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Voici les 2 symptômes typiques du nouveau variant Covid "Frankenstein"

Voici les 2 symptômes typiques du nouveau variant Covid "Frankenstein"

Une nouvelle souche de Covid se propage en France depuis quelques semaines : attention, ses symptômes peuvent différer des variants précédents.


Le monde, et l’Europe en particulier, fait face à une source d’inquiétude avec l’émergence d’un nouveau variant Covid baptisé « Stratus ». Les experts le surnomment « Frankenstein » car c’est un variant recombinant (ou hybride) d’Omicron composé des sous-variants XFG et XFG.3. Identifiée en janvier 2025, cette nouvelle souche a été placée « sous surveillance » par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en juin en raison de sa propagation croissante.

Frankenstein circule également en France. Les autorités françaises ont signalé une hausse des indicateurs depuis fin août 2025, notamment des taux de positivité, des consultations chez le médecin pour suspicion de cas et une augmentation des visites aux Urgences. Des régions comme la Bretagne et l’ouest de la France sont citées comme étant parmi les plus concernées par la propagation. Selon les experts des maladies infectieuses, Frankenstein semble « plus contagieux » et serait capable de contourner le système immunitaire, rendant les vaccins précédents moins efficaces et augmentant la probabilité de réinfection.

Ce qui est préoccupant aussi, c’est qu’il se distingue des autres variants par une « gamme plus large » de symptômes et qu’il commence par un symptôme inhabituel. Ce signe distinctif est un changement de voix – une voix rauque ou enrouée – qui s’accompagne souvent d’un mal de gorge très prononcé, comme « des lames de rasoir ». « Certaines personnes ont un peu plus mal à la gorge. En particulier chez les personnes âgées, qui n’ont pas été vaccinées l’année dernière« , précise le Dr Peter Chin-Hong, expert en maladies infectieuses à l’Université de Californie à San Francisco (UCSF), dans des propos rapportés par SFGATE. « Cela contraste avec les symptômes plus généraux comme la toux, la fièvre ou la fatigue souvent associées aux variantes antérieures« , poursuit-il.

Si votre seul symptôme est une voix rauque (avec ou sans mal de gorge), vous devez surtout vous isoler et surveiller les autres symptômes. S’il persiste au-delà d’une semaine après la disparition des autres symptômes (ou s’il s’aggrave), consultez votre médecin généraliste. En complément, des mesures d’hygiène simples comme le lavage régulier des mains et l’utilisation de mouchoirs jetables sont essentielles. En définitive, Frankenstein est plus contagieux, mais avec un risque faible, la vigilance et la vaccination surtout pour les personnes âgées et fragiles restent nos meilleurs alliés pour traverser l’hiver sereinement.


Source : JDF Santé

C'est le symptôme le plus préoccupant de tous après 60 ans : il peut révéler un cancer

C'est le symptôme le plus préoccupant de tous après 60 ans : il peut révéler un cancer

N’attendez pas pour demander un avis médical dans cette situation.


Après 60 ans, certains symptômes sont considérés comme banals alors qu’en réalité, ils méritent une attention particulière. Et pour cause, ils peuvent être le reflet d’une maladie silencieuse qui progresse à bas bruit. C’est le cas de toute douleur thoracique soudaine, d’une gêne respiratoire inhabituelle ou persistante, ainsi que de palpitations ou de malaises, pouvant révéler un problème cardiaque ou pulmonaire. « Les troubles neurologiques sont également à prendre très au sérieux : faiblesse d’un bras ou d’une jambe, troubles de la parole, troubles visuels soudains ou maux de tête inhabituels peuvent annoncer un accident vasculaire cérébral« , ajoute le Pr Éric Boulanger, gériatre, spécialiste de la médecine du vieillissement au CHU de Lille.

Autre symptôme qui nécessite une consultation médicale : la presbyacousie (perte progressive de l’audition liée à l’âge) qui est très fréquente après 60 ans. « Si elle ne revêt pas de caractère d’urgence, elle ne doit pas être négligée car, en l’absence de correction, elle peut entraîner un isolement social, une perte d’autonomie, des troubles de la mémoire et un risque accru de dépression. Aujourd’hui, une prise en charge adaptée (appareillage auditif, conseils d’hygiène auditive, suivi ORL) améliore nettement la qualité de vie et réduit les complications cognitives », poursuit le spécialiste. La presbyacousie est une fragilité réversible

Mais le symptôme le plus préoccupant de tous est sans conteste la perte de poids involontaire. En effet, lorsqu’elle survient sans modification volontaire du régime alimentaire ou du niveau d’activité physique, elle peut traduire une maladie sous-jacente sérieuse. « Une perte de plus de 5 % du poids corporel en moins de douze mois est considérée comme significative. Cette situation peut avoir de multiples origines : une pathologie chronique comme l’insuffisance cardiaque, pulmonaire ou rénale, un trouble endocrinien tel que l’hyperthyroïdie, une maladie digestive responsable de malabsorption, ou encore un trouble psychique comme la dépression », développe le spécialiste. Toutefois, la crainte majeure reste la présence d’un cancer, dont la perte de poids peut être un signe révélateur précoce.

L’association avec d’autres manifestations — fatigue persistante, fièvre inexpliquée, sueurs nocturnes, douleurs, toux prolongée, saignements ou ganglions anormaux — renforce encore la nécessité d’un avis médical sans délai. À cet âge, il est essentiel de ne pas minimiser ce signal d’alarme, car un diagnostic précoce augmente considérablement les chances de prise en charge efficace et de guérison.

Merci au Pr Éric Boulanger, gériatre, spécialiste de la médecine du vieillissement au CHU de Lille, directeur médical de  tempoforme®


Source : JDF Santé

C'est le symptôme le plus préoccupant de tous après 60 ans : il peut révéler un cancer

C'est le symptôme le plus préoccupant de tous après 60 ans : il peut révéler un cancer

N’attendez pas pour demander un avis médical dans cette situation.


N’attendez pas pour demander un avis médical dans cette situation.

Après 60 ans, certains symptômes sont considérés comme banals alors qu’en réalité, ils méritent une attention particulière. Et pour cause, ils peuvent être le reflet d’une maladie silencieuse qui progresse à bas bruit. C’est le cas de toute douleur thoracique soudaine, d’une gêne respiratoire inhabituelle ou persistante, ainsi que de palpitations ou de malaises, pouvant révéler un problème cardiaque ou pulmonaire. « Les troubles neurologiques sont également à prendre très au sérieux : faiblesse d’un bras ou d’une jambe, troubles de la parole, troubles visuels soudains ou maux de tête inhabituels peuvent annoncer un accident vasculaire cérébral« , ajoute le Pr Éric Boulanger, gériatre, spécialiste de la médecine du vieillissement au CHU de Lille.

Autre symptôme qui nécessite une consultation médicale : la presbyacousie (perte progressive de l’audition liée à l’âge) qui est très fréquente après 60 ans. « Si elle ne revêt pas de caractère d’urgence, elle ne doit pas être négligée car, en l’absence de correction, elle peut entraîner un isolement social, une perte d’autonomie, des troubles de la mémoire et un risque accru de dépression. Aujourd’hui, une prise en charge adaptée (appareillage auditif, conseils d’hygiène auditive, suivi ORL) améliore nettement la qualité de vie et réduit les complications cognitives », poursuit le spécialiste. La presbyacousie est une fragilité réversible

Mais le symptôme le plus préoccupant de tous est sans conteste la perte de poids involontaire. En effet, lorsqu’elle survient sans modification volontaire du régime alimentaire ou du niveau d’activité physique, elle peut traduire une maladie sous-jacente sérieuse. « Une perte de plus de 5 % du poids corporel en moins de douze mois est considérée comme significative. Cette situation peut avoir de multiples origines : une pathologie chronique comme l’insuffisance cardiaque, pulmonaire ou rénale, un trouble endocrinien tel que l’hyperthyroïdie, une maladie digestive responsable de malabsorption, ou encore un trouble psychique comme la dépression », développe le spécialiste. Toutefois, la crainte majeure reste la présence d’un cancer, dont la perte de poids peut être un signe révélateur précoce.

L’association avec d’autres manifestations — fatigue persistante, fièvre inexpliquée, sueurs nocturnes, douleurs, toux prolongée, saignements ou ganglions anormaux — renforce encore la nécessité d’un avis médical sans délai. À cet âge, il est essentiel de ne pas minimiser ce signal d’alarme, car un diagnostic précoce augmente considérablement les chances de prise en charge efficace et de guérison.

Merci au Pr Éric Boulanger, gériatre, spécialiste de la médecine du vieillissement au CHU de Lille, directeur médical de  tempoforme®


Source : JDF Santé

Parole de nutritionniste : "Stoppez cet aliment le soir et vous ne serez plus ballonné"

Parole de nutritionniste : "Stoppez cet aliment le soir et vous ne serez plus ballonné"

Rien de plus inconfortable que d’aller se coucher avec le ventre gonflé.


Les ballonnements apparaissent lorsque les gaz produits par la digestion s’accumulent dans l’intestin. S’ils ne sont pas éliminés, ils provoquent une sensation de lourdeur qui peut perturber l’endormissement et peser de façon désagréable sur le confort. Si certains aliments riches en fibres comme les légumes cuits, facilitent le transit, d’autres compliquent fortement la digestion et sont déconseillés le soir, rappellent les nutritionnistes.

Notre système digestif n’est pas aussi actif la nuit que dans la journée. « La nuit, votre intestin dort aussi. Il a besoin de se reposer » explique la médecin nutritionniste Laurence Plumey. Les contractions de l’intestin, qui permettent de faire avancer le bol alimentaire ralentissent. Le corps privilégie alors le repos et la récupération, et non la digestion. Ce ralentissement entraîne une digestion « beaucoup plus lente et beaucoup plus laborieuse ». Résultat : tout aliment qui fermente ou qui demande un effort digestif important risque de provoquer ballonnements et inconfort. Pour cette raison, la nutritionniste a un conseil clair : « toujours manger léger le soir » et éviter un aliment en particulier. Lequel ?

Les féculents. « Il faut éviter de manger des féculents le soir. Pâtes, pizza, c’est bourré de gluten. Le gluten est une protéine très difficile à digérer or la nuit, l’intestin dort aussi car il a besoin de se reposer. La digestion est donc beaucoup plus lente et beaucoup laborieuse » explique la nutritionniste dans une vidéo diffusée sur Facebook. Pour elle, quand on mange une pizza entière « c’est comme si vous mangiez une baguette de pain entière. Vous imaginez ce que ça représente pour votre microbiote, et en amidon et en gluten pour l’intestin ? ». À la place, elle conseille : « Si vous avez envie d’une pizza, n’en mangez que la moitié et associez-la à une salade ou une salade de tomates. » La digestion sera plus facile.

Le gluten est présent dans le blé, l’épeautre, l’avoine, le seigle et l’orge. On le trouve dans les pâtes au blé, pains, gâteaux… Autres réflexes utiles le soir : ne pas manger trop vite et bien mastiquer les aliments. « Appliquez ces conseils, et vous serez beaucoup moins ballonné », conclut l’experte.


Source : JDF Santé

Parole de nutritionniste : "Stoppez cet aliment le soir et vous ne serez plus ballonné"

Parole de nutritionniste : "Stoppez cet aliment le soir et vous ne serez plus ballonné"

Rien de plus inconfortable que d’aller se coucher avec le ventre gonflé.


Les ballonnements apparaissent lorsque les gaz produits par la digestion s’accumulent dans l’intestin. S’ils ne sont pas éliminés, ils provoquent une sensation de lourdeur qui peut perturber l’endormissement et peser de façon désagréable sur le confort. Si certains aliments riches en fibres comme les légumes cuits, facilitent le transit, d’autres compliquent fortement la digestion et sont déconseillés le soir, rappellent les nutritionnistes.

Notre système digestif n’est pas aussi actif la nuit que dans la journée. « La nuit, votre intestin dort aussi. Il a besoin de se reposer » explique la médecin nutritionniste Laurence Plumey. Les contractions de l’intestin, qui permettent de faire avancer le bol alimentaire ralentissent. Le corps privilégie alors le repos et la récupération, et non la digestion. Ce ralentissement entraîne une digestion « beaucoup plus lente et beaucoup plus laborieuse ». Résultat : tout aliment qui fermente ou qui demande un effort digestif important risque de provoquer ballonnements et inconfort. Pour cette raison, la nutritionniste a un conseil clair : « toujours manger léger le soir » et éviter un aliment en particulier. Lequel ?

Les féculents. « Il faut éviter de manger des féculents le soir. Pâtes, pizza, c’est bourré de gluten. Le gluten est une protéine très difficile à digérer or la nuit, l’intestin dort aussi car il a besoin de se reposer. La digestion est donc beaucoup plus lente et beaucoup laborieuse » explique la nutritionniste dans une vidéo diffusée sur Facebook. Pour elle, quand on mange une pizza entière « c’est comme si vous mangiez une baguette de pain entière. Vous imaginez ce que ça représente pour votre microbiote, et en amidon et en gluten pour l’intestin ? ». À la place, elle conseille : « Si vous avez envie d’une pizza, n’en mangez que la moitié et associez-la à une salade ou une salade de tomates. » La digestion sera plus facile.

Le gluten est présent dans le blé, l’épeautre, l’avoine, le seigle et l’orge. On le trouve dans les pâtes au blé, pains, gâteaux… Autres réflexes utiles le soir : ne pas manger trop vite et bien mastiquer les aliments. « Appliquez ces conseils, et vous serez beaucoup moins ballonné », conclut l’experte.


Source : JDF Santé

Lenacapavir : c'est quoi ce nouveau médicament préventif du VIH en France ?

Lenacapavir : c'est quoi ce nouveau médicament préventif du VIH en France ?

Il promet une protection longue durée contre le VIH.


C’est une avancée historique dans la prévention du VIH. L’organisation internationale d’achats de médicaments Unitaid a annoncé le 24 septembre que le Lenacapavir (connu en Europe sous le nom de Sunlenca®) sera accessible dans 120 pays pour seulement 40 dollars soit environ 34 euros, d’ici 2027. Jusqu’à présent, son prix très élevé limite son accès à quelques pays riches, alors que ce médicament pourrait protéger des millions de personnes exposées au virus dans le monde. Cette molécule pourrait devenir disponible à bas prix et à grande échelle, un levier décisif dans la lutte mondiale contre le VIH, selon Unitaid.

Le Lenacapavir est utilisé en France depuis 2023, mais uniquement en traitement chez des patients en échec thérapeutique, à un prix exorbitant (plus de 20 000 euros par an). Si son prix baissait, d’autres patients pourraient en bénéficier et il pourrait intervenir en prévention comme PrEP (Prophylaxie Pré-Exposition). La PrEP consiste aujourd’hui à la prise d’un comprimé (le Truvada® ou ses génériques) tous les jours ou « à la demande » avant et après les rapports sexuels. Son efficacité est très élevée, à condition de respecter rigoureusement le schéma de prise, ce qui peut être contraignant pour certaines personnes. Le Lenacapavir, lui, se présente sous la forme d’une injection sous-cutanée. Après une prise de quatre comprimés en deux jours, une seule injection suffit tous les six mois.

Grâce à son mécanisme d’action inédit sur la capside (coque) du virus VIH et à sa longue durée d’efficacité, il pourrait représenter une alternative particulièrement adaptée à celles et ceux qui ont du mal à suivre une PrEP quotidienne. Le Lenacapavir est un antirétroviral qui agit comme une sorte de colle moléculaire sur le virus, bloquant les étapes de son cycle. Il ne présente aucune résistance au départ et a une efficacité même sur des souches résistantes aux autres traitements.

Le laboratoire Gilead qui le Lenacapavir a soumis une demande auprès de l’agence européenne du médicament (EMA) pour qu’il soit autorisé en PrEP. En juillet 2025, l’EMA a émis un avis favorable. La mise à disposition en France dépendra des négociations sur le prix, du remboursement et de la confirmation de sa tolérance à long terme.


Source : JDF Santé