glacier pour découvrir son savoir-faire.


Source : JDF Santé

Ni à 50, ni à 60 ans : un médecin biologiste révèle l'âge auquel le corps commence vraiment à ralentir

Ni à 50, ni à 60 ans : un médecin biologiste révèle l'âge auquel le corps commence vraiment à ralentir

Sur le plan fonctionnel, le processus de vieillissement démarre tôt.


Une raideur dans la nuque au réveil, un souffle un peu plus court après avoir monté les escaliers, une énergie qui semble s’épuiser plus vite qu’avant… Ces petits signes du quotidien nous rappellent que notre corps ne cesse de prendre de l’âge et de vieillir. Le vieillissement est un processus naturel qui nous concerne tous. Loin d’être programmé à une date précise, il s’agit d’une transformation lente qui démarre bien plus tôt qu’on ne le croit.

Ce que nous considérons communément comme le « vieillissement », c’est en réalité le moment où ses effets deviennent concrets et ressentis dans notre vie de tous les jours. « C’est vraiment dans la cinquantaine que l’on commence à le ressentir », affirme le Pr Eric Boulanger, professeur en Médecine et Biologie du Vieillissement. La cinquantaine est souvent marquée par des changements hormonaux, notamment la ménopause pour les femmes et l’andropause chez certains hommes. Puis, aux alentours de 60 ans, d’autres fonctions montrent des signes de ralentissement, notamment « l’immunité et les fonctions digestives et cognitives ». C’est l’âge des bilans, où l’on prend conscience de la nécessité de préserver son capital santé.

Pourtant, l’âge réel où le corps commence véritablement à ralentir sur le plan fonctionnel est bien plus précoce. Le Pr Boulanger est formel : « toutes les fonctions sont au maximum vers 25 ans ». Passé cette apogée, le déclin s’amorce : dès 25-30 ans, le taux de certaines hormones diminue. Vers 35 ans, c’est au tour de la densité osseuse, de la masse musculaire et des fonctions cardiaques et respiratoire de ralentir. « Après 25 ans, c’est au tour des reins, du cerveau et du foie d’être concernés », ajoute l’expert.

Malgré ce ralentissement obligatoire du corps, il est possible de bien vieillir. Le vieillissement varie énormément d’un individu à l’autre, car il dépend de « l’hygiène de vie et de la part génétique héritée. La génétique correspond à environ 20% du vieillissement », le reste étant principalement lié à nos comportements et à notre environnement. Préserver sa masse musculaire, surveiller son équilibre et maintenir une activité physique régulière sont les clés pour lutter contre l’installation de la fragilité, ralentir ce processus, et surtout vivre le plus longtemps possible en pleine possession de ses moyens.


Source : JDF Santé