Les nombreuses vertus du miel !

Les nombreuses vertus du miel !

Manger du miel est bon pour la santé !

Si le miel est un délice pour les papilles, ses vertus sont également reconnues depuis des milliers d’années ! Nombreux sont les peuples qui le considéraient comme « la substance des dieux » et qui voyaient en lui un véritable élixir de longue vie. Au fil du temps, le miel est devenu un aliment synonyme de bonne santé, et c’est encore le cas aujourd’hui !

Le saviez-vous ? Tous les miels sont différents ! Leur goût, leur couleur, leur parfum et leurs propriétés dépendent de nombreux facteurs : les plantes butinées, le type d’abeille productrice, l’origine géographique, le nectar (ou miellat), mais aussi la saison !

Aujourd’hui, il existe des dizaines de variétés de miel. Si les plus connus et plus vendus sont à base d’acacia, de lavande, de tilleul, de fleurs sauvages ou de sapin, d’autres commencent à connaître leur petit succès, dont le miel d’oranger, de ronce, de rhododendron, de tournesol, de romarin, de carotte ou encore de thym !

Quel que soit le type de miel, ils possèdent tous des propriétés tonifiantes, antiseptiques et cicatrisantes. Certains miels sont également préconisés dans le traitement d’affections particulières. Par exemple, le miel de sapin est conseillé aux personnes souffrant d’insuffisance rénale ou d’inflammation des voies respiratoires. Si vous souffrez d’insomnies, le miel de tilleul est particulièrement recommandé ! 

Quels sont les bienfaits du miel sur la santé ?

1. C’est un puissant antibactérien

Son PH acide, sa faible concentration en protéines, son fort taux de sucre et sa faible teneur en eau créent des conditions inadaptées à la prolifération des bactéries. C’est pourquoi le miel est également utilisé comme cicatrisant : en empêchant le développement des bactéries, il permet au tissu cutané de se régénérer et donc aux plaies de bien cicatriser.

2. Il possède des propriétés antioxydantes

Le miel contient une grande quantité de flavonoïdes, qui sont reconnus pour leur action antioxydante ! En neutralisant les radicaux libres, ils auraient un effet bénéfique pour prévenir certains cancers, mais aussi certaines maladies cardiovasculaires ou neurodégénératives. Le saviez-vous ? Plus le miel est foncé, plus il sera riche en antioxydants ! 

3. Il renforce le système immunitaire

Riche en minéraux et vitamines, le miel est un allié de choix pour renforcer vos défenses immunitaires et lutter contre certaines infections microbiennes et virales ! 

4. C’est un anti-inflammatoire notable

Grâce à ses propriétés anti-microbiennes et anti-inflammatoires, le miel est très efficace pour soulager la toux et les maux de gorge. Quelques cuillères à café dans une tasse d’eau chaude ou dans une infusion apaiseront rapidement et durablement les irritations respiratoires !

5. Il possède des propriétés digestives

Grâce au fructose qu’il contient, le miel joue un rôle de laxatif naturel, faisant de lui l’ami de votre transit ! Il est très efficace pour traiter certaines infections de l’estomac et de l’intestin, notamment les inflammations ou les ulcères gastriques, mais aussi les constipations passagères.

En plus de toutes ses vertus pour notre santé, le miel peut se consommer sous une multitude de formes et se marie parfaitement avec de nombreux aliments : une cuillerée à café de miel dans votre tisane du soir, dans un yaourt, sur du pain grillé ou dans vos vinaigrettes, et le tour est joué ! 

Attention, si le miel est bon pour la santé et peut soulager de nombreux maux, il est conseillé d’en consommer avec modération ! Gardez en tête que même naturel, le miel reste un sucre. Assurez-vous également de choisir un miel de qualité pour profiter de toutes ses propriétés nutritionnelles et médicinales !

Le miel peut se manger avec de nombreux aliments !

Sources : 

https://bit.ly/2NdWjcS

https://bit.ly/2M2v6sO

https://bit.ly/2NJOBH1

https://bit.ly/2Zy0Ucl

https://bit.ly/2Ztvjbw

La schizophrénie, une maladie encore méconnue !

La schizophrénie, une maladie encore méconnue !

Parlons de la schizophrénie

En France, la schizophrénie touche environ 600 000 personnes, soit 0,7 % de la population. Des études démontrent que cette maladie touche surtout les jeunes, de toutes origines sociales. Les troubles psychiatriques débutent généralement entre 15 et 25 ans et évoluent jusqu’à la fin de leur vie.

Selon l’INSERM, 1 patient sur 2 fera au moins une tentative de suicide au cours de sa vie et 10 % en décéderont. C’est pourquoi une prise en charge et un traitement adaptés sont importants pour prévenir la sévérité de la maladie.

Alors, qu’est-ce que la schizophrénie ?

C’est en 1911 que le psychiatre suisse, Eugen Bleuler, a utilisé pour la première fois ce terme. Étymologiquement, le mot schizophrénie signifie « maladie de la scission de l’esprit ».

La schizophrénie est une maladie mentale chronique qui se caractérise par de nombreux troubles psychologiques qui peuvent varier d’une personne à l’autre : distorsions de la pensée, des perceptions, des émotions, du langage, du sentiment de soi ou encore du comportement.

Très complexe, cette maladie est décrite par de nombreux spécialistes comme étant l’une des plus mystérieuses de la psychiatrie, mais aussi l’une des plus sévères.

Quels sont les causes et les symptômes ?

Même si de nombreuses théories sont à l’étude dans les instituts de recherche, aucune d’entre elles n’a pu confirmer de manière certaine que la schizophrénie puisse être liée à des origines neurologiques, hormonales, génétiques ou cérébrales. Les causes de la maladie restent donc encore mal connues.

Les symptômes peuvent se caractériser par des troubles de la mémoire, une perte d’énergie, des idées délirantes, des hallucinations, des baisses de l’attention, des troubles du comportement alimentaire, de la bipolarité, de la dépression, de l’anxiété,…

Si les symptômes les plus impressionnants sont les délires et les hallucinations, les difficultés cognitives rencontrées par les malades sont les plus handicapantes, car elles entraînent souvent une exclusion sociale des personnes atteintes.

Les conséquences de la schizophrénie

Les conséquences de la schizophrénie sont chaotiques et très handicapantes pour les patients qui en souffrent.

Dans la majorité des formes de la schizophrénie, l’accumulation des différents symptômes conduit souvent les malades à l’isolement social, ce qui peut avoir des conséquences non négligeables sur leur vie.

Comme expliqué précédemment, un patient sur deux fera une tentative de suicide au cours de sa vie. C’est pourquoi l’espérance de vie des personnes atteintes par cette maladie est réduite de 10 ans par rapport au reste de la population.

Les schizophrènes sont souvent perçus comme des personnes pouvant être dangereuses pour les autres. C’est une idée reçue ! Si certains patients peuvent parfois faire preuve de violence lors d’une crise, elle est généralement dirigée vers eux-mêmes et non vers les autres.

Quelles sont les formes de schizophrénie ?

Comme de nombreuses maladies mentales, la schizophrénie peut prendre différentes formes. Les psychiatres en dénombrent quatre : la schizophrénie paranoïde, dysthymique, hébéphrénique et catatonique. Les troubles psychiatriques dus à la schizophrénie évoluent tout au long de la vie des personnes qui en souffrent, ce qui explique pourquoi ils peuvent passer d’une forme de la maladie à une autre selon les périodes.

Dans les formes de schizophrénie paranoïde et dysthymique, les malades ont des périodes délirantes, alors que dans les formes hébéphréniques, les troubles les plus fréquents sont le retrait social et le syndrome dissociatif.

La forme catatonique est reconnue comme étant la plus grave. Les symptômes corporels et le déficit cognitif (comme l’indifférence affective ou le mutisme) entraînent souvent l’exclusion sociale. Les traitements mis en place pour soigner cette forme de la maladie sont très longs et difficiles, car ils ont pour but d’aider les patients à maintenir une alimentation et à conserver une vie sociale.

Comment aider et soigner les patients atteints de schizophrénie ?

L’approche de la schizophrénie, de son diagnostic, de son traitement ainsi que l’accueil des malades se fonde essentiellement sur l’expérience qu’ont acquis les médecins et les soignants au fil des années.

Un des problèmes rencontrés par les patients est lié à un manque d’informations sur leur maladie. Le Dr Pierre de Maricourt, chef de service de psychiatrie au centre hospitalier Sainte-Anne, explique que « cette pathologie est tellement stigmatisante, que cela retarde parfois l’entrée en soin des patients (…) Souvent, c’est lors d’une première crise, extrêmement brutale, que le patient entre dans le parcours de soins. »

La première étape pour aider les personnes atteintes de schizophrénie consiste donc à diagnostiquer la maladie. La seconde étape concerne l’acceptation de la maladie par le patient. Si cette phase est souvent très difficile pour le malade, ce n’est qu’à partir de là qu’il pourra commencer un traitement qui combine généralement des médicaments (neuroleptiques par exemple), la psychothérapie et l’accompagnement social.

Aujourd’hui, une rémission durable est possible chez un tiers des patients si la prise en charge du malade est adaptée.

Les troubles cognitifs sont une des conséquences de la schizophrénie

Sources :

https://bit.ly/2MZmu73
https://bit.ly/3rTBG4f
https://bit.ly/2ZjGCmQ
https://bit.ly/3jPlRJ3
https://bit.ly/2NbhWdz

Alcool : quels risques pour votre santé ?

Alcool : quels risques pour votre santé ?

Les effets de l'alcool sur la santé

La France est le 3ème pays qui consomme le plus d’alcool au monde. Avec 41 000 décès par an (dont 22% entre 15 et 34 ans et 18% entre 35 et 64 ans), l’alcool est considéré comme une cause de mortalité prématurée. 

Afin de définir plus aisément une consommation dite « à risque », l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) a établi quelques repères : pour les femmes, le seuil limite est de 2 verres/jour et pour les hommes, il est de 3 verres/jour. Il est également conseillé de s’abstenir de boire de l’alcool au moins un jour par semaine. 

Si votre consommation excède ces repères et qu’elle devient de plus en plus régulière, vous risquez de développer plus facilement une dépendance à l’alcool, autrement appelée “alcoolodépendance” (ou encore “alcoolisme”). Selon l’OMS, ce phénomène est avéré à partir du moment ou la consommation d’alcool devient une priorité et que le désir d’en consommer devient impossible à maîtriser, au point de devenir une obsession.  

Sachez que l’addiction peut survenir sans même que vous ne vous en rendiez compte, ce qui constitue un réel danger et peut vite vous faire rentrer dans un engrenage dont vous aurez du mal à vous défaire. 

Le saviez-vous ? En janvier, se déroule le mouvement Dry January (comprendre “janvier sec”). Reconnu mondialement, ce mouvement a été lancé en Grande Bretagne par l’association Alcohol Change UK. Le but est de mobiliser le maximum de personnes afin de les inciter à ne plus boire d’alcool pendant un mois. En France, ce mouvement est plus connu sous le hasthag “#ledefidejanvier”, mais est moins pratiqué.

Quels sont les effets de l’alcool sur votre santé ? 

Une consommation d’alcool trop régulière peut avoir des conséquences parfois irréversibles sur votre santé. En effet, sur le long terme, de nombreuses pathologies peuvent être développées. 

Tout d’abord, une consommation excessive d’alcool n’est pas sans risques pour le cerveau. Certains troubles cognitifs peuvent se développer, tels qu’une altération de la mémoire, de la concentration, de l’apprentissage, de l’attention ou encore de la prise de décisions. De plus, des troubles psychiques (anxiété, dépression) peuvent également être aggravés à cause de l’alcool. 

Il existe d’autres pathologies liées à l’alcool, telles que la cirrhose du foie, la pancréatite, l’hypertension artérielle ou encore certaines maladies neurologiques comme le syndrome de Korsakoff. Ce syndrome touche particulièrement les personnes souffrant d’alcoolisme chronique, et provoque des troubles cognitifs sévères (détérioration de la mémoire, fabulations, troubles de l’humeur et spatio-temporels, etc.). 

La consommation d’alcool favorise également l’apparition de cancers, tels que le cancer de la bouche, de l’oesophage, du foie, du côlon, du rectum ou encore du sein. Les risques sont d’autant plus élevés s’il y a une combinaison de cigarette et d’alcool. 

Quels sont les bénéfices d’un sevrage de l’alcool ?

Une peau plus fraîche et plus belle

Vieillissement prématuré de la peau, rosacée, psoriasis, acné, déshydratation,… certaines affections cutanées sont fortement exacerbées par une consommation excessive d’alcool.  

En arrêtant d’en boire, vous retrouverez progressivement une peau plus lumineuse, plus éclatante, plus fraîche, plus hydratée,… en bref, une peau plus saine !

Un sommeil amélioré et un regain d’énergie

Vous l’avez sûrement déjà expérimenté, mais après une soirée arrosée, les lendemains sont souvent difficiles. Vous vous sentez fatigué, vidé de votre énergie…

Si l’alcool vous aide à vous endormir rapidement, il perturbe sérieusement la qualité de votre sommeil. Sans que vous en ayez nécessairement conscience, votre sommeil sera ponctué de micro-réveils, de rêves troublants, de sueurs nocturnes,… ce qui vous empêchera d’atteindre un sommeil profond et réparateur. 

Une perte de poids

C’est bien connu, l’alcool est la dernière chose à consommer si vous désirez garder la ligne ! De nombreuses études démontrent que l’alcool retarde la sensation de satiété, ce qui vous pousse à manger plus que vous le feriez si vous ne buviez que de l’eau. Boire de l’alcool augmente également la production d’acides gras et ralentit le processus de combustion des graisses. 

De plus, l’éthanol contenu dans un verre d’alcool apporte beaucoup de calories. Pour vous donner une idée plus concrète, un verre de vin rouge équivaut à 100 kcal, un verre de champagne à 120 kcal et une bière blonde de 25 cl apporte quant à elle 140 kcal. 

Une économie d’argent

Certaines personnes peuvent dépenser des centaines d’euros par mois en alcool. Vous ne le réalisez certainement pas sur le coup, mais boire toutes les semaines peut rapidement avoir un impact non négligeable sur votre portefeuille et vos économies. 

Faites le test, et essayez de calculer ce que représentent vos dépenses en alcool par mois, puis sur une année. Vous risquez d’être surpris ! Peut-être y trouverez-vous une motivation pour réduire votre consommation (voire arrêter complètement).

Conclusion

Vous l’aurez compris, boire de l’alcool n’apporte rien à notre organisme. Bien entendu, il n’est pas nécessaire de culpabiliser au moindre verre, tant que vous parvenez à contrôler votre consommation et qu’elle ne devient pas trop régulière. 

Il est également important de sensibiliser les jeunes le plus tôt possible sur les effets de l’alcool sur la santé. Il faut savoir que plus la consommation de boissons alcoolisées commence à un âge précoce, plus la détérioration du cerveau est importante. 

En cas de dépendance, n’hésitez pas à vous faire aider. Le site alcoolinfoservice.fr peut vous mettre en relation avec des professionnels qui vous accompagneront dans votre combat contre l’alcool. Ensemble, vous chercherez les causes de votre consommation pour pouvoir trouver la meilleure solution afin de vous aider. 

Consommer des boissons alcoolisées : les effets sur notre santé

Sources :

http://bit.ly/2siC9DS
http://bit.ly/2FMUfBg
http://bit.ly/35QdfZU
http://bit.ly/2R9YH2g
http://bit.ly/382QJyF
http://bit.ly/382F9ng
http://bit.ly/2TiyCAD 

Comment rester en forme cet hiver ?

Comment rester en forme cet hiver ?

Comment rester en forme cet hiver ?

Rhume, bronchite, grippe, gastro-entérite,… quand l’hiver arrive, il emmène souvent avec lui son lot de maladies. Si vous souhaitez faire face au froid et éviter les virus hivernaux, cet article va vous y aider ! À cette période de l’année, le système immunitaire s’affaiblit et a besoin d’être renforcé. Voici quelques habitudes simples à mettre en place dans votre vie quotidienne pour  affronter l’hiver sans aucune appréhension ! 

Booster vos  défenses immunitaires

Connaissez-vous les super-aliments ? Ce sont des aliments qui possèdent des valeurs nutritionnelles exceptionnelles et qui sont très bons pour votre corps. Idéalement consommés à la fin de l’été et au début de l’hiver, ils  vous aideront à avoir des défenses immunitaires solides : 

La gelée royale et le miel

Grâce aux protéines, aux oligo-éléments et aux vitamines qu’elle contient, la gelée royale permet de fortifier l’organisme et d’agir contre le stress.  Se prenant sous forme de cure de 4 à 6 semaines, elle se trouve aisément en pharmacie : n’hésitez pas à vous renseigner ! 

Le miel a lui aussi des vertus intéressantes, car il contribue au bon maintien de la flore intestinale et est également très riche en flavonoïdes, qui renforcent les défenses immunitaires. 

Les agrumes

Riches  en antioxydants, flavonoïdes et vitamine C, ils permettent de renforcer les défenses immunitaires et de faciliter l’assimilation du fer. L’idéal est de les consommer crus pour profiter au mieux de tous leurs bienfaits. Peu caloriques, vous pouvez les manger sans modération. 

Le magnésium

Le magnésium est surement l’un des minéraux les plus importants et indispensables à notre organisme. Excellent pour lutter contre les baisses de tonus et le stress, il joue un rôle important dans la transmission nerveuse, la relaxation des muscles et la formation des os et des dents. Mieux vaut donc éviter les carences ! 

Le magnésium est très présent dans les fruits de mer, les céréales complètes, les oléagineux (amandes, noisettes, cacao…), certains fruits et légumes (bananes, kiwis, épinards, haricots,…) et même le chocolat ! Vous pouvez également faire des cures de magnésium sous forme de suppléments : ampoules, comprimés, gélules, granulés ou encore tablettes.

Le ginseng 

Cette plante médicinale asiatique incontournable vous donnera un bon coup de fouet ! Elle stimule le système immunitaire et améliore les capacités de concentration en énergisant le corps. Le ginseng se consomme par cure de 1 mois, en gélule ou en décoction, de préférence le matin pour éviter les troubles du sommeil. Les gélules doivent contenir au moins 10% de ginseng pour qu’elles soient efficaces.

L’ail

Bien qu’il ne soit pas au goût de tout le monde, il possède pourtant des bienfaits indispensables pour notre corps en hiver. Antiseptique, anti-inflammatoire, anticholestérol, antioxydant, antiallergique,… l’ail est souvent utilisé pour renforcer le système immunitaire et peut être sollicité pour lutter contre certains virus hivernaux tels que les bronchites, les grippes, les rhumes, etc.  

Des petits gestes simples au quotidien

Si les super-aliments sont très efficaces pour renforcer nos défenses immunitaires, il ne faut cependant pas négliger l’hygiène de vie quotidienne. En hiver, il est important d’adopter de bonnes habitudes pour assainir au mieux votre espace de vie et faire du bien à votre corps et votre esprit.

La luminothérapie

Les journées étant plus courtes en hiver, nous profitons moins de la lumière du jour, ce qui peut avoir un impact sur le moral. Pour pallier ce manque, certains professionnels de la santé conseillent des séances de luminothérapie. 

Cette méthode consiste à s’exposer quotidiennement à une lumière blanche artificielle qui imite celle du soleil. La luminothérapie permet donc de réguler la production de mélatonine (l’hormone du sommeil) et de sérotonine (l’hormone du bonheur). C’est pourquoi elle est recommandée pour les personnes souffrant de dépression saisonnière. 

Les huiles essentielles (HE)

Les HE sont des solutions naturelles pour rester en bonne santé. Diffusées un peu chaque jour, elles pourront vous aider à éviter de tomber malade durant l’hiver (à condition de savoir les choisir). Par exemple, pour lutter contre les infections respiratoires, l’HE d’eucalyptus est excellente ! Il existe également des mélanges d’HE à diffuser pour assainir l’air de votre maison ou tonifier votre organisme. N’hésitez pas à consulter votre médecin et/ou votre pharmacien afin qu’il vous conseille ! 

Optez pour un espace de vie sain

  • Pensez à aérer régulièrement : que ce soit votre maison et surtout votre chambre, il est important de penser à renouveler l’air de la pièce afin de ne pas laisser les microbes stagner et ainsi lutter contre d’éventuels maux de tête et certaines maladies ORL.
  • Ne chauffez pas trop votre chambre : s’il est tentant de monter le chauffage en hiver, il est pourtant conseillé de ne pas dépasser les 19°C, afin d’éviter que le taux d’humidité baisse et que vos voies respiratoires s’assèchent. 
  • Humidifiez l’air de votre lieu de vie pour éviter les maux de gorge le matin. Des solutions simples existent, comme utiliser un humidificateur d’air, aérer sa maison ou encore ouvrir la porte de sa salle de bain. 

Lavez-vous les mains 

Se laver les mains avec de l’eau et du savon régulièrement permettrait de diminuer jusqu’à 30% le risque d’infection respiratoire ou digestive. En cas de déplacement, utilisez des solutions hydro-alcooliques, qui sont facilement transportables. Attention, elles ne remplacent pas un lavage à l’eau savonneuse, car ces solutions désinfectent mais n’enlèvent pas la saleté. 

Lavez-vous le nez quotidiennement

Que ce soit à l’eau de mer ou avec du sérum physiologique, se laver le nez permet de prévenir les infections rhino-pharyngées et améliore le bien-être respiratoire (surtout dans les grandes villes où la pollution est très présente). 

Faites 30 minutes d’exercice par jour

Cela permet d’évacuer le stress et la fatigue qui affaiblissent nos défenses immunitaires. L’exercice quotidien peut simplement se traduire par de la marche dynamique en allant/rentrant du travail. De plus, cela vous permettra de sortir et de prendre un bon bol d’air frais ! 

Conclusion

Avec tous ces conseils, vous êtes prêt pour affronter l’hiver ! Si vous n’aimez pas cette saison à cause des courtes journées et des basses températures, essayez de voir le positif : c’est aussi une période chaleureuse avec les fêtes de fin d’année, les décorations, les repas en famille, la lecture au coin du feu, etc.

Cherchez toutes ces petites choses simples qui vous rendent heureux et qui vous aideront à passer cette saison en tout sérénité. Vous verrez, cela jouera sur votre humeur, votre moral et votre bien-être général. Résultat, vous passerez un hiver au top de votre forme physique et mentale ! 

Bien préparer l'arrivée de l'hiver

SOURCES:

  1. http://bit.ly/2POvpFt 
  2. http://bit.ly/2PKxpPa 
  3. http://bit.ly/2PolPu8 
  4. http://bit.ly/2Emn7zt
Fêtes de fin d’année : comment gérer les excès ?

Fêtes de fin d’année : comment gérer les excès ?

Fêtes de fin d'année : comment gérer les excès ?

Ça y est, les fêtes de fin d’année sont enfin arrivées… Entre Noël et le Nouvel An, les occasions sont nombreuses pour partager des moments privilégiés en famille et avec vos amis. Fini de culpabiliser ! C’est le moment de l’année qui est fait pour lâcher prise et vous faire plaisir : vous l’avez bien mérité, non ?   

Bien entendu, ces fêtes sont également synonymes d’excès en tout genre. Entre le stress des préparatifs, les petits fours, le saumon, le foie gras, l’alcool, la bûche, etc. notre organisme est mis à rude épreuve. Nous vous donnons quelques conseils pour vous aider à gérer les excès des fêtes, afin de commencer l’année d’un bon pied ! 

Avant le repas 

Évitez de le stress  

Des fêtes de fin d’année réussies sont des fêtes passées dans la bonne humeur et la détente. Ne vous mettez pas la pression avec l’organisation et la préparation du repas. Demandez à votre famille ou à vos amis de vous aider, c’est toujours plus agréable que de le faire tout seul et cela allègera votre charge de travail. Le stress ne favorisant pas la digestion, mieux vaut commencer votre soirée l’esprit serein ! 

Mangez des légumes

Le meilleur conseil à appliquer avant les fêtes est de manger sainement avant le grand repas. Les légumes riches en eau tels que les poireaux, les courgettes ou encore le fenouil sont très conseillés, car ils ont un effet drainant et facilitent ainsi le transit intestinal. L’idéal est de les consommer cuits à la vapeur pour maximiser leurs bénéfices.

Évitez la consommation d’alcool

Si vous prévoyez de consommer de l’alcool lors des fêtes, il est préférable de boire beaucoup d’eau, de thé ou d’infusion avant le jour J pour faciliter le drainage de l’organisme et le préparer à assimiler beaucoup de calories. 

Pendant le repas 

Pour éviter les ballonnements, les maux de tête et de mauvaises nuits après les fêtes, voici quelques conseils à appliquer lors du repas :

  • Mangez doucement et prenez le temps de mastiquer. 
  • Consommez des crudités, celles-ci facilitent la digestion. 
  • Si vous buvez de l’alcool, pensez à alterner avec un verre d’eau assez régulièrement. 
  • Ne vous gavez pas. Si vous n’avez plus faim, ne vous forcez pas à en reprendre par gourmandise. 
  • Ne salez pas trop votre repas et limitez les graisses.   

Après le repas 

Buvez beaucoup d’eau 

Si vous avez un peu forcé sur l’alcool, ou encore mangé trop gras et trop sucré, un seul mot d’ordre pour s’en remettre : l’hydratation ! Même si vous ne ressentez pas la soif, il est important de boire beaucoup d’eau afin de reconstituer vos réserves hydriques. Vous pouvez également consommer des aliments riches en eau tels que les soupes, les bouillons, le thé, les fruits ou encore les légumes frais. 

Reprenez une activité sportive régulière 

Et oui, il n’y a pas de secret ! Pour vous sentir mieux après les fêtes, il est important de vous dépenser et de transpirer afin de faire du bien à votre corps et d’éliminer toutes les toxines. Allez courir (en y allant progressivement pour éviter les blessures) ou simplement marcher, cela vous fera le plus grand bien ! 

Faites une détox 

Afin de vous libérer des excès mal tolérés par votre organisme lors des fêtes, quoi de mieux qu’une bonne détox ? Pour cela, choisissez de préférence des aliments riches en vitamines et en fibres. Cependant, attention aux risques d’affaiblissement ! Vous devez rester vigilants et continuer à fournir à votre corps ce dont il a besoin pour garder de la force et de l’énergie (comme les protéines par exemple). 

Il n’y a pas de durée prédéfinie pour faire une détox. Cependant, il n’est pas nécessaire de la faire perdurer trop longtemps, le but étant simplement de vous libérer des toxines et des déchets accumulés dans un laps de temps relativement court. 

Ne pas sauter de repas ! 

Même si vous considérez avoir un peu trop forcé sur la nourriture et l’alcool durant les fêtes, ce n’est pas une raison pour sauter des repas le lendemain ! En faisant cela, votre corps aura tendance à stocker ce qu’il aura ingurgité pour compenser. Mieux vaut donc manger (même en petites quantités), mais avec des plats adéquats. 

Conclusion 

Vous l’aurez compris, il existe diverses solutions pour vous aider à gérer les excès des fêtes de fin d’année. Ne culpabilisez pas ! N’oubliez pas que c’est le moment de l’année où vous pouvez vous détendre, vous faire plaisir et passer un bon moment avec votre famille et vos amis.  Alors, profitez-en et passez de bonnes fêtes de fin d’année ! 

Fêtes de fin d'année : comment gérer les excès ?

Sources:

  1. http://bit.ly/2OQnGYf
  2. http://bit.ly/353GIjq
  3. http://bit.ly/33TQljs
  4. http://bit.ly/33Qe583